HypnoFanfics

Enfance

Au bord de la mer, sur la péninsule de Boe, au 36 ème siècle, dans un petit village de pêcheurs. Il fait encore sombre, il doit être cinq heure du matin. Dans une petite maison, un gamin de quatre ans se lève en silence et s'habille à la hâte. Il enfile sa veste mais ne prête pas attention aux chaussures devant la porte. Il sort. Malgré l'heure, il fait déjà doux. L'enfant se met à courir. Sans hésiter, il se dirige vers la sortit du village, vers la brousse. Entre son village et la prochaine habitation, il y a au moins mille kilomètres de brousses où se cachent les léopards des hautes herbes. Quand il arrive enfin là où il a de l'herbe jusqu'à la taille, il accélère brutalement. Il court en direction d'un arbre mort à toute vitesse. 

Rosa020  (13.06.2008 à 16:07)

Il s'arrête au pied de l'arbre, éssouflé. Il se plit en deux, les mains sur les genoux pour reprendre son souffle. Puis, il ramasse un bâton et semble chercher quelque chose sur le sol. Bientôt il sourit et frappe dans le vide. Pas vraiment dans le vide en fait puisqu'un feulement furieux retentit. - Je t'ai trouvé ! L'enfant repart en courant dans les direction opposé. Une forme brune jaillit de le brousse et se lance à sa poursuite à une vitesse fulgurante. Quel genre d'enfant est-il pour jouer à faire la course avec un léopard ? Bientôt, il fatigue et ralentit l'allure. Il bifurque sur sa gauche et grimpe dans un arbre. Si les branches supportent le poid d'un petit bonhomme de quatre ans, il est bien évident que le léopard est trop lourd et il le sait. L'animal a beau cracher, feuler, rugir, l'enfant lui tire la langue en se cramponnant à sa branche. Dépité, le fauve s'éloigne d'un air piteux. - Eh, soit pas fâcher. Le gamin redescend de son arbre et rattrappe le léopard sans la moindre crainte. Il pose sa main sur la croupe de l'animal et le gratte entre les oreilles. - Désolé, Sun, je voulait pas te vexer. Tu sais bien que tu aurais finit par me rattrapper de toute façon, non ? Le fauve semble acciécer et pousse l'enfant dans l'herbe. Ils jouent un instant ensemble, puis, le petit garçon se lève. - Bon, faut qu'j'y aille sinon je vais me faire gronder. A demain, Sun. Et il repart comme il est venut, en courant bien sûr. Courir est une seconde nature pour lui. Son père répète avec fierté à qui veut bien l'entendre que son fils a su courir avant de savoir marcher. Ce qui n'est pas pour déplair au petit bonhomme, plutôt du genre prétentieux. La seule chose dont il ne se vante à personne d'autre qu'à son frère et son grand père, c'est de sa faculté de jouer avec les léopards. Avec tous les animaux, en fait. Son frère dit que c'est parce qu'il est très fort et que les animaux n'osent pas l'attaquer, son grand père dit que c'est parce qu'il a hérité de son arrière grand mère le pouvoir de leur parler.

Rosa020  (14.06.2008 à 11:43)

Au village, les pêcheurs se préparent à partir en mer. Quand il rentre chez lui, l'enfant trouve son père, sa mère et son petit frère, attablés devant un petit déjeuner. Son père lui souris. - Encore levé à l'aube, fiston, comme d'habitude ? C'est bien, le monde appartient à ceux qui se lève tôt. Sa mère lui jette un regard courroucé : - Jay, je ne voit absolument aucun inconvénient à ce que tu aimes la course à pied mais si tu pouvais employer des chaussures et faire ça à un autre moment qu'avant le lever du soleil, ça m'arrangerait. - Désolé, Maman. Grand père n'est pas là ? - Il a dit qu'il préssentait un malheur et il est allé sur la falaise pour parler à Ban, le dieu de la mer. Jason ( c'est son nom) s'assoit et se beurre une tartine. - Dis, maman, pourquoi il ya tellement de deiux dans l'univers ? - Parce qu'il y a des tas d'étoiles et que chaque étoile représente un deiu. - Même le soleil ? - Bien sûr, que fais tu de Lumos, le dieu soleil ? Gray ( le petit frère) tire son frère par la manche : - Dis, Jay, tu m'emmènera à la plage tout à l'heure. Je voudrais que tu m'aide à faire du cerf-volant, s'il te plaît merci. - C'est toi le cerveau lent. Ok, je t'emmène, comme ça je pourrait pêcher avec Mikaël et Pierre. On peut, maman ? - Oui, bien sûr, mais vous déjeunrez sur place et vous ferez bien attention. Et soyez rentré pour le dîner. - Pas de problèmes. Une demi-heure après, ils sont partit, l'un avec son cerf-volant, l'autre avec sa canne à peche. Gray secoue son frère par le bras. - Jason, tu crois en quels dieux, toi ? - Je te l'ai déjà dit. Vient par là. Ils s'assoient sur la plage et posent leurs affaires. Jay déguage un petit sachet de cuir avec une spirale déssiné dessus qui pend autour de son cou. Il l'ouvre et en sort quatres minuscules statuettes. Ils les montre à Gray : - Ban, le dieu de la mer, Lumos, le dieu du soleil, Cid Tempus, le dieu du temps et Khan, le dieu du carnage.

Rosa020  (14.06.2008 à 11:57)

- Pourquoi tous ces dieux là ? - Ban parce que j'aime la mer, Lumos parce qu'il y a toujours du soleil ici et que c'est le dieu le plus fort, Cid Tempus parce que j'aimerai bien pouvoir voyager dans le temps et Khan, je ne sais pas trop. Ca m'est venut comme ça. Allez, vas jouer maintenant. L'enfant se sauve mais Jason a un mauvais préssentiment. Il remet les statuettes dans le sac et dessine une spirale devant son coeur, d'un geste. Il adresse une courte prière à ses dieux avant d'aller retrouver ses amis. La journée se passe sans problèmes. C'est vers le soir que la prédilection du grand père et de Jason se réalise. Alors qu'ils sont sur le chemin du retour, Gray décide d'aller jouer sur la vieille embarcadère, celle que plus personne n'utilise par ce que son bois est pourris et risque de céder à chaque instant. L'enfant de deux ans se met à sauter à cloche pied, les yeux fermé en chantant : - Un, deux, trois, nous irons au bois. Quatre, cinq, six, ceuillir des cerises. Sept, huit, neuf, dans mon panier neuf. Un, deux, trois,... Jay, perdut dans es pensés ne s'en aperçoit pas tout de suite. Dès qu'il s'en rend compte, il appelle son frère : - Gray, revient, on va se faire gronder si on est en retard. On a pas le droit d'aller là, c'est dangereux, Gray ! Mias l'enfant ne l'écoute pas, ou peut-être qu'il ne l'entend pas à cause du ressac. Et il continue de sautiller, en chantant, les yeux fermés. Jason s'est engagé sur l'embarcadère et se dirige avec précaution vers son frère. Alors qu'il l'a presque rattrappé et qu'ils sont au bout du ponton, il assiste, impuissant à un drame qui le marquerat toute sa vie : Gray ayant les yeux fermés ne s'ait pas aperçut qu'il est arrivé au bout de l'embarcadère. Un saut de trop le précipite dans la mer. Jay se précipite au bord du ponton et tente de rattrapper l'enfant et hurlant son nom, désepéré : - Gray ! Mais il est trop tard. Soudain, le bois pourrit cède sous lui et il rejoins son frère dans l'eau. N'ayant que quatre ans, il coule à pic, bien entendut. Malgré tout, il tente de rattrapper Gray. Une baleine passant par là le voit s'évanouir, asphixier. Elle récupère le petit corps désarticuler sur son dos et le ramène à la surface. Aussitôt revenut à lui, le petit homme tente de replonger mais le majestueux animal le rattrappe sans cesse. Finalement, à bout de force, il se laisse ramener sur la plage. C'est là que son grand père, redescendut des falaises, le trouve. L'enfant éclate en sanglot dans les bras du vieil homme qui tente en vain de lui faire admettre que ce n'est pas sa faute. Il le ramène à la maison et le couche. Dans la semaine qui suivit, Jason n'eu de cesse de tanter de mettre fin à sa vie. A chaque fois, à cause de la baleine, ses plans étaient boulversé. Quand elle ne pouvait pas intervenir elle même, elle envoyait des visions aux pêcheurs qui prévenaient sa famille. Finalement, décidé à mettre les choses au clair avec l'animal, Jay alla la retrouver dans la mer. Dès qu'il fut sur le dos de l'animal, il s'allongea sur le ventre et demanda, doucement : - Pourquoi m'empeche tu de mourir ? C'est ma vie, mon destin, c'est à moi de décider. Alors, l'animal répondit : - Je suis Ban, le deiu de l'océan. Je me suis déguisé en baleine car un de mes frère, Cid Tempus, a vut que l'avenir des hommes dépend de ton futur. Je ne peut te laisser mourir sans condamner l'humanité. Mais soit consolé : Un jour, tu seras plus courageux que moi même. Un jour, tu sera plus fort que Lumos, le dieu soleil. Un jour, tu sera éternelle, comme Cid Tempus, le dieu, le seigneur du temps. Ta force viendra de ton coeur, comme Khan, le dieu du carnage. Sois fort et courageux et laisse ton destin te porter. Un jour, je l'espère tu comprendras.

Rosa020  (14.06.2008 à 12:24)

Deux années ont passées depuis que Grau-y s'est noyé dans l'océan. Jason s'en est plus ou moins remis, mê^me si il lui arrive encore de se réveiller en sursaut, en sueur, glacé jusqu'à la moelle. Un autre drame va venir rajouter une charge supplémentaire sur son dos. Ce matin là, Jay se réveilla avec un mauvais préssentiment. La maison était étrangement silencieuse. Pourtant il faisait jour. Alors seulement, il se rappela de la conversation qu'il avait surpris la veille entre ses parents. Son père avait parlé de partir faire la guerre sur le continent. Jay bondit de son lit et se précipita dans les escaliers. Il trouva sa mère, en larme. Il sortit de la maison sans prendre le temps d'enfiler une chemise, pied nus et avec son pantalon de toile pour seule vetement. Il se précipita au port. Son père était sur le point d'embarquer. - Papa ! Le garçon courut aussi vite que lui permettait ses jambes. Malgré tout, il ne put que ragerder, impuissant, cranponner à on poteau, la bateau emporter son père au loin. - Papa ! Le vent emporta son cri vers le large. Un an plus tard, un vaisseau spatial se posa sur la plage et une garnison de l'agence du temps vint s'installer pour un an dans son village. Parmis les agen,ts, une jeune recrue, John Hart, douze ans.

Rosa020  (14.06.2008 à 12:57)

Jason, Pierre et Mikaël regardaient les agents du temps monter leur tentes. Très vite, Jason remarqua John qui semblait en difficulté avec son maillet et ses piquets. Il se leva et se dirigea vers lui. Ses amis l'appelèrent : - Où tu vas, Jay ? - Nulle part. Il s'approcha de Hart et lui tapa sur l'épaule : - Un coup de main ? L'étudiant commença par dévisager l'enfant de sept ans qui l'observait calmement. Puis il sourit et répondit : - Si je trouve ça trop lourd, je doute que tu t'en sorte. - Je ne parirait pas la dessus si j'était toi, lança Mikaël depuis le mur où il était assis. - Et pourquoi ? - Laisse le faire et tu verras. John hésita avant de laisser le gamin se débrouiller. En deux temps trois mouvements la tente fut monté et installé, les piquets planté, la toile tendue. Jay se tourna vers le garçon avec un grand sourire. - Tu peux fermer la bouche, j'ai finit. L'adolescent se reprit. - Ouha, cool ! T'es vachement balaise. Comment tu t'appelles ? - Jason, j'ai sept ans. Mais tout le monde m'appelle Jay. Et toi ? - John Hart, douze ans. Appelle moi Jo. - T'es un agent du temps ? - Pas encore. Si je me débrouille bien, je rejoindrait les cadets dans trois ou quatre ans. Cinq maximum. Mais je vise élite force. - C'est quoi élite force ? - Un groupe d'agents chargé d'effectuer les missions les plus dangereuses. - Mais vous faites quoi en fait à l'agence ? - On empeche les catastrophes temporelles, on régularises les voyages dans le temps et on réctifies les erreur passés, présentes ou futures.

Rosa020  (14.06.2008 à 13:23)

- C'est trop génial ! Mais vous voyagez dans le temps alors ? - Ben oui, comment tu veux qu'on fasse sinon ? Le supérieur de John met fin à la conversation et Jay rentre chez lui, pensif. Durant le déjeuner, seul avec sa mère et son grand père, il prend un grande inspiration et dit : - Maman ? - Oui ? - Je voudrais devenir un agent du temps. Tout le monde arrete de manger. - C'est hors de question. On a besoins de toi ici.

Rosa020  (14.06.2008 à 13:43)

- Mais Maman, j'ai vraiment envie d'y aller. Je rêve de voyager dans le temps depuis toujours. Et puis c'est pas vrai que vous avez besoins de moi, ici. Tu dis ça pour que je reste. Mais si je part, je pourrait devenir un héro et tu seras vraiment fiert de moi. S'il te plaît, Maman, laisse moi partir. Sa mère hésita un long moment avant de soupirer : - On en reparlera demain. Le lendemain et les jours qui suivirent, Jason passa tout son temps avec John à la garnison. Quant à sa mère, elle faisait de son mieux pour éluder la question à chaque fois que son fils tantait de remettre le sujet sur le tapis. Finalement, c'est son grand père qui se chargea de plaider la cause de son petit fils, alors que près d'un an était passé et que la garnison s'en allait dans trois mois.

Rosa020  (14.06.2008 à 20:11)

- Tu devrais le laisser partir, tu sais. Il n'est pas à sa place ici. Surtout depuis la mort de son frère et le depart de son père. On se débrouillera sans lui mais tu ne peux pas l'empêcher de partir. Les dieux ont de grands projets pour lui. Il faut qu'il y aille. La mère soupira. - Oui, je sais. Mais il va térriblement me manquer. - Il reviendra nous voir. - Très bien. Qu'il parte puisque c'est ce qu'il souhaite. Le grand père alla prévenir Jason qui se précipita en sautant de joie à la garnison. Il déboula dans la tente de son ami : - John ! John ! Ma mère a dit oui ! - C'est génial ! Maintenant il faut que tu en parle à mon supérieur. Vas le voir, je t'accompagne. Les deux garçons allèrent voir le capitaine et lui exposèrent la situation. Celui jauga un instant du regard le petit bonhomme de huit ans qui avait l'outre-cuidansse de penser qu'il se ferait engager comme ça, puis éclata de rire : - Vous vous fichez de moi ? D'abord on ne prend personne de moins de dix ans. Ensuite un petit gringallet comme toi ne pourra jamais tenir la cadence. John intervint : - Si je puis me permettre, monsieur, vous devriez le mettre à l'épreuve. Je sais qu'il n'en à pas l'air mais je l'ai vut à l'oeuvre et il est bien plus fort qu'il n'en à l'air. - Vous connaissant vous ne me lacherez pas tant que je ne lui aurait pas donné une chance. Très bien. Nous allons voir cela. Ils sortirent sur la plage tous ensemble et se rendirent au terrain d'entrainement qui avait été emménagé par les agents. Une vingtaine d'homme s'entrainaient là à la lutte et à toute sorte de sports et d'activités différents. Jay tira son ami par la manche : - Pourquoi t'es le seul enfant, Jo ? - Parce que je suis un élève. On m'a envoyé ici parce que je faisait n'importe quoi. C'est une punition en fait. - Ah, d'accord. Et ça arrive souvent ? - Non, pas trop. Mais ça dépend de l'élève et de son comportement aussi. Le capitaine les interrompit : - Très bien, le blanc bec. Montre moi ce que tu vaut à la course. Ils étaient arrivés sur une grande étendut d'herbe soigneusement tondut où des agents s'entrainaient à la course. Le capitaine sortit un chronomètre : - Voyons voir en combien de temps tu me fait l'aller-retour. Allez go ! Jason se lança. Quand il revint moins d'une minute plus tard, le capitaine avait la machoire complètement décroché, tous les agents s'étaient réunis pour admirer sa performance et John souriait d'un air béat. Il lança à son supérieur : - Tenez, qu'est-ce que je vous disais ? Le capitaine ferma la bouche, rangea son chrono et se reprit : - Il ne suffit pas d'être très rapide pour rejoindre l'agence. Il court vite et bien, d'accord. Mais serait-il capable de porter du matériel de pointe pendant un kilomètre sans boire ni manger, hein ? Soulève ce tront d'arbre et j'envisagerait la question. Sans rien dire, Jason se dirigea vers le tronçon de bois et le souleva comme un adulte aurait soulevé un ordinateur. Les agents applaudirent et le capitaine resta planté là comme un imbécile, incapable de prendre une décision. Finalement, il s'approcha du Boerien et le prit par les épaules : - On a besoisn de petits gars comme toi à l'agence. Bienvenue dans la maison, bonhomme. C'est quoi ton petit nom ? - Jason, monsieur.

Rosa020  (15.06.2008 à 11:24)

C'est ainsi que Jason quitta sa maison et sa famille pour rejoindre la très prestigieuse agence du temps, surnommée l'AT. Autant dre que son arrivé à l'école spatio-temporelle fit grand bruit. C'était la première fois dans l'histoire de l'agence que l'on recevait un enfant de moins de dix ans. Les paris allaient bon train. Chacun tantait de deviner combien de temps tiendrait le petit bonhomme. ça allait de dix minutes à toute la scolarité. John était le seul à avoir tout misé sur cette dernière possibilité. Ses amis s'étaient moqués de lui en affirmant que le gamin n'avait aucune chance et qu'après ça, il lui faudrait toute sa vie pour payer les paris. Aussi, quand le capitaine de la garnison entra dans le dortoir des garçons de dix-treize ans, accompagné de Jason, le silence se fit aussitôt. Les garçons le regardèrent passer sans bouger et en silence. Le capitaine l'accompagna jusqu'au fond du dortoir où se trouvait le lit de John à côté d'un lit inoccupé. Avant de quitter la pièce, l'officier lança : - Je pense qu'il est inutile de faire les présentations. Vous êtes déjà tous au courant de la situation. Je souhaite faire intégrer Jason dans l'agence. Si il est un peu jeune il est plus fort et court plus vite que la plupart d'entre-vous. Je vous demande donc de lui faire bon acceuil. J'en profite pour vous rappelez que les jeux d'argent, pari compris, sont interdit dans l'enceinte de l'établissement. Bonne nuit à tous. - Bonne nuit Capitaine ! Jay alla s'asseoir sur son lit. John leva la main pour le saluer : - Hey ! - Hey ! - Alors, content d'être là ? - Oui, mais rien ne garantit que je vais y rester. - Pour ça je te fait confiance, tu vas monter en grade à la vitesse de la lumière. Il ignorait à quel point il avait raison. Loin de prendre du retard à cause de son âge, Jason se trouva vite en avance devant ses camarades. Seul John réussissait à peu près à se maintenir à sa hauteur. Vers quinze ans, alors que John en avait dix-neuf, ils rejoignirent les cadets. A dix-huit et vingt-deux ans, ils rejoignirent élite force. C'est là que, pendant la dernière mission qu'effectua Jay, deux ans après son admission à l'élite, il emprunta le nom du Capitaine Jack Harkneiss. Sa mission terminé, Jay se rendit en permission dans son village. Au moment de se rematerialisé à l'entré de son village, il réalisa que celui-ci était en train de brûler et que des agents du temps pendaient ses habitants aux arbres du village. Hors de lui, dans un état d'incompréhension et de colère pure, Jay se précipita dans les flammes, mais deux agents se jetèrent sur lui et le retinrent chacun par un bras.

Rosa020  (15.06.2008 à 12:41)