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Saisi par : Jack O’Neill
Chacun sait que je suis cynique, mais j’ai quand même pensé que P7J-989 était un endroit agréable. Un jardin magnifique, des tas de fleurs, un ciel bleu, et tout à l’avenant. Bien entendu, il a toujours un revers à la médaille !
A l’intérieur du bio-dôme découvert sur P7J-989, des tas de gens étaient coincés dans des capsules bizarres. Carter essayait de comprendre, quand nous avons tous été capturés par les machines et coincés aussi !
Teal’c et moi nous nous sommes retrouvés sur Terre. Je me demandais où, quand un camion est arrivé, conduit par Kawalsky et un autre vieux collègue à moi, John. C’était mon ancienne équipe secrète, pendant la mission où John est mort. Mais tout était bizarre. Mes gars affirmaient que Teal’c était un membre de leur équipe appelé Thomas.
Ce genre de truc me fiche les jetons ! J’ai d’abord cru que les machines servaient à remonter dans le temps, mais ça n’expliquait pas pourquoi John et Kawalsky croyaient que Teal’c appartenait à l’équipe. Mais que pouvais-je faire, à part continuer la mission ? J’étais décidé à ne pas laisser mourir John. J’ai arrêté le tireur isolé qui l’avait descendu la première fois, mais il a quand même été tué.
J’ai ordonné de battre en retraite. Nous nous sommes retrouvés à notre point de départ. Mais je devais mener la mission à bien, en évitant les erreurs de la première fois. Plus tard, j’ai découvert que Daniel avait connu une expérience similaire. Il a été forcé de revivre plusieurs fois la mort de ses parents.
Après quelques fichues répétitions de la fichue mission, Teal’c et moi avons remarqué les silhouettes bizarres qui nous observaient. Elles étaient habillées comme les envahisseurs sortis des cosses, dans l’invasion des profanateurs de sépultures. Quand la boucle suivante a démarré, j’ai refusé carrément de continuer. Puis un type est apparu, me disant que j’aurai du lui être reconnaissant d’avoir l’occasion de revivre tout ça, puisque j’avais toujours voulu remonter le temps.
Ce gars était responsable de la présence des gens bizarres aux allures d’extraterrestres de pacotille. Ils avaient été mis en stase quand un cataclysme avait dévasté leur monde. Le travail du Maître du jeu était de les y garder, et –je vous demande un peu ! – de les distraire. Au cours des années, leurs capacités d’imagination épuisées, ils s’ennuyaient ferme. Nous étions là pour leur faire vivre des expériences nouvelles et fascinantes.
Même si la planète était revenue à la normale, ce dingue de gardien avait décidé de ne pas laisser sortir les gens des machines. SG-1 a mit un terme à ses machinations, dès que nous avons réussi à nous tirer de ses griffes. Nous avons aidé la population à comprendre qu’il existait un monde hors du dôme, le Gardien ne pouvait pas les empêcher de quitter son petit univers déjanté. Maudit cinglé ! J’aurais dû le fourrer dans une de ses machines, après lui avoir flanqué une bonne raclée, et l’obliger à la revivre sans arrêt.
Colonel Jack O’Neill