HypnoFanfics

Malgré la saison fort avancée, Arthur voulut partir à la chasse… Les premières neiges n'étaient pas encore arrivées, et il avait insisté pour faire cette dernière sortie… Il avait dû insister lourdement, il était quand même roi.

Gwen avait peur qu'il se refroidisse inutilement, et Gaïus avait abondé dans son sens en expliquant que prendre de tels risques juste pour le plaisir n'était peut-être pas tout à fait digne des responsabilités d'un roi. Bref, la lubie en avait surpris plus d'un…

 

En fait, il n'avait pas osé avouer que ce qu'il lui manquait, et allait lui peser tout l’hiver… C'était les soupers du bivouac en face à face avec son serviteur… Souper en tête à tête avec lui lui manquait, simplement… Il était devenu roi, et s'était marié… Tout était allé si vite… Et bien sûr, les soirées volées en tête à tête avec Merlin n'étaient simplement plus possibles. Il s'en souvenait avec nostalgie, des ces moments où il l'invitait à sa table sous une fausse excuse; et qu'il passait à le taquiner…Il ne pouvait plus le faire qu'en bivouac, et encore eut-il fallu qu'il soit sans chevaliers… Donc, ce genre de moment privilégié se raréfiait dangereusement.

Là, avec tout ses hommes occupés, il avait sauté sur l'occasion, saison avancée ou pas.

 

Finalement, tout le monde se rangea à son caprice… Il était quand même roi, non mais ho. Puis il faut dire qu'il s'accordait aussi de plus en plus rarement des caprices… L'âge adulte avait fini par le rattraper.

 

De son coté, l'idée n'avait pas plu du tout à Merlin et il le lui fit bien comprendre… Il crut le ré-entendre marmonner « dollop-head »… Il se tourna pour sourire bêtement; cela faisait longtemps que son serviteur ne l'avait plus titillé de la sorte… Rien à faire, la fonction qu'il occupait avait quand même un côté ennuyeux… C'était sympa de construire quelque chose de nouveau, et il aimait plus que tout sa reine… Ses hommes étaient les meilleurs qu'il soit. Mais ce soir, il était pris par la nostalgie…

 

                                                                                      ***

 

Merlin rentra tard après avoir fini l'écurie et en râlant chez Gaïus, qui était presque assoupi sur son livre et sursauta devant l'humeur massacrante de son protégé: "Franchement il m'inquiète là, vous êtes sûr qu'il n'a pas subi un sort malveillant, parce que là…

Gaïus soupira : Oui, tu n'as pas envie d'aller à la chasse, je l'entends bien."

Le sorcier rouspéta sans prendre garde à ce que son mentor lui répondit: "Non mais franchement, partir chasser en pleine vague de froid alors que la neige arrive… Il devient fou là… Faut que je cherche après un sort de guérison.

Gaïus : Enfin Merlin, tu ne vas pas en mourir, vous êtes déjà partis en mission par temps plus froid encore… Il a envie de s'amuser un peu, il en a bien le droit non ? Il subit beaucoup de pression.

Merlin : Mais non, c'est n'importe quoi là, j'ai l'impression de revoir ce jeune prince arrogant d'y il a quelques années… S'il s'ennuie, qu'il apprenne le quadrille bien au chaud comme n'importe quel roi… Enfin c'est pas parce qu'il est roi qu'il faut lui laisser faire n'importe quoi quand même ?

Gaïus rit : Heu d'abord la fonction fait un peu que… Ensuite, je pense surtout que tu n'as pas envie de te retrouver seul avec dans une partie de chasse en plein hiver… Soyons honnêtes.

Le sorcier pesta encore : D'abord je m'inquiète de sa santé mentale… Ensuite, c'est vrai que c'est une pénitence de le suivre à la chasse… Dieu sait ce qu'il va encore massacrer gratuitement cette fois-ci… Une autre licorne ?

Gaïus rit encore : Vu l'avancement de la saison, j'ai bien peur qu'il rentre bredouille, promet-moi juste de t'habiller chaudement.

Son protégé lui lança un regard noir : C'est ça oui… Dans ma garde-robe, j'ai le choix entre une chemise en lin et laissez-moi deviner… Un autre chemise en lin… Je choisis laquelle ? »

Il soupira et partit se coucher en boudant.

 

                                                                                  ***

 

Arthur se coucha tôt et Gwen vint le rejoindre au lit après avoir terminé ses lectures; elle le regarda sévèrement, elle savait qu'il ne dormait pas… Une veille de chasse, il était toujours trop excité… Comme il continua à faire semblant de dormir, elle lui donna un coup dans l'épaule. Il fit semblant de se réveiller offusqué: "Qu'est-ce que c'est ? "

Mais devant son regard insistant, il sut très vite que la comédie avait assez duré.

Gwen : «Peux-tu m'expliquer clairement, parce que je suis furieuse que tu prennes tant de risques pour rien.

Il pesta : Il n'y a rien à expliquer, j'exerce mon droit de chasse dû à mon rang, de temps en temps j'ai besoin de souffler.

Gwen qui n'était pas dupe secoua la tête sévèrement : Je suis bien d'accord que ton ami te manque, mais ce pauvre garçon est d'une constitution fragile, il n'a jamais été fort épais… Prendre le risque de lui faire attraper une pneumonie et de le voir trépasser n'arrangera rien à ton manque.

Arthur : Chuuut plus bas, les gardes dans le couloir vont t'entendre, tu imagines si ça s'ébruite que je suis ami avec un serviteur ?

Gwen : Enfin Arthur, tu t'es quand même marié avec moi… Invite-le juste à souper demain soir ici au chaud… Je peux même m'éclipser chez des amies, si tu veux une discussion entre hommes. C'est quand même mon ami aussi, je n'ai pas envie de le voir contracter un refroidissement grave.

Son mari: Non je suis désolé, mais malgré la Table ronde, il n'y a rien à faire, toi tu es une exception parce que tu es une femme… Personne ne comprendrait que je l'invite à ma table…

Elle lui donna un plus grosse tape que d'habitude : Quand il s'agit de ton amitié avec lui, tu n'as plus de cerveau… Tu as mis des roturiers en tant que chevaliers autour de ta Table ronde… Je ne vois pas quelle différence il y aurait avec Merlin… Fais-en ton conseiller officiel, comme ça ça ne jasera plus… Tu pourras même souper tous les soirs avec.

Arthur : Non, d'abord si j'en fais mon conseiller, je vais devoir m’habituer à un autre serviteur et c'est au dessus de mes forces… Tu… Tu crois vraiment qu'il peut tomber malade ? On a déjà fait pire en mission.

Elle : Oui, celle de l'année dernière par exemple ? Il lui a fallu trois semaines pour se ravoir, pauvre garçon.

Arthur : J'avais pas pensé qu'il supporte mal le froid... »

Il réfléchissait à trois mille tours minute: «Je vais lui prêter un pourpoint, comme ça il ne prendra pas froid… Il est toujours habillé comme… Enfin un sans abri quoi…

Gwen soupira : Il faudrait peut-être juste envisager d'augmenter ses gages, il pourrait peut-être s'offrir une cape d'hiver… Tu es vraiment têtu parfois… De belles idées d'égalité qui s’arrêtent juste à lui.

Arthur fronça les sourcils : Non mais les gens ne sont pas prêts pour que ça change d'un coup, il faut faire ça en douceur... Je n'ai jamais augmenté ses gages ? Je suis sûr que c'est un oubli de ma part.

Gwen se retourna en râlant : C'est quand même ton meilleur ami, tu devrais en prendre un peu plus soin… Franchement, chaque fois qu'il s’agit de lui, je ne te reconnais plus…

Arthur secoua les épaules : Lui ce n'est pas pareil, il… Il fait partie du décor. »

Il se tourna pour se coller à elle et elle lui sortit: « J'ai la migraine.

Lui : Bon d'accord… Qu'est-ce j'ai fait ?

Gwen en colère : Tu n'es pas cohérent, tu ne peux pas te passer de lui, et tu es prêt à le mettre en danger pour ton bon plaisir… Ensuite, tu ne l'as pas augmenté une seule fois en près de dix ans… Je te signale que c'est mon ami aussi… Pas le jouet de sa royale majesté.

Arthur se retourna en râlant : Mais ça va c'est bon, je prends soin de lui, je l'ai toujours ramené en vie pfff. »

 

                                                                                     ***

 

Le matin, il s'éveilla pile poil à cinq heures, comme à chaque fois qu'il partait chasser. Il déposa un baiser sur la joue de sa femme endormie en s'excusant d'être un ignare et qu'il vérifierait les soldes de ses serviteurs. Il se leva et s'habilla seul en constatant que personne n'était levé, et partit en colère vers les appartements de Gaïus avec un pourpoint trop petit pour lui sur le bras.

Il rentra en vociférant : « Où est-il ce fainéant ; Meeeeerliiiin ? »

Gaïus grommela un truc incompréhensible dans son sommeil en agitant la main vers la chambre de son protégé ; et Arthur rentra en trombe dans celle-ci.

Il le secoua : «Debout paillasse, j'ai dû m'habiller seul, si jamais ça se sait, je te fais pendre.

Merlin ouvrit péniblement les yeux : Quoi ? Mais il fait noir là, c'est encore la nuit. »

Arthur le sortit sauvagement du lit et le mit debout, puis alla vers son armoire pour en sortir des vêtements : "Non c'est le petit matin, on va toujours chasser au petit matin… Franchement un serviteur comme toi porte ombrage à ma réputation, je me demande si je ne vais pas te coller au cachot après la partie de chasse."

Le sorcier tentait de se réveiller, et se rendit compte qu'il se faisait habiller en deux temps trois mouvements : "J'ai fini l'écurie tard hier et… Eeeet il se passe quoi là ? T'es en train de m'habiller ?

Arthur le regarda sévèrement en l'attrapant par son col de chemise : Crie plus fort tant que tu y es ? Si jamais ça se sait, je te décapite de mes propre mains… C'est clair. »

Merlin bien réveillé hocha la tête… Il le regarda sortir de la chambre pour préparer son sac et resta ébahi : "Wouaw, t'as vraiment envie d'aller massacrer de pauvres créatures innocentes? Franchement je m'inquiète pour ta santé mentale là.

Arthur se retourna pour le regarder sévèrement, et Merlin s’inclina : Votre seigneurie. »

Arthur lui envoya son sac à la tronche.

Ensuite, le roi se dirigea vers lui et lui mit son pourpoint, beaucoup trop large pour lui évidement et regarda le résulta en soupirant… Puis il lui mit deux écharpes.

Le sorcier éberlué n'osa pas bouger : «Heu… Est-ce que à tout hasard la reine aurait une grande nouvelle à annoncer, pour que son mari ait une envie si subite de jouer à la poupée ?

Arthur lui colla une taloche : J'ai juste pas envie que tu tombes malade, va seller les chevaux. »

Merlin resta estomaqué quelques minutes, avant de reprendre son sac en main et de filer sans demander son reste.

Arthur cria encore : « Ne passe pas en cuisine, c'est fait déjà. »

Et il entendit son serviteur se casser la figure dans le couloir… Il soupira : « Tu es vraiment le plus grand maladroit de tous les temps. »

 

                                                                                 ***

 

Merlin avait passé une partie de la journée à le suivre, recouvert d'une couverture parce que malgré le pourpoint il avait encore froid… Arthur parlait seul, en expliquant que le sol était trop gelé pour trouver des pistes… Il faisait mine de rager, et le sorcier n'en pétait pas une. Enfin si, il éternua quelque fois, mais le roi lui dit que ça ne servait à rien vu qu'il n'avait trouvé aucune piste.

En fin d'après-midi, il était à court de mouchoirs… Ce qui était quand même embêtant : il demanda si c'était possible de se moucher dans le royal pourpoint prêté gracieusement ; parce que c'était peu élégant de mourir de froid, la morve au nez.

Il évita quelques fois que le cheval d'Arthur ne dérape sur du verglas magiquement et discrètement, mais quand lui descendit de cheval, il s’étala bien de tout son long.

Le roi l'aida à se relever en lui expliquant que ce n'était pas drôle qu'il n'en pète pas une… Déjà qu'ils n'avaient rien trouvé à chasser.

Ils s'installèrent pour le bivouac, Merlin était revenu avec un tas de bois, frigorifié et n'avait pas su utilisé ses pierres de silex tant ses doigts étaient engourdis… Il profita qu'Arthur cherchait aussi du bois pour allumer le feu par magie… Il s'assit contre et n'en bougea plus, tentant de se réchauffer…

Arthur arriva, déposa le bois et sortit la casserole… Puis il lui balança le sac de provisions à la tête tandis qu'il s'occupait de donner à boire et à manger aux chevaux.

 

Il l'ouvrit et explosa de rire : «Du poulet et du pâté en croûte… »

Il lui expliqua que la tradition voulait qu'on prenne du porridge et du pain en sortie…

Arthur secoua les épaules : "Oui mais c'est lassant la tradition, j'avais envie de changer un peu.

Merlin secoua les épaules : Pourquoi pas… Avec le temps qu'il fait ça ne risque pas de pourir."

Il prépara quand même une soupe, parce que bon là, fallait quelque chose de chaud quoi.

Arthur qui grelottait aussi mit des bouts de poulet sur une pique en bois contre le feu pour les réchauffer et puis le fixa…

 

Merlin, qui avait fini par installer la soupe sur des pierres à côté du feu pour qu'elle cuise, finit par relever les yeux : "Quoi ? J'ai un bouton sur le nez ?

Arthur inspira à fond : Merlin, hier Gwen m'a justement fait remarquer que je ne t'avais jamais augmenté… Est-ce que tu es content de tes gages ?

Il le regarda ébahi: Des gages ? C'est quoi ?

Arthur pesta : C'est la somme d'argent que tu reçois en échange de ton travail, crétin.

Il le regarda sans comprendre : J'suis payé moi ?

Arthur le regarda, aussi ébahi : Enfin oui, tu reçois des sous quand même ?

Son serviteur : Heuuu… Uther m'a embauché au minimum vital; logé nourri blanchi et habillé… Enfin habillé; presque… Je trimbale les même bottes depuis près de dix ans… Mais quand je les enlève ça asphyxie les rats, faut regarder le bon côté des choses.

Le roi le regarda, ébahi : Quoi ? T'es même pas payé ?

Merlin secoua les épaules : Non, ça sent pas bon ça… Tu m'emmènes en forêt en plein hiver seul et tu me demandes combien je suis payé… Quoi tu vas m'abandonner là ? Je ne coûte pas cher pfff."

Arthur ne dit plus rien de longues minutes… Puis : "Mais enfin, pourquoi es-tu resté si longtemps ? T'aurais pu te trouver un truc plus lucratif et une petite femme… Ça m'échappe là.

Le sorcier soupira : Parce que c'est ma des… Mon dev… Je… Je suis un idiot.

Le roi : Oui c'est pathologique à ce stade-là.

Le serviteur soupira encore en servant deux bols de soupe et dit très bas : Oui enfin, être ami du crétin royal ça aide."

Arthur lui sourit, et prit volontiers le bol de soupe dans ses mains pour se réchauffer, il le regardait encore… En fait, il avait l'impression de le voir pour la première fois, c'était une sensation étrange : "En rentrant, je te ferai un nouveau contrat à remettre à l'intendant, Gwen avait raison, j'aurais dû me tracasser de ça plus vite."

Le bol de soupe de Merlin lui échappa des mains, et Arthur soupira : «Oui enfin du pas cher hein, t'es quand même vachement maladroit… Mais je ne veux pas qu'on dise que tu n'as jamais su te marier parce que je ne t'ai pas payé.

Merlin : C'est sûr, faut s'inquiéter du qu'en dira-t-on… Ça ne fait jamais que dix ans de retard… Est-ce que j'ai droit à des arriérés ?

Le roi, sévère : N'abuse pas, je peux encore t'abandonner dans la forêt ni vu ni connu. »

Arthur finit par avoir sa conversation tant attendue, mais bon il avait froid aussi… Il finit par se resservir un bol de soupe, parce qu'elle était complètement refroidie… Tandis que Merlin continuait à souffler sur son bol fumant, les mains serrées dessus et grelottant…

 

Merlin finit par comprendre: "Alors, on est dehors par une nuit froide d'hiver à se les geler pour ça? Pour qu'on puisse discuter comme quand t'étais prince sans que ça cancane à la cour? Franchement t'aurais pu m'en parler avant quoi… On serait allé à la taverne… Parce que là je pense qu'on va se choper la crève tous les deux… J'ai… J'ai vraiment cru que t'étais devenu fou, surtout quand t'as commencer à parler de me payer.

Le roi sourit en se resservant de nouveau un bol de soupe chaude, la sienne de nouveau trop froide : Non pas la taverne sans chevaliers, trop de monde à la taverne… Comment tu peux croire que je devienne fou ? Franchement tu me déçois, j'avais confiance en toi.

Le sorcier secoua encore les épaules en soufflant toujours sur son bol de soupe : La folie va souvent avec la prestigieuse royale position… Trop de pression.

Le roi, le regard coléreux d'un coup : Mon père n'est jamais devenu fou.

Merlin : Heu… Oops… Certes. »

Arthur soupira dans son bol refroidissant.

Son serviteur : « C'est bon, j'ai compris… On peut se voir pour manger dans l'écurie par exemple… Ça pue le crottin, mais au moins c'est chaud… Ou alors tu me fais mettre au cachot et tu dis aux gardes que tu viens me questionner; ça pue moins mais c'est froid et humide… Ou alors bêtement souper avec ton médecin, c'est quand même là que j'habite… Ah non là, les gens vont penser que tu es malade? M'enfin flûte, partout où tu veux, sauf dehors à la belle étoile en plein hiver, mes oreilles vont tomber là.

Arthur rit : Oui je vais y réfléchir. »

Il dut encore remplacer sa soupe dans son bol puis finalement ils mangèrent…

 

La soirée se passa, et Arthur lui proposa de venir se coller contre lui pour dormir afin qu'ils se réchauffent mutuellement.

Merlin fit constater que ce n'était pas comme ça qu'il allait se trouver une femme ; et son roi grommela qu'il allait tenter d'oublier la dernière phrase.

 

***

 

Après vingt minutes à grelotter l'un contre l'autre dos à dos, Arthur se releva d'un bond : « Merlin ?

Le serviteur : Oui ?

Le roi : Est-ce que tu peux m'expliquer comment ta soupe reste chaude alors que j'ai dû reprendre de la chaude au moins trois fois ?

Merlin tremblant : Heuuu… J'ai dû me resservir aussi.

Arthur insista : Mais non, je t'ai bien regardé, accroché et grelottant à ton bol de soupe qui ne refroidit jamais… C'est presque de la mag… »

Merlin se redressa précipitamment en tremblant encore plus que par l'effet du froid : «Heu… Normalement c'est durant les vacances qu'on abandonne les serviteurs dans les bois… C'est comme la chasse ; c'est pas la bonne saison là. »

Et Arthur relevé aussi le regardait fixement, tandis qu'il se rappelait de pleins d’événements inexpliqués qui lui étaient arrivés, surtout en présence de son serviteur.

 

Fin

macrale  (31.01.2016 à 18:06)