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Fic n°3

Ambassade Américaine, Jérusalem.

La réception donnée en l’honneur du traité de paix, tous juste signé par tous les pays du Moyen Orient, regroupait plus d’une centaine de personnes, dont les présidents des pays de la région.

L’ambassadeur Grant (en attirant l’attention de ses invité par un petit tintement sur son verre) : Mes chers amis, car aujourd’hui, je suis fier de pouvoir enfin nous qualifier tous d’amis, nous vivons un grand jour, le rêve de décennies a bien fini par se concrétiser… J’ai eu le grand privilège de faire partie de ceux qui ont tout fait pour…

Il eut un moment de silence, comme si quelque chose avait attiré son attention dans la foule, mais, il se força néanmoins de continuer son discours avec un sourire crispé.

L’ambassadeur Grant : ... Qui ont tout fait pour que ce jour arrive enfin… (il murmura soudain quelque chose, son expression avait encore changé)… C’est… C’est pourquoi, je vous invite à lever vos verres et trinquer ensemble pour la paix ! annonça-t-il en levant sa coupe de champagne, il fût suivi par ses invités qui acclamèrent la paix dans leurs langues respectives.

Bien qu’interpellé à plusieurs reprises, il se dirigea vers l’escalier menant à ses quartiers privés, le regard inquiet et le sourire figé, il essayait d’échapper tant bien que mal à de longues conversations qu’il ne pouvait se donner le luxe d’avoir ,vu ce qui le tracassait ! il était déjà à mi-volet quand une dame très élégante l’appela :

La dame : William ! fit-elle d’un ton qui trahissait son étonnement.

L’ambassadeur (en redescendant quelques marche pour s’approcher d’elle) : Chérie, je vais revenir, il y a juste… Je dois régler quelque chose et… Non… Je dois le faire seul… Ne t’inquiète pas, tout va bien ! termina-t-il en s’efforçant de lui faire son plus beau sourire, avant de monter en haut.

Aussitôt arrivé dans le long corridor, il essaya de retrouver la trace de ce qui l’avait tant perturbé, il se dirigea vers la salle de contrôle, et comme il s’y attendait, les gardes chargés de la surveillance vidéo étaient inconscients et toutes les caméras des quartiers privés envoyaient une image figée, il prit le téléphone, songeant à prévenir la sécurité, mais se ravisa au dernier moment, et comme s’il avait enfin compris ce qui se passait, il quitta la salle d’un pas déterminé. Seulement au bout de quelques mètres, il fut frappé par derrière et s’écroula par terre, le regard brouillé, il vit la silhouette d’une jeune femme s’éloigner avant de sombrer.

Une voix familière le réveilla peu de temps après :

-         Will… Will… Tu m’entends ? fit une femme en tenue de soirée, mais qui avait une arme à la main.

Il la regarda d’abord d’un air effrayé, avant de réaliser qui lui faisait face :

Will : Sydney… je l’ai vu, elle était là !

Sydney : Qui ça ? Qui t’a fait ça ? Tu l’as vu ? Où est-elle ?

Will : Sydney…

Sydney : Je suis là… Mais il faut que tu me dises… Qui…

Will (en l’agrippant de toutes ses forces) : C’était toi, Sydney ! Je n’ai vu que toi !

Sydney : Je vais faire venir des secours pour…

Will : Non ! Je ne suis pas en train de délirer, j’ai vu une jeune fille qui avait ton visage… Je t’ai vu à l’époque de tes vingt ans ! Elle… C’est peut être ce programme qui… Arhhh ! cria-t-il en essayant de se relever.

Sydney : Tu saignes beaucoup, je vais…

Will : Je vais bien, vas-y ! ça ira… Syd !

Sydney : Oui ? fit-elle en se retournant vers lui.

Will : Ca ne va pas recommencer ? Dis moi que ça ne va pas recommencer !

Sydney : Je ferais tout pour ! dit-elle en s’en allant au pas de course.

*****

Dans ce qui semble être la chambre de l’ambassadeur, une belle jeune fille, en tenue de soirée, essayait de craquer les codes d’accès du coffre-fort :

-         J’y suis ! Ca charge ! dit-elle à son interlocuteur via son oreillette.

Aussitôt ouvert, elle sortit le contenu du coffre, avant d’utiliser son tube de rouge à lèvre pour faire éclater sa paroi interne, et sortir un objet de forme ronde avec un grand soin. Elle le mit dans une mallette, remit tout en place et rebroussa chemin, direction, le système d’aération, où un engin mécanique long d’un mètre, affichait 5 minutes et n’attendait que la pression de son bouton d’enclenchement, après avoir reçu ses dernières instructions, elle le chargea et prit la gaine de ventilation pour monter sur le toit, où un appareillage de vol l’y attendait.

Equipée et prête au saut, elle était sur le bord de la terrasse du building haut de 150 étages, quand elle fut surprise par une voix qui l’arrêta :

Sydney (pointant une arme droit devant elle) : Ne bougez pas ! Je n’hésiterais pas à tirer.

La jeune fille s’arrêta net, et leva les bras sans se retourner.

La jeune fille : Combustion instantanée! Je suis sûre que vous savez de quoi je parle ! Après tout, vous êtes la grande Sydney Bristow, je crois même que vous lui avez échappé de peu ! Dites-moi, que choisissez vous ? Redescendre et sauver ces pauvres malheureux ou… (en se retournant vers elle)… on reste toutes les deux ici et on meurt ! dit-elle d’une voix sereine avec un sourire.

Sydney (les yeux rond de stupeur) : Isabelle !

*****

48 heures avant, Washington DC :

Dans sa maison, Sydney avait depuis quelques années choisi de retrouver une vie normale, après avoir perdu son mari sur le terrain, elle jugea qu’il était grand temps de passer la main, sa maison, ses enfants, son travail de professeur à l’université la comblaient suffisamment. Finalement, même sans l’adrénaline de ses mission périlleuses, la vie d’une mère était chaque jour une aventure.

Sept heures du matin, elle était déjà installée à sa table de cuisine, un journal devant les yeux et un bol de café à la main :

Isabelle : Bonjour maman !

La petite Isabelle avait bien poussé, elle était la fierté de sa mère, une fille douce et attentionnée qui passait son temps entre ses cours à la faculté de droit et son travail au sein d’un grand cabinet d’avocats qui la préparait à la vie active.

Elle se versa un bol de lait et s’installa face à sa mère, avant de lui prendre la moitié de son journal pour le lire aussi, une habitude qui remplissait à chaque fois le cœur de Sydney de joie.

Sydney : Jack ! Tu vas être en retard ! cria-t-elle.

Isabelle : Il a encore passé une bonne partie de la nuit dans la cave, à faire je ne sais quel projet pour son cours de mécanique… Fais attention, il est en train de devenir un vrai oncle Marshall…

Sydney (en souriant) : Arrête de te moquer de lui, il aime ça c’est tout… Mais dis-moi toi, comment ça va justement, avec Mitch ?

Isabelle (un peu gênée): Ca… Va… Ca va bien ! Tu sais… Jack ! Si tu nous mets en retard, crois moi, je vais te tuer ! cria-t-elle comme pour échapper au regard scrutateur de sa mère.

Jack : C’est bon ! Arrêtez de crier comme ça ! Je suis déjà habillé… Bonjour maman ! fit-il en l’embrassant sur a joue.

Le reste du petit déjeuner se déroula dans la bonne humeur, entre les histoires de la maman sur ses étudiants et celle d’Isabelle sur ses clients, seul le petit Jack se contentait de sourire de temps en temps. Il ne se transformait pas en Marshall se dit-elle intérieurement, il est juste comme son grand-père.

Une heure plus tard, elle déposa chacun de ses enfants à son école avant d’aller commencer sa journée chargée de cours.

Elle était en pleine explication des différentes idéologies contemporaines, quand quelqu’un frappa à sa porte, habituée au retard de certains étudiants, elle se tourna vers l’entrée d’un air mécontent, mais un visage familier lui fit froid dans le dos. En s’efforçant de sourire, elle congédia ses élèves et le rejoignit.

Sydney : Langly en personne ! Dixon, tu viens m’apprendre la fin du monde !? dit-elle sur un ton qu’elle s’efforça de montrer léger.

Dixon (en la serrant dans ses bras) : Tu m’as aussi manqué, Sydney !

Ils échangèrent quelques politesses, même si l’un et l’autre savaient que ce qui a fait se déplacer le directeur général de la CIA, ne pouvait être que grave.

Dixon : Comment vont mes filleules ?

Sydney : Leur parrain leur manque… Mais tu n’as pas fait tout ce chemin pour me…

Dixon : Justement si ! A quoi te fait penser ceci ? demanda-t-il en ouvrant un dossier qu’il avait à la main.

Sydney (un air d’inquiétude lui voilait déjà les yeux) : Ce sont des plans pour des engins mécaniques, Ils… Je croyais que toutes les œuvres de Rambaldi étaient sous scellé et qu’aucune copie…

Dixon : Ca vient d’un collège de la ville, ce ne sont que les devoirs de ton fils !

Il lui expliqua alors, que depuis quelques mois, l’adolescent dessinait puis recréait toutes sorte d’appareilles, toutes n’existant nulle part, sauf dans la zone 51 au désert du Nevada. Ces révélations eurent l’effet d’une bombe sur Sydney, mille et une questions lui traversaient l’esprit, comment ? Pourquoi ? Mais surtout qu’allaient-ils faire maintenant ?

Dixon : Un laboratoire de recherche vient de se présenter au collège de Jack, présentant au directeur, un projet visant à accueillir ses meilleurs éléments pour un stage durant l’été… En fait, Jack vient probablement d’être installé dans une salle d’..

Sydney : Vous allez interroger mon fils ! Ce n’est qu’un enfant, il…

Dixon : Calme-toi, tu sais très bien qu’on n’a pas le choix, ces dessins sont classés secret défense et le dernier qu’il a fait peut être considéré comme arme de destruction massive, rappelle toi cette église à…

Sydney : Je veux le voir, non Dixon, ce n’est pas négociable ! Je viens avec toi.

*****

A travers la vitre séparant la salle d’interrogatoire de l’observatoire, Sydney voyait son fils calme, serein et presque souriant, elle avait envie d’aller lui parler, mais savait qu’elle ne pouvait plus. Elle assista alors au questionnaire que le jeune agent fit passer à son fils.

Jack ne parut touché à aucun moment par les questions insistantes de son interlocuteur, il y répondit sans détour, par de courtes phrases expliquant que personne ne lui demandait de les faire spécialement, et il ne les donnait à personne, mais que ces derniers temps un forum d’échange intellectuel auquel il participait, lui avait lancé un challenge, celui de faire un plan de ce qui pouvait être un appareil électromagnétique qui en utilisant… (L’agent perdit vite le fil de la conversation, un garçon de tout juste 14 ans, le perturbait par des termes trop scientifiques !)

Derrière la vitre, Sydney trembla en apprenant qu’il avait envoyé ce prototype pour participer à un concours de créations mécaniques !

L’agent lui montra alors des images de différents parchemins de Rambaldi, et l’adolescent souriait à chaque fois qu’il tombait sur quelque chose qu’il a lui-même créé, jusqu’à ce que la page 41 arrive, celle où par des formules mathématiques, un visage familier se dessinait. S’attendant à ce qu’il demande pourquoi on lui montrait un dessin sur sa mère, l’agent et Sydney n’eurent qu’un mot compréhensible : l’élue ! Avant qu’il se mette à parler en italien d’une manière si rapide qu’on aurait cru que c’était sa langue natale, pour dire qu’il était inutile de se tracasser pour des choses, qu’ils ne pouvaient contrôler, tout était tracé depuis des siècles, un savoir qu’ils ne pouvaient avoir, un avenir qu’ils ne pouvaient changer… le destin s’est mis en marche il y a des années… Ceci n’est qu’une suite logique de ce qui avait commencé !

Sydney : Il est comme Nadia… Il a la mémoire de Rambaldi ! soupira-t-elle les larmes aux yeux.

Dixon (en arrivant par derrière) :Je suis désolé, mais c’est beaucoup plus grave… Ils ont réussi, Sydney… Les tests ADN le confirment, tu as mis au monde… Rambaldi !

Quelques heures plus tard, les services de la CIA découvrirent que le dit forum, n’est en fait qu’une autre façade cachée d’un vaste monde virtuel où des disciples de Rambaldi s’échangeaient leurs idées et leurs informations en attendant le retour de leur maître qui viendrait nettoyer le monde de tout ce qui est impure, et le recréer à l’image de la perfection qu’il avait en tête, le petit Jack, n’avait aucune idée de toute cette histoire, il n’était en fait qu’un adolescent comme les autres avec juste un QI supérieur à tout ce qu’a connu l’humanité… Il n’était que Rambladi à l’âge de 14 ans !

Ayant exigé de faire partie des investigations et comme de toutes les personnes qui avaient eu à faire aux folies de Rambaldi, elle n’était avec Dixon que les seules rescapés, elle n’eut pas trop de mal à les convaincre… Après tout, vu se qui se préparait une aide supplémentaire n’était pas de trop.

Les locaux bouillonnaient, on devait revoir toutes les investigations faites ces dernières années, et raisonner comme ces malades qui rêvaient de contrôler le monde… Pourquoi la combustion instantanée… Ca faisait partie des méthodes de Slone, une manière à lui pour mettre la zizanie là où il voulait redistribuer les cartes de jeux ! Et c’est de là que l’idée est venue, le monde entrait dans une phase nouvelle, quoi de pire pour des assoiffées de pouvoir et de sang, qu’une fin de guerre annoncée et un mémorable traité de paix tout juste signé.

 

Vers minuit, ils avaient déjà réussi à rassembler une grande partie du puzzle, une mission au Moyen Orient était programmée, une occasion de revoir son meilleur ami, pensa Sydney. Will, qui pour des raisons d’état, était devenu depuis près de deux ans l’ambassadeur américain dans la région et avait contribué en grande partie à la signature du traité. Elle exigea donc de faire partie de la mission, sachant que depuis quelques années, une loi internationale interdisait formellement les agissements des services secrets sur des territoires étrangers… Elle n’était plus un agent secret depuis longtemps.

Au moment de prendre l’avion, Dixon lui rappela encore une fois qu’elle n’était pas obligée de le faire, mais elle lui sourit chaleureusement, en disant qu’elle le savait bien et il la serra dans ses bras.

Sydney (en chuchotant à son oreille): Comment va-t-il ?

Dixon : Il est en vie… Je ne peux pas t’en dire plus !

 

Maintenant, toit de l’Ambassade Américaine, Jérusalem :

Isabelle : Surprises… Surprises !

Sydney (les main tremblantes sous le choc) : Comment…

Isabelle : Ah mais calme toi, mère ! Un infarctus sur le toit de l’ambassade américaine d’une femme qui ne porte aucun papier sur elle… C’est toi qu’on aurait accusé, si j’avais été plus dure avec ce cher oncle Willy !

Sydney : Qu’est ce qui te prend, comment tu t’es laissée embarquer dans ce…

Isabelle : Je rectifie tes erreurs et tes trahisons envers notre pays, Dieu merci, papa n’est plus de ce monde pour découvrir ta réalité… (Comme Sydney était figée sur place par les dires de sa propres fille, Isabelle alluma son appareil)… Je t’aurais bien fait payer ta traîtrise… Mais je n’ai pas reçu d’ordre à ce sujet… Alors je te dis juste… à … Mais je pense…  Tu reste ici… Alors plutôt, à une autre vie ! cria-t-elle avant de s’élancer dans les cieux et s’éloigner.

Sydney n’eut pas beaucoup de temps pour se remettre de ses émotions, elle avait un engin de mort à désamorcer, ce qu’elle réussit à faire de justesse, mais au moment de quitter les lieux, celui qui fût son meilleur ami l’informa du fait que la mission de la jeune Isabelle, n’était probablement pas la bombe, mais de prendre ce qu’il avait su cacher toutes ces années.

 

Dix étages plus bas, cabinet d’avocats E&N :

Isabelle (parlant sur un ton véhément qui trahissait sa rage intérieure) : … J’aurais néanmoins voulu pouvoir rendre justice à notre pays, à votre femme et votre fille mais aussi à mon père, vous n’auriez eu qu’à me donner l’ordre, croyez moi, je n’aurais pas hésité, j’aurais…

Un homme assis à son bureau (lui tournant le dos) : Du calme, mon enfant, se sentir capable de le faire, et pourvoir le faire sont deux choses différentes, croyez moi, vous avez encore beaucoup à apprendre pour arriver à lui faire vraiment face…

Isabelle : Mais…. (Elle s’arrêta en voyant le fauteuil pivoter)

Arvin Slone : Les erreurs viennent du fait de vouloir tout faire, très vite… Ayez foi en mon expérience… Tout vient à point à qui sait attendre ! On aura tous notre revanche un jour, mais pour le moment, on a plus important à faire !

Isabelle (semblant se calmer et regagner son beau sourire) : Merci… Grand-père ! fit-elle en faisait un baiser sur la joue de l’homme qui, vingt ans avant, avait tué son vrai grand-père !

Ecrit par drogba 
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