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Le dur retour à la réalité

Assise sur un banc, elle repensait à ce qu’il l’avait amené ici. Devait-elle franchir cette porte ? Devait-elle lui dire ? Tout c’était bien passé jusqu’alors, pourquoi vouloir tout changer en lui révélant ce qui ferait mieux de rester secret. « Parce qu’il le fallait tout simplement », soupira-t-elle… Lentement, elle se leva et marcha jusqu’à la maison qu’elle connaissait tant.
Elle s’arrêta sur le palier, hésitante. Le fallait-il vraiment, était-elle obligée de lui avouer ? Cette révélation allait sûrement tout changer entre eux.
« Je dois y aller, il doit savoir. », prononça t-elle avec conviction.
Se donnant du courage, elle poussa le battant de la porte. Elle pénétra dans un univers si familier, que de nombreux souvenirs resurgissaient, violents. Elle allait tout faire basculer, elle ne pouvait pas, elle recula… Mais c’était trop tard, elle l’entendit arriver à sa rencontre. La découvrant, il eu un hoquet de surprise.
Dawson : -Joey ! Mais qu’est-ce que…
Joey : -Bonjour Dawson.
Dawson :-Waouh ! Quelle surprise… C’est…
Joey :-Et oui, c’est bien moi.
Dawson : -Je suis si heureux de te revoir, mais je ne m’y attendais pas…
Joey :-Ben voilà ! Surprise !
Dawson (rire) :- Viens, allons dans ma chambre pour discuter un peu.
Il remontait l’escalier, Joey le suivant.
Dawson (se retournant brusquement) : -Mais au fait, comment se fait-il que tu es rentrée par la porte, autrefois tu préférais passer par la fenêtre de ma chambre.
Joey (le regardant droit dans les yeux) : -Oui, autrefois… Mais tu sais Dawson, tout évolue, un jour ou l’autre…
Un silence s’imposa.

Ils montèrent dans la chambre de Dawson. Joey regarda autour d’elle, rien, de ses souvenirs n’avait été modifiés. Des affiches de divers films à succès ornaient les murs. Des cassettes vidéo s’empilaient dans tous les coins de la pièce. « Des œuvres qu’ils avaient vu et revu tant de fois ensemble… », songea-t-elle.
Joey :-Je me rappelle lorsque tu as décidé de te séparer de tous tes posters de Spielberg.
Dawson (rire) : Oui, j’étais dans une de mes nombreuses crises existentielle.
Joey :-Tu avais décidé d’être « un nouveau Dawson. »
Dawson :-Oui, mais finalement, j’ai préféré retrouver le Dawson que je connaissais. Et puis il faut dire que Spielberg, c’est toute ma vie.
Joey : -Donc, je vois que tu es toujours aussi fan de cinéma.
Dawson : -Oui, je me suis inscrit dans une fac de cinéma et maintenant je continue mes études dans ce domaine. Que veux-tu, je m’accroche à mon rêve de gosse.
Joey : -Je vois, je vois.
Elle faisait les cent pas, en effleurant des objets pour se donner contenance.
Dawson : -Et toi, dis-moi, qu’es-tu devenue depuis tout ce temps, et pourquoi être revenue à Capeside après si longtemps ?
Joey : -Tu exagères Dawson, six mois ce n’est pas si long.
Dawson :-Ah oui, tu trouves ? J’attendais ton retour avec impatience. Mais tu ne m’as toujours pas répondue, pourquoi es-tu partie pendant toute cette période ?
Joey :-Ca, c’est une longue histoire… ,soupira t-elle, s’asseyant sur le lit.
Dawson :-Ben vas-y, raconte ! Qu’attends-tu ?
« Du courage », pensa-t-elle.

Dawson la regardait, attentif.
Joey (gênée, se levant) : -Ecoute Dawson, c’est pas facile à dire.
Dawson :-Quoi, qu’y a t il ?
Joey :-Bon, je me lance. Voilà, pendant le temps où je me trouvais à New York, j’ai eu l’occasion d’organiser une exposition de mes peintures.
Dawson :-Joey, que veux-tu me dire ?
Joey :-Si tu me laisserais finir, tu pourrais savoir.
Dawson :-Excuse-moi.
Joey :-J’ai rencontré quelqu’un.
Dawson (se levant pour la rejoindre) :-Ecoute Joey, je sais très bien que depuis notre séparation, notre relation est devenue fragile, mais tu es libre ! Ta vie ne me regarde plus…
Joey :-Dawson…
Dawson :-Non Joey, je ne vois pas pourquoi tu me racontes cela maintenant…
Joey (le coupant brusquement) :-Dawson, arrête !
Dawson :-Quoi ?
Joey :-J’y ai réfléchis pendant tout le trajet que j’ai parcourue en train pour revenir ici. Je ne savais pas si… Si je devais vraiment te l’annoncer. A présent, je suis devant toi et j’ai peur.
Dawson (avançant lentement vers Joey) :-Joey…
Joey :- Non ! J’aimerais pouvoir te dire que je suis simplement venue pour te voir, que tout va bien, que… (Des larmes lui bordent les yeux) Mais je ne peux pas te mentir Dawson.
Elle va s’asseoir sur le lit et mit sa tête entre ses mains. Et relevant son visage lacéré de larmes vers Dawson, en face, debout, impuissant.
Joey :- Dawson, jure moi que nous resterons toujours amis.
Dawson :-Mais pourquoi, je…
Joey :-Jure le moi !
Dawson :- Mais dis-moi à quoi rime toute cette mascarade !
Joey :- Jure, c’est tout ce que je demande !
Dawson :-Mais bien sûr ! Joey, cela n’a aucun sens, tu arrives sans prévenir après des mois d’absence sans aucune nouvelle, pour annoncer que tu as rencontré quelqu’un ! Et tu me fais jurer pour notre amitié ! Regardes-toi, ce n’est pas toi Joey ! Tu as toujours eu l’horreur des grandes scènes et là, tu es devant moi, à me supplier et à pleurer ! Qu’est-il arrivé ?
Pas un bruit.
Dawson :-Bon, je vais te laisser seule.
Joey (dans un murmure imperceptible) :-Je suis mariée, Dawson.
Dawson :- Quoi ?
Joey (relevant la tête) :-Je suis mariée.
Dawson (ébahis) :- Mariée ?
Joey :- Oui, cela va bientôt faire deux mois.
Dawson :-Mais comment cela se peut ?
Joey :-Ne m’en veux pas Dawson. J’étais à New York, seule, déboussolée. Je suis partie pour oublier. Oublier ma vie ici, à Capeside. Toi, Pacey… Nous nous sommes rencontrés le jour de mon expo, nous avons commencé à parler. Il m’a tout de suite comprise. Il a vécu des moments semblables aux miens, cela nous a rapproché et rassurés. Nous sommes sortis plusieurs fois ensemble. Comprends-moi Dawson, il m’a vraiment aidé à immerger, devenir celle que je suis. Et puis…nous sommes devenus plus que des amis. Tout est allé très vite ! Un soir, lors d’un dîner au restaurant, il m’a demandé de l’épouser. J’ai tout d’abord refusé. Nous nous connaissions depuis seulement trois mois, le mariage pour moi était encore loin. J’avais tellement de projets avant de penser à fonder une famille. Mais, il a été très convaincant. Il m’a dit qu’il pourrait nous aider, Bessy et moi, qu’il s’occuperait bien de moi, que l’on serait heureux ensemble. J’y croyais Dawson, et je voulais que Bessy puisse être enfin satisfaite. Alors je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai accepté. Je pensais que ce serait le meilleur moyen de tourner définitivement la page, et que je pourrais enfin nous sortir des ennuis avec Bessy. Mais je t’assure qu’à ce moment précis, je l’aimais vraiment. C’était sincère. Quand je lui est posée la question qu’en à la date de cet évènement, il m’a répondu que nous serions mariés le plus vite possible, peut-être le lendemain même. Je ne l’ai pas cru, comment pouvait-on se marier si vite ? Il m’a emmené à la voiture et nous avons roulé toute la nuit. Je m’étais endormie et en me réveillant et en ouvrant les yeux, je m’aperçus que nous étions arrivés dans une grande ville, il y avait des casinos partout : Las Vegas. Là-bas nous nous sommes mariés très facilement, il suffisait de signer quelques papiers, et nous étions époux. C’était si rapide que je me suis demandé si j’étais bien dans la réalité. Nous formions un couple à l’insu de personnes. C’est après que j’ai regretté d’avoir dit oui. J’ai si honte Dawson !
Dawson :-Je ne comprends pas Joey, pourquoi ?
Joey :-…
Dawson :-Tu avais pourtant le choix.
Joey :- Justement, j’avas trop de décisions à devoir prendre, Pacey ou toi, garder mon ancienne vie ou tout reconstruire…
Dawson vint s’asseoir à côté de Joey, ils se regardèrent dans les yeux.
Dawson :- Tu te rappelles Joey, ton rêve de petite fille ? (Joey baisse la tête, Dawson regarde droit devant lui) Nous passions des heures, assis, en face de l’église. Et je t’écoutais m’expliquer avec enthousiasme, le mariage auquel tu rêvais quand tu serais plus grande. Tu voulais qu’il se passe ici, entouré de tes amis. Tu te décrivais, arrivant dans une longue robe blanche, un bouquet de roses à la main. (Avec un léger sourire) Tu m’avais même supplié d’être ton témoin ! Tu ne jouais peut-être pas aux poupées car tu détestais cela, mais tu avais un rêve que toutes petites filles ont. Tu attendais de grandir, tellement pressée de te voir ce jour de ta vie qui devait être si merveilleux. Et aujourd’hui, tu es mariée, mais ton rêve ne s’est pas réalisé. Il s’est effondré comme l’amie que j’avais.
Joey :-Je suis désolée Dawson. Je ne voulais pas…
Dawson :-Non, je croyais que nous comptions pour toi…
Joey :-Mais bien sûr !
Dawson :-Toi, tu comptais pour moi.
Un calme presque irréel remplaça les voix.
Dawson :- Tu en as parlé à Bessy ?
Joey :-Non, pas encore.
Dawson :-Alors vas-y.
Joey (se retournant vers Dawson) :-Dawson…
Dawson :-Au revoir Joey.
Joey se résigna, jeta un dernier regard à Dawson avant de quitter la pièce. Elle descendît les escaliers, reniflant. Puis elle entendit une voix.
Mme Leery :-Oh Joey, tu de retour !
Joey (relevant la tête) : -Bonjour Mme Leery.
Mme Leery :-Quelle bonne nouvelle. Viens voir Mitch ! Joey est revenue ! Tu es allé voir Dawson, il doit être fous de joie !
Mitch :-Bonjour Joey ! De nouveau parmi nous ?
Joey (essayant d’esquisser un faible sourire) :- Oui.
Mme Leery :-Mais tu en fais une drôle de tête. Quelque chose ne va pas Joey ?
Joey :-J’ai perdu mon meilleur ami. Excusez-moi.
Elle les bouscula et partit en courant, pleurant.

Elle ralentit sa course et se dirigea vers sa maison, qu’elle avait quittée quelques mois auparavant. Elle y revenait, différente… Elle s’approcha, à en juger les nombreuses voitures, il devait y avoir pas mal de monde. Un sourire apparut sur son visage. Au moins Bessy et le bébé ne manquait plus d’argent grâce au Bed and Breakfast. Elle toqua à la porte. Elle se sentait comme étrangère à cette demeure et pourtant…
Un garçon d’environ quinze, seize ans lui ouvrit.
Joey (étonnée) :-Salut.
Le garçon :-Salut. (Il la dévisagea) Ah mais tu dois être Joey, la sœur de Bessy. Tu sais, elle m’a beaucoup parlée de toi. Elle m’a engagé après ton départ. Elle était vraiment très inquiète pour toi. Tu ne lui donnais que de rares échos, elle ne savait pas ce que tu étais devenue.
Joey (désorientée par autant de paroles) :- Heu…
Le garçon :-Au fait je me présente, Matt.
Ils se serrèrent la main.
Joey :-Ben, enchanté Matt.
Matt :-Mais excuse-moi, je parle beaucoup trop. Je vais aller chercher ta sœur. Entre !
Joey :-C’est rien. Merci.
Il s’en va. Elle regarda autour d’elle. La tristesse l’envahit. Pourquoi avoir quitté cet endroit qu’elle aimait tant ? Bessy arriva, Alexander sous le bras, la coupant dans ses réflexions.
Bessy: -Joey!
Joey: -Coucou Bessy.
Elles se serrèrent dans les bras.
Bessy :- Tu m’as beaucoup manquée, Joey.
Joey :-Toi aussi, Bessy. (Regardant Alexander) Et toi aussi ! Mais qu’est-ce que tu as grandi !
Bessy :-Oui c’est un grand garçon maintenant. (Regardant Joey) Mais toi aussi tu as changé, Joey, tu deviens une vrai femme !
Joey :-Je n’ai plus 12 ans.
Bessy :-Et en plus, très jolie ! Tous les garçons devaient être à tes pieds à New York, non ?
Joey (sourire gêné) :-Ecoute, Bessy, je dois te parler.
Alexander :-Maman, bibon !
Bessy (regardant son fils) :- Ah tu vois, il sait déjà me dire quand il a faim. Il ressemble de plus en plus à son père.(Rire) Je suis désolé, Joey, tout à l’heure. Je vais préparer son biberon.
Elle s’éloigna, laissant Joey, seule, au milieu de la pièce.
Matt (arrivant dans la salle) :-Alors comment c’est New York ?
Joey (paraissant exaspérée) :-Ecoute, si ça ne t’ennuies pas, je vais sortir faire un tour.

Joey était assise sur un banc, face au rivage. Elle paraissait pensive. Pacey arriva et la remarqua.
Pacey :-Tiens, tiens, voici une revenante !
Joey (tout d’abord surprise, puis avec un sourire) :-Pacey !
Pacey :-Ca fait un bail dis moi, tu t’étais perdue dans New York ?
Joey :-Ah, ah, très drôle ! Je vois que ton humour est toujours aussi mauvais, Pacey !
Pacey :-Que veux-tu, on ne se refait pas.
Pacey (s’assoit près de Joey) :- Je suis sûr que tu es de retour car tu n’as pas pu résister au célèbre charme de Pacey Witter !
Joey :-Certainement !
Pacey :-Je le savais, personne ne peut résister à un pompier.
Joey (tournant la tête vers Pacey, ahuri) :-Pompier ?
Pacey :-Et oui, le temps que tu es parti je me suis inscris et j’ai réussi l’examen.
Joey :-Comme ça. Et depuis quand tu voulais devenir pompier ?
Pacey :-Je ne sais pas, cela m’ai venu ainsi, mais je crois que j’ai enfin trouvé un métier qui me passionne. Et tu vois, tu en ais la preuve vivante, cela attire les belles filles !
Court silence.
Pacey :- Alors, dis-moi franchement, que nous vaut ton arrivée à Capeside ?
Joey (perdant tous sourire) :-…
Pacey :-Et ben, je vois que ça ne t’arranges pas, toi, les grandes villes !
Joey :-Je ne suis pas revenue par hasard.
Pacey (reprenant son sérieux) :-Joey, je ne sais pas pourquoi tu es partie mais…Tu avais raison, je n’avais pas à te demander de choisir entre moi et Dawson. C’était idiot de ma part. Dawson est ton ami et…
Joey (le coupant) :-Plus maintenant.
Pacey (se tournant vers Joey) :-Ca veut dire quoi, plus maintenant ?
Joey-…
Pacey :-Oh non, Joey et Dawson sont encore en pleine crise d'affection ! Vous n’avez pas un peu fini vous deux ! Une fois oui, l’autre fois, non, qu’en cesseriez vous de vous comporter comme des gamins ! Entre parenthèse, nous sommes bientôt majeurs !
Joey (se tournant vers lui et devenant agressive) :-Non, tu crois ? Et bien, va le dire à Dawson, il ne doit pas en être informé !
Pacey :-Houlà pas si vite, calme toi ! C’était pourquoi cette fois ? Je ne comprends vraiment pas, cela fait plus de six mois que vous ne vous êtes pas vus, et la première chose que vous faite en vous apercevant c’est de se disputer ! Désolé Joey, mais là je décroche, il va falloir que tu m’expliques.
Joey posa sa tête sur l’épaule de Pacey, mélancolique. Elle avait confiance en lui, il l’avait si souvent aidé lorsque elle avait besoin de soutien.
Joey :-C’est si dur Pacey.
Pacey fut étonné du geste tendre de Joey. Généralement, c’était lui qui faisait le premier pas et Joey se contentait de le suivre.
Pacey :-Dur, quoi ?
Joey :-Je ne pensais pas que de revenir serait aussi difficile. Je savais que se serait pénible de vous l’annoncer mais…
Pacey (de plus en plus surpris) :-De nous l’annoncer… Nous annoncer, quoi ?
Joey (se redressant et regardant Pacey droit dans les yeux) :-Je suis mariée Pacey.
Pacey :-Mariée…C’est une blague Joey. Bravo, tu deviens de plus en plus forte Potter, mais je pense que de me côtoyer ne te réussi pas.
Joey :-Pacey, ce n’est pas une plaisanterie. Je suis mariée.
Pacey (abasourdie, puis se met en colère) :-Je vois que tu ne fais pas les choses à moitié, Potter. Tu l’as rencontré à New York c’est ça ? Il t’a sûrement fait son grand numéro et tu es tombée dedans. Oh, et je suis sûr qu’il est riche, son père doit posséder de grandes entreprises et…

Jen, Andie et Jack qui se promenaient, reconnurent Joey en compagnie de Pacey.
Jen :-Franchement, qu’est-ce-que c’est calme, ici en hiver !
Jack :-Regardez, ce ne serait pas Joey, avec Pacey, là-bas, pas hasard ?
Andie :-Mais oui, c’est elle ! Allons-y !
Ils se dirigèrent vers elle.
Andie :-Joey ! Tu es revenue, c’est génial !
Jack :-Salut Joey !
Jen :-Attendez qui a-t-il ? Vous en faite une tête !
Andie :-Pacey, tu parais, énervé.
Pacey (rire) :-Enervé ! Tu veux leur expliquer Joey, ce que tu as fait pendant ton voyage à New York ! Je vais leur dire ; les amis, miss Potter est mariée ! Mais au fait tu ne t’appelles plus Potter maintenant, quel est ton nouveau nom ?
Jen :-Marié ?
Andie (vers Joey) :-Mais depuis quand, pourquoi ne pas nous en avoir informer, Joey ?
Pacey :-Pourquoi en avertir ces amis, elle était bien trop occupée à jouer son rôle de Marie couche toi là !
Joey mit une baffe à Pacey.
Joey (outrée) :-Alors là, tu es allé trop loin Pacey. Je croyais que toi tu comprendrais. Même pas toi…
Elle s’éloigna sans se retourner. Les autres restèrent sans voix autour de Pacey, regardant partir Joey.

Dawson se trouvait dans sa chambre. Il ouvrit une armoire pour en chercher un pull. Un objet tomba. Il le ramassa. C’était une photo. Joey et lui, souriant devant l’objectif. Bras dessus, bras dessous. Il tourna la photo : mars 1992 y était inscrit en crayon de papier. « Nous devions alors avoir 9 ans », pensa-t-il. Il scruta à nouveau le cliché. « Nous étions inséparable. » Une brune, un blond, joyeux et profitant de la vie. Une petite fille si prévenante…
«-Mais qu’est-il arrivé à cette petite fille, Joey ? »Pensa-t-il.

Jen, Jack et Andie sont autour de Pacey. Ils cherchèrent à comprendre ce qu’il s’était passé.
Andie :-Pacey, tu es encore allé trop loin.
Pacey :-Pacey, le fameux vilain petit canard ! Trop stupide pour comprendre, alors allons-y ! Nous pouvons jouer avec ses sentiments ! Ne vous gêner pas !
Jen :-Arrête Pacey ! Nous n’avons jamais dis cela ! Mais tu es allé fort en la traitant de Marie couche toi là ! Personne n’est digne de se faire traité de la sorte ! J’ai aussi subi cela et je peux te l’avouer, cela fait mal jusqu’au plus profond de nous.
Pacey :-Et tu crois que de jouer avec les gens comme des marionnettes c’est humain !
Jen :-Mais qu’a-t-elle fait enfin ! Elle s’est mariée, et alors ? Si elle l’aime vraiment et que c’est son choix.
Pacey :-Pourquoi ne pas nous en avoir avertit à ce compte là ?
Andie (pas très convaincue) :-Elle voulait peut-être nous faire une surprise !
Pacey :-Une surprise ! (En élevant la voix) Pourquoi être partit à New York ? Pourquoi avoir épousée un bourgeois ? Je ne sais pas si vous le remarqué, mais ce n’est pas du tout la Joey que nous avons connue !
Jen :-Mais laisse la enfin ! Tu l’étouffais, c’est pour cela qu’elle est partit et tu le sais très bien !
Pacey :-Si c’est étouffer quelqu’un, que de l’aimer !
Jen (baissant les yeux, ne savant plus quoi dire) :-…
Andie :-Ecoute Pacey…
Pacey :-Laissez moi ! Vous ne savez pas ce que nous avons vécu avant. Vous ne comprenez pas le mal qu’elle vient de me faire !
Il les bouscula pour se frayer un chemin. Jack le retint.
Jack :-Calme toi !
Pacey (hors de lui) :-Lâches moi et foutez moi la paix !
Après s’être débattu pour se dégager de l’étreinte de Jack, il se dirigea vers sa voiture.
Andie :-Pacey, tu ne peux pas conduire dans ton état !
Il ne l’écouta pas, monta et démarra au quart de tour.
Jen :-Je ne sais pas vous, mais j’ai un mauvais pressentiment.

L’officier de police se dirigea vers la voiture qu’il venait d’arrêter. Son conducteur roulait à une vitesse folle, venait de griller un feu rouge et avait manqué de provoquer plusieurs accidents.
L’officier de police :-Sortez du véhicule, s’il vous plaît !
Le conducteur ouvra la porte et se découvrit.
L’officier de police :-Pacey ! Oh non, pas encore.
Pacey (complètement ivre) :-Bonjour Douggy !
Doug :-Mais c’est pas possible, tu sens l’alcool à pleins nez ! Tu as fait la tourné des bars ! Tu es totalement saoul !
Pacey :-Tu l’avais aussi remarqué, grand frère !
Doug :-Tu es vraiment irresponsable ! Tu as failli produire de terribles accidents !
Pacey :-C’est ça la différence Douggy, j’ai failli…
Doug :-Tu sais que je vais devoir d’arrêter pour conduite en état d’ivresse.
Pacey :-J’aurais encore le droit à une interminable garde à vue derrière les barreaux ?
Doug :-Tu commences à en avoir l’habitude, on dirait ?
Pacey :-C’est que vous êtes d’une hospitalité si charmante, que je ne peux m’en passer.
Doug :-Allez fini les plaisanteries et suis moi au poste.
Pacey (se redressant) :-Bien, chef !

Joey marchait dans la rue, les mains dans les poches, le regard vers le sol, malheureuse. Mais tout d’un coup, un passant lui agrippa le bras, la faisant sursauter.
Le passant :-Excuse-moi, mais, tu ne serais pas Joey.
Joey (levant la tête) :-Si pourquoi…Colin !
Ils se serrèrent dans les bras.
Colin :-Alors on dit partout que tu es de retour.
Joey :-Comment tu es au courant ?
Colin :-J’ai mes petites infos.
Joey :-Ah, tu ne changes pas.
Colin :-Toi non plus tu sais, toujours aussi jolie, une superbe fille qui brisent de nombreux cœurs innocents, encore aujourd’hui.
Joey :-Pourquoi tu me dis ça ?
Colin :-Pacey.
Joey :-Ah. Et alors ?
Colin :-Joey, tu sais les nouvelles vont vites à Capeside, surtout quand nous sommes justement le cousin de Pacey et ex-petit ami de Joey.
Joey (sourire) :- Ah oui ?
Collin :-Tout à fait.
Silence.
Collin :-Si on allait s’asseoir ?
Joey :-C’est pas de refus.
Ils allèrent s’asseoir à la terrasse d’un café.
Collin :-Ecoute, je ne vais pas te mentir, Joey. Pacey va mal depuis ton départ à New York.
Joey :-Si c’est pour me parler de lui ce n’est pas la peine, je m’en vais.
Elle se leva, il la retint, elle se rassit.
Collin :-Attends. Comprends le un peu ! Du jour au lendemain, tu t’en vas tentez ta chance à New York, sans précisons. Personne ne sait ce que tu deviens et tu réapparais…mariée !
Joey :-Ca aussi tu le savais.
Collin :-Oui.
Joey (montant la voix) : -Et moi, est-ce qu’on à essayé de me comprendre quand je leur est expliqué ! Est-ce qu’on a essayé de comprendre pourquoi j’étais partie ! Est ce que seulement on m’a donné le choix. Personne ne sait ce que je ressens en ce moment. Personne ne sait pourquoi est ce que je suis réellement revenue. On m’a jeté à la porte avant de m’écouter. On ne m’a pas laissé le temps de m’expliquer. Cela arrive à tout le monde de faire des erreurs. (Se calmant, doucement) On les paye après. Et on regrette.
Collin :-Je suis désolé.
Joey :-J’ai perdu les deux êtres les plus chères à mes yeux, aujourd’hui. Et tout cela pourquoi ? Pour leur avoir avouée la vérité. J’aurais pu leur mentir. Tout aurait été tellement plus simple ! Les êtres humains ont peur de la vérité, c’est plus facile pour eux de la nier, mais quand on la leur dévoile, ils ne peuvent la supporter. Pourtant, la vérité n’est que la pure réalité.
Collin :-Tu as bien fait, Joey.
Joey :-Je n’en suis plus si sûr.
Il posa sa main sur celle de Joey.
Collin :-Joey, tu aimes encore Pacey ?
Joey (baissant les yeux):-Oui.
Collin :-Va le lui dire alors. Va lui expliquer ce que tu as vraiment sur le cœur. Il a tellement besoin de toi en ce moment.
Joey :-Et Dawson ?
Collin :- J’irais lui parler.
Joey :-Merci beaucoup Collin. Je ne sais pas ce que j’aurais fait sans toi.
Collin :-Non, tu m’a juste ouvert les yeux, tu avais raison. Ils ont eu la crainte de te voir changer, ils ont eu peur d’être devant une inconnue, alors ils t’ont rejeté.
Joey :-Pacey souffre vraiment ?
Collin :-Actuellement il est en garde à vue.
Joey :-Pourquoi ? Qu’a-t-il fait ?
Collin :-Conduite en état d’ivresse. Il a essayé de t’oublier, mais…
Joey :-Et tout cela par ma faute.
Collin :-Ne tends rends pas coupable et va le voir.
Joey :-D’accord.
Elle se leva. Et avant de partir, elle se tourna vers Collin et l’embrassa sur la joue.
Joey :-Merci.

Elle était arrivée. Elle se trouvait devant le poste de police. Elle était un peu anxieuse d’y entrer, elle allait devoir lui dire, si il voulait encore l’entendre. Elle franchit la porte. Doug la vit, et immédiatement, vint à sa rencontre.
Doug :-Bonjour Joey. Que nous vaut ta visite ?
Joey :-A ton avis, je viens voir ton frère.
Doug :-Je ne te le conseilles pas, il est vraiment dans un sale état.
Joey :-Il faut absolument que je lui parle.
Doug :-Maintenant ?
Joey :-Le plus tôt sera le mieux.
Doug :-Si tu insistes. Suis-moi, je vais t’ouvrir la porte de sa cellule.

Collin se trouvait dans la chambre de Dawson. Il avait essayé par tous les moyens de le raisonner, mais Dawson ne voulait plus entendre parler de Joey. Il essaya encore.
Collin :-Mais que cherches-tu as faire, en l’excluant de tes relations ?
Dawson :-…
Collin :-Tu veux la punir de s’être mariée, de t’avoir quitter ou d’avoir changée ?
Dawson qui était allongé sur son lit, à la fin de la phrase, tourna la tête et se rassit.
Dawson :-Regarde. (Il tendait la photo qu’il venait de retrouver à Collin) Je l’ai retrouvé cette après-midi, par hasard. Je ne peux pas m’empêcher de penser à ce temps-là. Tout était si différent. Je la connaissais comme une sœur, nous étions si proche. Et maintenant je me rends compte, que cela était si fragile. Un léger souffle, pour que tout s’effondre.
Collin :-Rien ne s’est effondré, Dawson. Il suffirait de juste un signe de ta part, pour que tout redevienne comme avant. Votre complicité, vos souvenirs sont encore là, et c’est une chose que vous partagez. Tu as votre amitié entre les mains. Fais le bon choix.

Il lui ouvrit, elle hésita un instant puis pénétra dans la cage qui renfermait Pacey. Il était recroquevillé au fond de la pièce, comme un petit chiot, ayant fait une bêtise. Elle eu un pincement au cœur en le voyant ainsi. Si vulnérable, elle qui l’avait toujours connue blagueur, impulsif… Elle s’approcha.
Joey :-Pacey…
Il leva à peine les yeux.
Joey :-Je comprendrais que tu ne souhaites pas me parler mais je vais quand même te dire ce que tu dois savoir.
Silence.
Joey :-Je suis désolé de la tournure qu’à pris notre conversation, tout à l’heure. Je ne voulais pas te faire de mal mais…je ne savais pas que…
Pacey :-Que je tenais encore à toi, c’est ça ?
Il leva enfin un oeil réprobateur sur elle.
Joey :-Peut-être, oui.
Pacey :-J’ai pas besoin de tes excuses. Cela fait près de cinq heures que l’on m’a enfermé dans ce trou pourri, alors tu vois, j’ai eu le temps d’y réfléchir. J’ai trouvé le problème Joey, quel idiot tiendrait encore à une fille, qui lui a fait comprendre que c’était fini ?
Nouveau silence.
Joey :-Un garçon bien, qui ferait saisir à la fille qu’en le quittant elle a commis une grave erreur. Elle le savait, mais il lui avait juste fallu du temps. Alors elle est revenue vers ce garçon pour lui avouer qu’il n’y avait que lui qui comptait. Malheureusement, elle avait pris trop de temps, et maintenant il ne lui restait juste ces yeux pour verser des larmes. Elle avait tout perdue.
Il leva a nouveau son regard une Joey, si petite dans cette espace, si seule au milieu de rien.
Joey :-Pacey, tu as toujours été présent pour moi. Tu es une des seules personnes qui me connaisse vraiment. En tant qu’ami et par la suite petit ami, tu m’as beaucoup appris, et tu m’as même guidé sur le chemin qui mène à la femme que je suis à présent. Je n’ai pas su te rendre tout cela, j’ai été effrayée par l’amour que tu me donnais, alors je me suis enfuie. J‘ai essayé de t’effacer, de me persuader que tu n’existais plus pour moi, mais ce n’était que des histoires, que je me racontais. Alors je me suis dit que je ne pourrais pas nier ainsi toute ma vie. La vérité vient avec le temps. Je suis rentrée à Capeside, mais apparemment, mon sablier s’est retourné, avec lui mes derniers espoirs.
Pacey :-Et ce mariage ?
Joey :-Mon mari n’a pas réussi a combler ce vide, je ne peux pas lui mentir, même si j’ai gâché ma chance, je ne peux pas continuer à vivre avec lui en pensant à un autre. Je vais divorcer.
Pacey :-Pourquoi ne pas être revenus plus tôt ?
Joey (baissant les bras, exaspérée) :–Je ne sais pas…je ne sais plus, je ne sais même pas pourquoi je suis ici, ça ne sert visiblement à rien.
Elle se regagna la porte, pour sortir.
Pacey :-Attends.
Elle se retourna vers Pacey. Il était maintenant debout face à Joey.
Pacey :-Tu voudrais que je te pardonnes après tout ce que tu m’as fait subir ? Tu as peut-être pu souffrir là-bas, mais as-tu pensé une seule seconde ce que je pouvais ressentir ? J’ai cru à notre histoire. J’ai cru pouvoir être enfin heureux avec toi. Tu m’as déçu, Potter. Tu croyais probablement que j’allais te sauter dans les bras te revoyant ? Fausse joie, Potter.
Joey :-Non, je n’en attendais pas autant, je pensais juste que tu me comprendrais, comme tu l’as toujours fait. A présent, je crois que c’est réellement fini entre nous.
Pacey :-Tu crois ou tu sais ?
Elle lui jeta un dernier regard, mais avant qu’elle puisse partir, il lui attrapa le poignet.
Pacey :-Je voudrais juste te donner quelque chose. J’aurais du te l’offrir bien avant ton départ, mais… Tu l’interprèteras comme tu voudras.
Au moment où il prononçait ces paroles, il sortit un écrin de sa poche. Il l’ouvrit. Joey mit sa main devant ses lèvres, comme pour cacher sa surprise.
Joey :-Pacey…mais c’est…
Pacey :-C’est un bracelet en or, oui. Et regarde, il y a même une jolie inscription.
Joey (la lisant) :-A Joey, pour toujours. Pacey.
Elle leva les yeux vers Pacey.
Joey :-Tu as du payer cela une fortune !
Pacey :-Au détrompes-toi, c’était presque gratuit grâce à mon billet de loterie !
Joey :-Un billet de loterie ?
Pacey :-Oui, regarde.
Il le sortit, froissé, de son blouson.
Joey :-Bravo, vous avez gagné mille dollars ! Mais Pacey, c’est ridicule, tu en avais besoin de ces mille dollars ! Pourquoi ne pas les avoir gardé ?
Pacey :-Parce que je voulais te faire un cadeau qui serait vraiment digne de toi.
Joey :-Mais…Cela veut dire que tu me pardonnes ?
Pacey :-Il va me falloir du temps Joey. Je ne sais pas si tout redeviendra comme avant entre nous mais… Tout le monde a droit en sa deuxième chance.
Il lui attacha le bracelet.
Joey :-Tu sais que tu m’étonnera inlassablement, Pacey. Au moment où…
Avant qu’elle puisse terminer sa phrase, Pacey lui prit la tête entre ces doigts et l’embrassa tendrement.
Joey :-C’est bien ce que je disais, au moment où on s’y attends le moins tu nous surprendra toujours. On croit te connaître mais on en apprend chaque jour un peu plus sur toi.
Pacey :-C’est si déplaisant ?
Joey :-Mmm, on ne peut pas dire ça…
Ils s’embrassèrent à nouveau.

Dawson :-Hum, hum.
Jen :-Désolé de vous déranger les amoureux, mais…
Etonnés, Joey et Pacey levèrent la tête. Dawson, Jen, Andie et Jack se trouvait de l’autre côté des barreaux.
Dawson :-Pardon de vous interrompre dans cet instant si romantique, mais on se demandait quand est ce que vous alliez sortir.
Joey :-Oh…
Joey se détacha des bras de Pacey et se dirigea vers Dawson.
Joey :-Pour tout à l’heure…
Dawson :-Non, ne dis rien, c’est à moi de m’excuser. Colin est venu me voir, il m’a expliqué. Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai tellement eu peur d’avoir perdu la Joey que je connaissais.
Ils sourirent et se serrèrent dans les bras.
Joey :-Mais au fait, qui te dit que j’allais m’excuser ?
Tous rirent de bon cœur. L’amitié qui les unissait était de retour, et c’était cela le plus important.
Andie :-Bon, et maintenant que diriez-vous d’une bonne pizza, autour d’un film, comme au bon vieux tant ?
Pacey :-Bonne idée, je commençais à avoir faim. Finalement, la nourriture qu’ils servent ici n’est pas terrible.
Dawson :-Tous chez moi ?
Joey :-C’est parti !
Ils sortirent, le sourire aux lèvres, heureux d’être enfin réuni. Joey se sentait à nouveau chez elle, tout le monde lui parlait en même temps… Elle repensa à une phrase que lui avait un jour dite sa mère : « L’amour et l’amitié sont tels des torches éclairant les plus sombres grottes. Et avec de la lumière, on peut toujours s’en sortir. »


Avis du juré

Une histoire au thème intéressant, dont la forme est mal maîtrisée (un effort de relecture aurait été nécessaire) et qui perd progressivement son intérêt, la faute à une progression qui tend vers la précipitation, ce qui dissimule l’âme de la fiction. La fin de la Fan Fic est abordée avec légèreté, ce qui parait incohérent par rapport aux évènements narrés au cours de la nouvelle. Bref, un récit qui manque de constance.



Ecrit par Morte 
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choup37, 15.04.2024 à 10:15

Il manque 3 votes pour valider la nouvelle bannière Kaamelott... Clic clic clic

chrismaz66, 15.04.2024 à 11:46

Oui cliquez;-) et venez jouer à l'animation Kaamelott qui démarre là maintenant et ce jusqu'à la fin du mois ! Bonne chance à tous ^^

Supersympa, 16.04.2024 à 14:31

Bonjour à tous ! Nouveau survivor sur le quartier Person of Interest ayant pour thème l'équipe de Washington (saison 5) de la Machine.

choup37, Hier à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, Hier à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

Viens chatter !