Concours d'écriture organisé fin 2014 - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
Concours d'écriture n°01
Chers membres,
C'est avec plaisir et après une longue attente, que nous sommes heureux de mettre en place le premier concours d'écriture du quartier. Mis en place avec l'aide de notre très chère Edith Crawley, maintenant journaliste, nous espèrons que vous serez nombreux à participer à ce concours, qui nous promet pas mal de surprise et pourquoi pas, dénicher de nouvelles plumes rares parmi vous. Les inscriptions sont désormais ouvertes et nous espérons que vous serez nombreux à nous rejoindre dans l'aventure.
Les administrateurs
Détails :
Thème du concours d'écriture :
NOUVEAU DOMESTIQUE !
Se mettre dans la peau d'un(e) domestique arrivant à Downton Abbey pour servir la famille Crawley, et raconter sa rencontre avec un membre de la famille ou l'un des domestiques en insérant des dialogues.
Contraintes :
Merci de respecter le thème du concours et de ne raconter la renontre qu'avec un seul personnage de la série !
Le fait de faire plus de 70 fautes d'orthographe entraînera le retrait automatique d'un vote lors de chaque session de votes (même si le texte en question arrive en finale)
Limitation : maximum 110 lignes (en format word)
INSCRIPTIONS ET PHASE D'ENVOI DES FICHIERS TERMINEES.
_____________ A vos plumes ! _____________
Information : nous nous réservons le droit d'annuler le concours d'écriture à n'importe quel moment si le nombre d'inscriptions s'avère être insuffisant, ou si nous remarquons un réel manque d'investissement de la part des membres.
Manches :
manche n°1 : stella CONTRE mpretty32
Du vendredi 10 octobre 2014 au dimanche 09 novembre 2014
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Création n°1 :
Confortablement installée dans mon lit avec une couverture bien chaude et ma petite lampe à pétrole posé sur ma table de chevet, je pris mon stylo à plumes et commença à écrire.
23 Novembre 1912
Cher journal,
Voilà, mon premier jour à Downton Abbey touche à sa fin et je suis contente qu'il se soit bien passé. Tout le monde est sympathique, enfin toujours plus que d'autre. Je sais déjà avec qui j'aurais des affinités ou pas au sein des domestiques.
Ce fameux Thomas m'a l'air suspect et à faire des coups en douce dans le dos des gens. En tout cas, c'est l'impression qui l'en donne.
J'ai pu apercevoir les autres valets de pied au repas du soir dont William, M. Bates. J'ai également vu Mme Patmore, la cuisinière du domaine, d'ailleurs ses préparations sont délicieuses ainsi que Daisy, son assistante, qui est très gentille.
Mais de tout ce monde que je vais côtoyer toute la journée pendant un bon moment, Anna est celle avec qui je vais m'entendre le mieux. Cette femme est une vraie bouffé d'air frais. Elle a toujours le sourire et prête à aider.
OoO
7h00 ce matin là
Dix secondes après avoir déclenché la petite cloche se trouvant juste sur le côté droit de la petite porte des domestiques, une femme d'environ vingt-cinq ans m'ouvra la porte. Elle est vêtue de son tablier de travail noir et blanc avec un panier à linge dans les bras. Ses cheveux sont d'un blond magnifique et ses yeux de couleur bleue.
« Ah ! Bonjour, tu dois sûrement être la nouvelle femme de chambre ? » Demanda la jeune femme.
« Oui, c'est ça. Je suis désolée du retard, le train a eu quelques soucis » Répondis-je.
« Ce n'est pas grave, nous t'attendions. Je m'appelle Anna, je suis la femme de chambre des filles Crawley. »
« Ravie de vous rencontrer. Moi, c'est Élisabeth mais vous pouvez m'appeler Beth. » Dis-je en lui tendant ma main droite.
« De même, Beth » me dit-elle avec un grand sourire et en me serrant la main. « Je peux vous tutoyer ? »
« Oui bien sûr au contraire. Je n'aime pas quand les gens me vouvoient, ça me vieillit. Je n'ai que vingt ans après tout » lui expliquai-je.
« Pas de soucis alors. Tu peux faire de même avec moi. Ça ne me dérange pas du tout. Je t'en prie entre, ne reste pas sur le pas de la porte. Il commence à pleuvoir. » En me montrant le couloir qui mèna jusque vers la salle des domestiques.
Nous avançions jusqu'à être dans la salle et nous ne trouvions personne à l'intérieur. Je commençai à regarder autour de moi. Anna le remarqua.
« Pour le moment, chacun est occupé à ses tâches. Nous nous levons à 6h00 tous les jours pour vaquer à nos tâches définies à 6h30. Nous mangeons à 14h après que le déjeuner de la famille soit terminé. L'après-midi, nous avons quartier libre. Le souper est à 18h30 et nous retournons à nos fonctions ensuite. Nous avons un jour de repos hebdomadaire » expliqua Anna.
« C'est très précis »
« Oui, M. Carson, le majordome, veille à ce que nous soyons toujours dans les temps, sinon il est de mauvaise humeur. Tu me suis ? Je vais te montrer ta chambre. C'est moi qui me charge de te faire le tour des lieux pour la journée.»
Je repris la petite valise que j'ai posé par terre quelques minutes plus tôt et la suivit.
Anna continua « Cet escalier mène au grand salon et l'entrée principale. Il nous est réservé, la famille l'utilise rarement. Les chambres des domestiques se trouvent au dernier étage du domaine. »
En montant les escaliers, j'ai pu contempler la magnifique architecture de ce domaine. Des murs avec de la peinture de l'époque avec des tableaux splendides accrochés dessus. Au premier étage, un portrait de la famille Crawley est mis en valeur. Ils sont tous dans une grande salle, qui semble être une bibliothèque. Ils sont nombreux. Quand j'aurais un moment, je viendrais le regarder de plus près.
« Qu'est-ce qui t’amène à Downton ? » me demanda Anna.
« Je travaillais pour une autre famille avant de venir ici mais ça ne se passait pas très bien. Je voulais m’en aller mais tu sais bien que ce n’est pas évident. Un jour, mon oncle m’a envoyé une lettre me disant que la famille Crawley cherchait une nouvelle femme de chambre. J’ai donc postulé »
« Ton oncle connait la famille Crawley ? »
« Oui, il est docteur au village. »
« Tu es la nièce du Dr Clarkson ? »
« Oui »
« Bienvenue parmi nous alors. J’espère que tu te plairas ici » me dit-elle avec sourire. « Aller viens »
OoO
Oui, j'ai bien l'impression que je vais me faire une véritable amie ici. Je n'avais pas vraiment de personnes à qui parler à l’ancien domaine. La plupart des domestiques étaient froids et non avenant. C'était d'une tristesse. Ce n'est pas plus mal que je sois partie, je me sens mieux maintenant. Plus sereine. Je n'oublierais pas de remercier mon oncle de m'avoir encouragé à postuler pour ce nouveau poste.
Au revoir cher journal.
La fatigue m’envahit, je posa mon journal et le stylo plume sur la table de chevet et coupa la lampe à pétrole. Je vais passer une bonne nuit.
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Création n°2 :
La brume se hissait partout autour de moi, j’avançais pas à pas sans voir ou je mettais les pieds. Puis un éclaircissement de soleil apparut, je vis au loin un château d’une beauté extraordinaire. Je voulais qu’une chose c’est découvrir ce matin merveilleux, rencontrer les habitants qui y habitent. Mais ce n’était malheureusement pas la raison de ma venu à Downton Abbey. En effet la beauté de ce château me faisait oublier que j’étais ici pour une raison bien particulière, Downton Abbey avait le plus grand besoin d’une nouvelle domestique.
Je regardais un oiseau qui le fascinait quand d’un coup sans même j’ai pu m’en apercevoir, il plu des cordes malheureusement bien que je voyais le château, il était encore loin.
Je pris le manteau que j’avais sur le dos et le mis au dessus de ma tête pour me couvrir. Je marchais d’un pas régulier pour ne pas être trempé. Pourtant je me cogna contre quelque chose ou plutôt quelqu’un, je levit les yeux et vit un jeune homme trempé comme moi.
« Bonjour mademoiselle » me dit-il.
« Oh bonjour, excuser moi vous m’avez fait peur »
« Ce n’est pas grave, venez sous mon manteau il est bien plus grand que le votre pour nous deux ». Je m’exécutai et vins me mettre près de lui sous son long manteau. J’étais gêné nous étions tous les deux sous un manteau avec des torrents de pluie autour de nous.
« Au lieu de rester là, nous pourrions aller dans la cabane là bas ? Elle est bien plus près que Downton Abbey »
« Oui, bien entendu »
Nous commencions à courir vers la petite cabane, mais je suis tombé tête la première sur une pierre. Le jeune homme dont j’ignorais encore le nom ne s’en rendit compte pas tout de suite. Il continuait à courir, c’est en voulant me parler qu’il remarqua que je le suivais pas.
Il accourut tout de suite, en voyant du sang qui coulait sur ma tête.
« Mademoiselle, réveillez vous !! » Il me secoua de tous les sens afin que je reprenne conscience.
« Je vais bien vous en faite pas, je saigne juste un peu »
« On ne sait jamais, levez la tête que je regarde cela de plus près » Il arracha un bout de sa chemise blanche et vint mettre ce bout sous mon crane ensanglanté.
Nous étions trempés de la tête au pied, nous nous regardions fixement mais aucun de nous deux n’ouvrit la bouche pour parler.
Il voulut m’embrasser, mon cœur se mit trembler à la chamade. Mais il s’y résolu en voyant que la pluit commençait a se dissiper.
« Nous ferions mieux d’aller dans la cabane avant qu’il ne remettent à pleuvoir »
Cela faisait maintenant une heure que nous étions dans la cabane à discuter, le temps passait si vite en sa compagnie. Mais je ne savais presque rien de lui, il préférait davantage en apprendre plus sur moi. Mais ce n’est pas pour autant que je me laissais faire :
« Assez parle de moi maintenant, vous faites quoi vers Downton Abbey ?» lui demandai-je avec enthousiasme.
« Rien de très intéressant, j’ai une vie assez compliqué que j’ai du mal à accepter, en tout cas je suis bien content d’avoir fait votre connaissance »
« Moi aussi, mais je n’ai pas vu l’heure passé, je suis plus que en retard »
« Je vais vous accompagner après la chute de tout à l’heure c’est préférable »
Nous étions donc sur le chemin pour Downton Abbey, je voulais que ce moment ne finisse jamais. Je voulais entrer par la porte de service des domestiques quand un homme très bien habillé appela par le nom « Matthew » le jeune homme que j’avais rencontré le jour même.
J’eu un moment de réflexion, j’avais déjà entendu ce nom quelque part. Je m’en rappelais maintenant, c’est l’héritier de Downton Abbey qui doit épouser la belle Lady Mary.
A mon visage, Matthew se rendit compte que j’avais trouvé son identité, il se sentit mal à l’aise. L’homme qui l’avait interpellé n’était autre que le comte Grantham.
Il me remit à ma place car j’aurais du commencer mon travail il y a au moins deux heures. Matthew était présent mais ne réagissait point. Honteuse et très embarrassé je me dirigeais vers l’entrée des domestiques ou était ma place.
Je me retournai une dernière pour voir ce jeune homme qui pour le temps d’une après midi était un simple homme et non l’héritier de Downton Abbey.
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manche n°2 : maricip CONTRE anonyme22
Du vendredi 10 octobre 2014 au dimanche 09 novembre 2014
Création n°1 :
L’action se situe à la fin de la saison 3.
Moira Wallace, la nouvelle nourrice, s’arrêta quelques instants pour reprendre son souffle dans les escaliers menant aux étages. Elle venait de prendre son service dans la famille Crawley, et regrettait déjà tous les escaliers qui parcouraient la grande maison.
Quand elle avait lu l’annonce dans le journal, elle s’était empressée de postuler. Quitter Londres pour rejoindre le grand air du Yorkshire lui ferait le plus grand bien, avait-elle pensé sur le moment. Elle n’avait pas songé au fait que ces grandes demeures possédaient une multitude d’escaliers qu’elle allait devoir descendre du matin au soir !
Moira inspira et expira lentement, profitant de ces quelques instants pour voir son reflet dans un miroir. Elle n’était plus de première jeunesse et quelques rides commençaient à marquer son visage. Sa tenue noire lui donnait un air austère mais c’est ce qui avait fait bonne impression à ces anciens employeurs.
La nourrice reprit son chemin vers les étages. Elle traversa plusieurs couloirs où elle croisa quelques femmes de chambre et arriva devant la nurserie. Dans la pièce principale se trouvaient une table à langer en bois, un nécessaire de toilette, des vêtements, des éponges, langes et pinces à nourrice. Elle avait déjà ouvert les volets et fait un brin de ménage un peu plus tôt dans la matinée, il était maintenant tant de réveiller les petits.
Elle alla tout d’abord dans la pièce juste à côté qui était plongée dans la pénombre. Moira se baissa sur le berceau et vit deux petits yeux la fixer. Le petit George l’observait en silence. Attendrie, elle le prit dans les bras et l’emmena à côté. Elle lui fit prendre son bain, puis lui donna un biberon de lait.
D’après ce qu’on lui avait expliqué, le père était décédé dans un accident de voiture à la naissance de l’enfant, et la mère, une fille de la famille, ne s’en consolait pas. Cette dernière ne s’était pas occupée du petit depuis l’annonce de la mort de son mari. Moira tentait de rester très professionnelle et de ne pas s’attacher à l’enfant, mais rien que deux jours à s’occuper de lui avait suffi pour briser sa carapace.
Elle installa l’enfant dans un petit lit de la nurserie, et alla réveiller le second enfant dont elle devait s’occuper. Il s’agissait d’une petite fille de bientôt deux ans nommé Sybil et dont la mère était décédée en couche. Le malheur s’était abattu plus d’une fois sur cette famille, pensa-t-elle en découvrant le sourire de la petite fille.
Moira répéta les mêmes gestes pour elle et l’installa dans une chaise haute pour lui donner son biberon. Elle s’affairait quand elle sentit une présence derrière elle. Elle se retourna précipitamment et aperçut une femme penchée sur le berceau du garçon. Elle était habillée très simplement, avait le visage creusé et très pâle et observait le nourrisson. C’était probablement la mère de l’enfant. Moira se demanda ce qu’elle devait dire. Devait-elle simplement la saluer, ou lui présenter ses condoléances pour la mort de son mari ? Elle n’eut pas le loisir d’y réfléchir plus longtemps car la petit Sybil s’agita sur sa chaise, et fit tomber son biberon dont le contenu s’étala sur le sol. Moira s’occupa de tout nettoyer, et alors qu’elle faisait un nouveau biberon, elle sursauta quand elle entendit un cri strident suivi de pleurs. Elle fit volte-face et vit la femme, Lady Mary, reposer précipitamment le nourrisson dans son berceau.
— Je n’ai rien fait, je ne comprends pas. Cet enfant ne m’aime-t-il pas ?
— Non voyons, Madame, la rassura Moira en prenant le petit dans les bras, vous manquez simplement d’expérience.
— Et comment pourrais-je en avoir si mon propre fils refuse que je m’en occupe ?
— Il ne faut pas voir les choses sous cet angle Madame. Refaisons un essai, voulez-vous ?
Lady Mary acquiesça d’un mouvement de tête et Moira lui tendit l’enfant.
— Voilà, doucement, l’encouragea-t-elle. Tenez-lui bien la tête et soyez un peu plus souple dans vos gestes.
Mais l’enfant gigota de plus belle entre les bras décharnés et raides de sa mère et finit par hurler.
Lady Mary le reposa aussitôt dans le berceau et porta les mains à sa bouche. Elle tremblait de tout son corps.
— Ne vous en faites pas, cela va venir, tempera Moira.
— Non, je … je n’y arriverais pas. Et arrêtez de me regarder ainsi, je ne veux pas de votre pitié.
— Madame, veuillez me pardonner, je ne voulais que vous aid…
— Faites votre travail, c’est tout ce qu’on vous demande.
Moira acquiesça poliment et regarda la jeune femme quitter la nurserie, encore tremblante. Elle était dure, que ce soit envers elle-même ou les autres. Mais elle devait surmonter cet obstacle, pour le bien de son garçon.
Moira prit une grande inspiration. Elle avait besoin de changer d’air. Elle prépara les enfants et quitta elle aussi la nurserie. Une promenade dans le parc leur ferait le plus grand bien, à elle en particulier.
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Création n°2 :
Le soleil se levait à peine à l’horizon. Katherine marchait le long du sentier qui menait à la porte d’entrée en admirant la splendeur qu’était la haute bâtisse de Downton Abbey, dont le domaine et les immenses jardins verts s’étendaient à perte de vue autour d’elle. Elle avait pris le train tôt ce matin, vêtue d’une simple tenue légère et d’un gilet blanc en ce temps frais de début de printemps.
Alors qu’elle approchait de la grande porte d’entrée, elle changea de chemin en pensant qu’il était préférable de se présenter d’abord aux autres domestiques.
Elle fit le tour jusqu’à l’arrière, pour entrer par la porte de service. Elle frappa mais personne ne répondit. Elle hésitait à entrer quand quelqu’un l’interpella derrière elle :
- A votre place j’attendrai qu’on vienne m’ouvrir.
Katherine se retourna. Un homme, habillé d’une chemise blanche et d’une courte veste noire, fumait sa cigarette à l’ombre du bâtiment. Katherine le trouva immédiatement très élégant avec ses cheveux noirs parfaitement coiffés et ses vêtements impeccables. Il s’approcha un peu plus d’elle :
- Monsieur Carson ne plaisante pas avec les convenances, ajouta-t-il ironiquement. Enfin, s’il est capable de plaisanterie… fit-il plus bas cette fois.
- Monsieur Carson ? l’interrogea-t-elle
- Le majordome de la maison. Vous êtes la nouvelle femme de chambre c’est ça ? Nous ne vous attendions pas si tôt.
- J’ai pris le premier train ce matin pour être sûre d’être à l’heure.
Il sourit légèrement une nouvelle fois.
- Je vois, première fois comme femme de chambre dans un aussi grand domaine ? Vous avez l’air jeune. J’étais aussi impressionné que vous lorsque je suis arrivé ici. Ca ne dure pas longtemps, rassurez-vous.
- Vous avez deviné. Cela se voit tant que ça que je suis totalement inexpérimenté ? Quand êtes-vous arrivé ici ?
Elle s’autorisa maintenant à parler plus franchement à cette homme qui lui paraissait très sympathique, et maintenant qu’elle était certaine qu’il faisait parti lui aussi des domestiques.
- 5 ans maintenant je crois. J’ai beaucoup changé depuis ce temps-là mais croyez-moi, ici rien ne change.
- Oui j’ai entendu dire que le comte et la comtesse de Grantham se faisaient un point d’honneur à respecter les anciennes traditions…
- Et vous alors ? Tenez-vous aux traditions ?
- Je pense qu’il serait dommage que les traditions se perdent mais il est plus important encore d’avancer en même temps que le monde.
- Nous sommes dont d’accord…
Katherine se sentait maintenant parfaitement rassurée en sa présence alors qu’elle ne savait presque rien de lui. Ils avaient les mêmes avis et la même façon de voir les choses. Elle pensa qu’il serait peut-être un très bon ami et qu’il devait être très appréciée au sein de la maison. Après un court silence, il lui dit :
- Je vais chercher Madame Hughes pour la prévenir que vous êtes arrivés. Attendez ici, …. ?
- Katherine.
- Thomas, se présenta-t-il à son tour en lui faisant en dernier signe avant de passer la porte.
A VOUS MAINTENANT ! N'hésitez pas à voter pour votre création favorite via le processus de vote !
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manche n°1 : stella CONTRE mpretty32
manche n°2 : maricip CONTRE anonyme22
FINALE
La création gagnante sera celle qui, à l'issue de la finale, aura eu le plus de votes.
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