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Série : Castle
Création : 30.08.2011 à 12h47
Auteur : fabian
Statut : Terminée
« Episode spécial pour mes 2 ans sur hypnoweb : Quand la fiction devient réalité » fabian
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28 Aout 2011
La tension monte d'un cran. Ce n'était pas un tirage au sort. Ce n'était pas un don du ciel. C'est une ligne droite. Tellement droite que même les autres angles de la vie ne sont plus que des angles morts. Sans une ni deux, j'allais m'y rendre. Sans lui, je serais poussière. Avec lui, je suis rocher. Avec lui à mes côtés, on sera une mongtagne. Ce n'est pas l'homme de ma vie mais c'est l'homme qui créa l'histoire de ma vie. C'est l'homme qui fait vivre.
Me revoilà dans l'avion. Avec cet apect nouveau de la vie, cet homme n'est plus l'homme qui fait vivre. Il est l'homme qui me fait vivre
29 Aout 2011
San Fransisco. Quelle ville époustouflante. Quelques années auparavent, je ne l'arais pas cru. Dés demain, j'aurais une chance de le voir, de le toucher, qu'il lise entre mes lignes. C'est quasimentsi je n'ai pas tout abandonné pour lui. Ma famille, mes amis, ma vie. La terre ne tourne plus. C'est la terre qui tourne pour moi. Tout ce blabla aurait pu être évité si quelque jours avantn j'avais écouté mon estomac au lieu de mon instinct...
20 Aout 2011
Aujourd'hui fut le plus beau jour de ma vie. C'est trop beau pour être vrai. Pour tout vous dire, je ne ferais plus jamais confiance en mon estomac. Il était à deux doigts de me faire éviter la chance de ma vie. Ma mère et moi étions dans un grand magasin. Ma mère m'a laissé aller dans mon coin comme d'habitude. Et là, en montant à l'étage j'ai vu une affiche. Cet homme, c'est ma vie. Ma vie, je la partage avec lui. J'ai cru qu'il n'était rien mais il ne restait qu'un seul et unique papier. Ma mère venait me chercher 10 minutes après. Je ne me suis pas approché. Et pourtant, au dernier moment, je l'ai prit. Et maintenant, j'ai les résultats. Et oui, je ne m'en volais pour San Fransisco.
29 Aout 2011
Et me voilà devant le magasin. Celui dans lequel demain, je rencontrerais mon idole. Ma folie passagère. Et pourtant, qu'est ce qui m'empresse d'aller le voir : la pression de mes amis, la peur de mes parents. Non c'est plus fort que ça. La peur du refus. Je semblais tellement le connaitre que voir qu'il n'est pas comme ça, ne serait pas une surprise. Mais voilà ce qui m'anhime ces derniers jours : l'espoir
30 Aout 2011
H-2 : Le stress monte. Serais-je assez fort ? Entre lire et écrire, où est la différence ? Où est l'ignorance du présent, du passé, du futur ?
H-1 : Seconde mémorable : l'ouverture des portes du magasin, l'ouverture... de mon futur. Le passé est derrière, mon futur aura un livre dans les mains.
H : Le voilà. Une ombre derrière une armoire. Un visage derrière une facade. Rien que les premières centièmes de secondesà sa vue est mieux que toutes ces années dans ce qu'on appelle l'enfer. Il s'est assis. Je me suis assis. Richard Castle, l'écrivain de renommée, l'auteur à succès de plusieurs sagas, aurait il perdu sa langue, aurait il perdu son inspiration ? Non. Il cherche les mots juste. Il parla enfin après des secondes interminables. Et moi, un choix douloureux fut fait : dans mon journal intime, il ne me restat plus qu'une face. Une page se tourne, ce journal ne sera pas seul puisque le dernier mot viendra de Castle :
" Combien de kilomètres as tu fait ici ? Quels sont les souffrances, les douleurs, les saccrifices que tu as du faire pour me voir, me parler, me connaitre, me vivre. Peu importe car tu apportes autant de respect qu'il y a de pages que tu as écrit dans ce journal. Je te dois un respect total. Car, oui, j'aime écrire et j'aime aussi lire à travers les gens. Pour le mot de la fin, je ne dirais qu'une phrase : Si tu me lis, si tu me comprends comme tu écris, tu deviendras un grand auteur, Fabian "