Steven retourne se cacher chez Preslin où Anne est allée se réfugier. Steven est convaincu que le Docteur est mort. Il n'a pas la clé du Tardis et ignore comment il va pouvoir partir. Il fouille l'échoppe de Preslin, espérant que la clé est restée là-bas.
Tavannes et Simon espèrent que l'assassinat de l'abbé pour lequel ils font accuser les huguenots va retarder l'enquête. Ils veulent retrouver l'anglais et l'abattre le soir même, car le lendemain, c'est la Saint Barthélemy.
La reine envoie un courrier à Tavannes lui ordonnant de la rejoindre sur le champ. Tavannes se rend auprès d'elle, demandant à Simon de l'attendre.
En fouillant la boutique, Anne a trouvé la canne du Docteur. Steven est en train de dire que Preslin est mort ou en prison lorsque le Docteur entre et dit qu'il n'en est rien. Steven lui raconte les événements qu'il a vécu, sa ressemblance avec l'abbé d'Amboise et la tentative d'assassinat sur l'amiral. Lorsque le Docteur réalise qu'ils sont à la veille de la Saint Barthélemy en 1572, il envoie Anne chez sa tante et lui ordonne de ne pas sortir le lendemain. Il dit ensuite à Steven qu'ils doivent quitter Paris sur le champ.
Gaston craint que Coligny ne soit pas en sécurité avec des gardes catholiques pour veiller sur lui. Il aimerait que l'amiral quitte Paris mais ses blessures ne le lui permettent pas. L'amiral espère qu'Henri de Navarre se rend compte du danger d'avoir un garçon aussi impétueux à son service. Très faible, l'amiral espère que sa survie ne nuira pas à son peuple.
La reine dit à Tavannes qu'elle a un ordre signé du roi, les huguenots vont périr. Le bon peuple va s'en occuper. Tavannes a une liste mais la reine a bien l'intention de faire liquider tous les protestants. Tavannes demande à la reine ce qu'il adviendra de Navarre. La mort d'un Prince provoquerait une guerre de religion. La reine dit qu'il doit quitter Paris car même elle ne pourra plus rien pour lui le lendemain. Ensuite, ils fermeront les portes de la ville.
Tavannes donne ses ordres à Simon, personne ne sera épargné hormis le Prince que Simon devra escorter hors de Paris et dont il sera responsable de la sécurité. Le lendemain, cette ville pleurera des larmes de sang, et Tavannes s'interroge...
Pour rejoindre le Tardis, le Docteur et Steven doivent longer la maison de l'amiral devant laquelle se trouvent deux gardes. Un officier les relève de leur poste une bonne heure en avance. La cloche sonne le tocsin, c'est la fin du couvre-feu. Le Docteur et Steven se dirigent vers le Tardis pendant que l'officier tambourine à la porte de l'amiral. Le Tardis se dématérialise juste avant le début du massacre. Hommes, femmes et enfants sont tués, égorgés, noyés dans la Seine ou pendus.
Steven aurait aimé pouvoir faire quelque chose mais le Docteur lui dit qu'ils ne peuvent pas modifier l'histoire. Steven est furieux qu'il n'ait pas au moins sauvé la vie d'Anne Chaplet. Il rend le Docteur responsable de sa mort et décide de le quitter à la prochaine étape, quel que soit l'endroit où ils s'arrêteront. Il ne veut plus participer à ses recherches si elles ont aussi peu de considérations pour la vie humaine.
Le Tardis se matérialise et Steven sort, bien décidé à quitter le Docteur.
Le Docteur soupire. Il n'oserait pas changer l'histoire. Il s'assied, seul dans son Tardis, et repense à tous ceux qui l'ont accompagné. Il se demande s'il ne devrait pas retourner chez lui mais il ne peut pas.
Dehors, une jeune fille court et se précipite dans le Tardis, elle cherche un téléphone pour appeler la police. Le Docteur a beau lui expliquer que ce n'est pas vraiment une cabine de police, elle insiste.
Steven se précipite à son tour et dit au Docteur de décoller car deux policiers viennent par ici.
Voyant la présence de la jeune fille, Steven panique. Elle ne pourra jamais rentrer chez elle. Elle dit que ça lui est égal, elle n'a pas de parents. La jeune fille dit qu'elle s'appelle Dodo Chaplet. C'est une lointaine descendante d'Anne Chaplet.
Source : La Séance du Docteur