Rejoins la communauté des fans francophones de Battlestar Galactica, partage ta passion sur les forums et découvre toute l'actualité de la série. - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
S’il y a bien un cylon dont il n’y a pas grand-chose à dire, sans doute est-ce Aaron Doral, numéro Cinq pour les intimes. Certes Simon (numéro Quatre) pourrait lui faire concurrence, à la différence près que Simon a une spécificité professionnelle (il est médecin), spécificité que l’on serait bien en mal d’attribuer à Doral !
Apparaissant dès le début du pilote, il est l’un des premiers cylons à être reconnu comme tel par les humains, et à l’instar de la plupart des autres modèles (exception faite des Six et des Huit) il n’émerge aucune individualité atypique du groupe des numéros Cinq et chacune des versions ne semble être qu’une facette sensiblement identique des autres.
Il est difficile avant la saison quatre de considérer que le modèle possède de quelconques spécificités, on le voit prendre position dans des discussions entre les sept modèles sur New-Caprica, on devine également son implication sur l’occupation de Caprica dans les saisons une et deux, mais aucun trait marquant de personnalité ne semble émerger si ce n’est une aversion certaine des humains qui, bien que ne lui étant pas spécifique, est particulièrement sensible chez ce modèle. C’est notamment lui qui évoque le plus clairement la nécessité de mise à mort de la civilisation humaine pour que les cylons puissent, réellement, exister. Parents have to die. It’s the only way children come into their own. Il est sans aucun doute le modèle qui se rapproche le plus de sa qualité de machine, autant de par la banalité de ses traits (figure lisse, proche de celle d’une figurine), que par ses mouvements, expressions et attitudes.
Cette position ne se modulera que durant la saison quatre, alors que le groupe des cylons se scinde. Il suivra alors la voix des Calvil.