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Short Stories

Série : Veronica Mars
Création : 25.09.2008 à 08h42
Auteur : estel6317 
Statut : Terminée

Librement inspirée du quartier de Dawson, vous pouvez poster ici vos histoires courtes (OS). Les règles sont définies dans le premier paragraphe

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Mac ferma les yeux en essayant de penser à autre chose. Cela ne l'empêcha pas de sentir l'aiguille s'enfoncer dans sa peau.
Maudite soit ma bonté, elle me perdra!

- Merci mademoiselle, c'est terminé.

Déjà? Elle se releva.

- Vous gardez le pansement pendant deux heures, n'oubliez pas de manger et boire avant de repartir dans une activité trop fatigante.

Blablabla... On me l'a déjà expliqué mille fois. Ce n'est pas donner quelques gouttes de sang qui vont changer ma vie. Enfin pas la mienne en tout cas.

 

Tout ça avait commencé sans qu'elle ne s'y attende le moins du monde. Un jour, Veronica l'avait appelée d'urgence et lui avait demandé de venir d'urgence à Mars Investigation. Sa curiosité l'avait emporté, elle avait attrapé son sac, ses clés et était partie la rejoindre. Alors qu'elle poussait la porte vitrée, elle vit sortir Veronica du bureau de son père, qui était aussi le sien par la même occasion maintenant qu'ils travaillaient officiellement ensemble, et refermer la porte derrière elle.

- Qu'est-ce qui se passe? Ça avait l'air assez urgent. (S'inquiétant) C'est grave? C'est ton père? Wallace?
- Calme-toi. Tout va bien. Assieds-toi je voudrais te parler.

Elles s'assirent sur le canapé et Veronica commença en parlant doucement.

- Tu te souviens quand tu m'avais demandé d'enquêter sur ta famille... biologique?
- Oui. Veronica ne fait pas durer le suspens je t'en supplie!
- Monsieur et madame Sinclair sont dans le bureau. Ils m'ont demandé de retrouver leur fille biologique. Non pas qu'ils ne sachent pas où te trouver mais ils ont un petit souci et auraient un service à te demander.
- Un service? Quel genre de service?
- Ce n'est pas à moi de t'en parler Mac.
- Et selon toi, puisque tu as l'air d'en savoir plus que moi, je devrais les écouter ou partir d'ici directement?
- Je ne t'aurais pas appelé si ça n'en valait pas le coup. Ça me tue autant que toi de devoir rendre service à la famille de cette... garce, et je pèse mes mots. Mais ils paient bien!
- Elle est là?
- Non!
- Soit. Allons-y alors!
- Merci Mac.
- Ce n'est pas toi qui dois me remercier.

Elle entra à la suite de Veronica dans le bureau où elle découvrit sa "mère" et son "père". Quand elle reconnut sa fille, madame Sinclair se leva suivie de son mari.

- Cindy!

Mac resta un instant immobile, toujours émue comme à chaque fois qu'elle les trouvait sur son chemin, déjà à la remise des diplômes elle avait ressenti ça, heureusement qu'on ne lui avait pas demandé d'aller leur parler! Mais c'était différent aujourd'hui. Et c'était la première fois qu'elle voyait son père d'aussi près. Ils avaient l'air éprouvé.

- Monsieur et madame Sinclair, voici Cindy Mackenzie.

Mac fit un petit signe de la main accompagné d'une grimace qu'elle espérait parvenir à faire ressembler à un vague sourire. Les adultes réagirent enfin et lui serrèrent la main avec émotion.

- Veronica m'a dit que vous aviez quelque chose à me demander.

Après un bref regard à son mari, madame Sinclair prit la parole.

- Cindy... je...

Sa voix s'étranglait dans sa gorge. Elle respira et reprit

- Tu as déjà rencontré Loren il me semble.

Mac acquiesça avec un sourire en se souvenant de la petite fille qui lui ressemblait tant.

- Mademoiselle Mars nous a dit que tu étais au courant pour... enfin... Elle est malade. Très malade.

Une larme s'écrasa sur sa joue. Son mari l'encouragea en lui prenant la main.

- On a besoin de toi. ELLE a besoin de toi. Elle a besoin d'une greffe de moelle osseuse rapidement. Les médecins nous ont demandé de faire des recherches dans la famille proche. Mais malheureusement, ni son père ni moi ne sommes compatibles. Et Madison... n'y peut rien.

Mac se mit à réfléchir à toute vitesse. Loren... sa sœur en quelques sortes... les Sinclair, les parents de Madison... qu'y pouvait-elle elle si leur fille était malade? Mais pouvait-elle sciemment laisser un être humain mourir parce qu'elle détestait la fille qui vivait avec elle? La réponse était simple et claire : non.

- Dites à Veronica où et quand il faut que je vienne et je serai là.

Sur ce, elle quitta la pièce rapidement. Veronica vint la rejoindre sur la plage un peu plus tard. Les genoux repliés sur sa poitrine, elle fixait l'océan. Elle s'assit simplement à côté de son amie en lui tendant un morceau de papier sur lequel une date et une heure étaient inscrites.

- C'est bien ce que tu as fait Mac. Tu peux être fière de toi.

Et elles restèrent en silence pendant un long moment. Jusqu'à ce que Mac se relève et époussetant le sable qui collait à ses vêtement.

- En tout cas je ne suis pas sûre que Madison en aurait fait autant si ma terreur de frère s'était trouvé dans le même cas que Loren.
- Je suis même sûre qu'elle ne l'aurait pas fait. Tu peux être doublement fière!
-Allez viens, je commence à avoir froid à force de ne pas bouger. Tu m'accompagneras?

 

Voilà comment Mac s'était retrouver à faire une prise de sang pour vérification de sa compatibilité, Veronica à ses côtés.

- J'aimerais que ça marche.

Quelqu'un là-haut avait dû l'entendre car madame Sinclair lui téléphona le lendemain pour lui annoncer la bonne nouvelle.

Après un nombre impossible d'examens, elle avait donc fait un don de moelle. Elle n'avait rien senti. "On ne vous en prend pas beaucoup" lui avait-on dit. Il ne lui restait qu'une petite cicatrice qui s'effacerait avec le temps. Allongée sur son lit chez ses parents, c'est ce à quoi elle était en train de penser quand la voix de son petit frère retentit dans la maison.

- Mac! Ya une mini toi à la porte!

Une mini moi? Elle sauta précipitamment sur ses pieds et descendit les escaliers quatre à quatre. Son frère avait déjà disparu. Sûrement reparti devant la télé. Elle rouvrit la porte qui s'était refermée en partie et découvrit Loren sur le seuil. Leurs regards se croisèrent.

- Loren!

La petite fille s'approcha et serra ses mains autour de la taille la jeune fille qui, émue entoura le corps de sa "sœur" des siennes.

- Merci Mac! Mes parents m'ont dit que c'était toi qu'il fallait remercier. Je suis venue dès que j'ai pu!
- Alors ça y est t'es définitivement guérie?
- Oui. Grâce à toi! T'es plus ma sœur que ma sœur maintenant!


Si tu savais Loren...


gary57  (30.10.2008 à 19:24)

Dimanche 30 Octobre 2011

Jour 299

 

 

En rentrant à l’appartement ce soir, j’ai croisé un violoncelliste dans le métro. Il jouait notre morceau Oliver, celui que tu interprétais si souvent le soir lorsque tu étais las de la contrebasse. J’ai entendu les premières notes de Bach de loin, de très loin même, tel le chant des sirènes qui charme et attire le pauvre voyageur perdu en haute mer.

J’ai tenté de lutter, de résister à l’appel. Tel Ulysse, je me suis figée au milieu du quai, refusant d’esquiver le moindre mouvement, malgré les ruades de la foule désireuse de monter dans la rame. Elle a finalement filé dans la nuit, laissant derrière elle un désert dont la musique s’est faite aussitôt la maîtresse absolue.

Je ne voulais pas avancer, mais comment lutter contre le magnétisme de ces notes enfouies en moi ? Le combat était perdu d’avance ! Comment résister à la possibilité d’assister à la renaissance de la vie que tu créais le long de tes doigts ?

De toutes les parties de ton corps, je crois que ce sont tes mains qui me manquent le plus mon amour. Je suis nostalgique de la musique et des soupirs qu’elles créaient. Ces mains… Ces mains qui ne sont plus. Tes notes sont aussi profondément enfouies dans mon cœur que ton corps n’est enfoui sous la terre.

Je me suis figée. En imaginant ta dépouille se décomposer là-bas, sous les genêts, j’ai compris que cette chanson n’était pas la nôtre. Elle n’était guère que la pâle copie de la vie que tu créais le long de tes doigts. Si j’aimais ce morceau, c’est parce qu’il reflétait la tendresse fougueuse qui te caractérisait. Mais c’est fini. Tout est fini.

De battre nos cœurs se sont arrêtés.

 

Prélude à W ou le souvenir enfoui pour le défi War Word


lili59  (30.10.2008 à 20:15)

[défi WW : référence à la musique de Prince : ''Kiss'']

 

Logan,

Tu n'as pas besoin d'être beau pour être à moi.                                         

J'ai juste besoin de ton corps toutes les nuits, toute la vie, et me réveiller avec à l'aurore.                                                                            

Tu n'as pas besoin d'expérience pour me faire fuire, juste de me laisser faire.                                                                                                    

Tu n'as pas besoin d'être riche pour être mon ''plein aux as'', mon roi.

Tu n'as pas besoin d'être cool pour me faire tourner la tête.        

Car je n'aime qu'une personne en particulier : toi. J'ai juste besoin d'un peu de temps et de ton baiser quand le moment viendra. Ce moment est proche Logan...                                            

                                                          Ton petit lynx

 

Véronica enferma son mot dans une enveloppe et glissa celle-ci sous une porte du NGH qu'elle connaissait que trop bien.

Véronica (voix-off) : ''J'ai juste besoin de toi...''


lndu25  (30.10.2008 à 21:06)

On TV tonight

 

Visionner, effacer, recommencer.

Geste mécanique.. Démarche répétitive pour d’atteindre un point de non de non retour. Ne surtout pas laisser de temps mort entre les K7 alors il les enchaîne sans répit.

Faire remonter à la surface tout ce qu’il a enfoui avec tant d’acharnement l’année écoulée. Sentir son cœur se briser. La nausée augmenter. Fixer sa chevelure blonde se balançant avec une sensualité exacerbée. Reconnaître ses traits quand la jouissance l’effleure. Se souvenir du poids de son corps sur le sien. De la façon dont elle le rendait fou. D’amour, de jalousie. Mélange des genres. Trop plein de sentiments.

Le plus doux des poisons. Le plus nocif des bonheurs.

Sa mort. La façon dont.. Le meurtrier qui… Ils lui ont volé son droit de l’aimer sereinement dans ses souvenirs. A chaque fois qu’il l’évoque, le visage de son père se superpose. Jamais le fait qu'il retire sa ceinture ne lui aura fait autant de mal. Interdit de nostalgie. L’amour de sa vie est une garce. Essaye de vivre avec ça maintenant LOGAN.

Les larmes roulent sur ses joues. Il les essuie distraitement. Ne cherche même plus à faire semblant. Il est en train de se briser là, sur le canapé de sa chambre d’hôtel. De sa maison.

17 ans et même plus de foyer. Indépendant ? Quelle vaste fumisterie. Abandonné oui ! Le reste ce n’est que de l’esbroufe. Pour impressionner les autres et prétendre que tout va bien.

C’est son rôle à lui. L’inébranlable LOGAN ECHOLLS. Le type cynique..Celui que rien n’effraie. Celui que rien ne touche. Le reste n’a pas d’importance. Les fantômes ne sortent de leur placard que la nuit. Quand il est seul. Alors à quoi bon en parler…

Tout effacer…


marshmalow  (30.10.2008 à 23:24)

Prouve le moi !

Un couloir dans les hautes sphères du NGH. Logan sort de la suite 1347 en terminant de se rhabiller. Son 5 à 7 venait de partir, mais il avait encore faim. Kendall était gourmande mais lui l'était encore plus. Il ne trouvait plus de tendresse dans les caresses de la bimbo. Il ne trouvait plus l'extase entre les jambes de la belle mère de Dick. Même cette idée là en venait à le révulser. Pris dans ses pensées, il l'aperçut, elle, sortant discrètement de la suite attenante. La petite blondinette qui avait fait enfermer son père. Le petit lynx qui avait vengé l'assassinant de Lilly. La guimauve qui lui avait laissé un âpre goût de promesses en bouche. Veronica Mars.

Logan : T'as quelque chose de changé...lui lança-t-il en remettant un lacet en place.

Il s'avança jusqu'au milieu du couloir. Il n'était qu'à quelques mètres d'elle. Il sentait son parfum. Promesses.

Logan : T'as couper tes cheveux peut-être...ajouta-t-il en la regardant par en dessous.

Elle n'osait même pas le regarder. Elle n'osait même plus lui répondre. Elle restait là bouche bée. Duncan et son retour avaient tout gâché. La promesse prenait un goût amer. Il n'acceptait pas d'être le seul à souffrir. Il allait tirer sa cartouche la plus destructrice.

Logan : Pour ta gouverne, si le câlin c'est la meilleure partie, il n'a pas assuré...

Logan ne lui adressa même pas un regard en partant. Il était à deux pas de l'ascenseur quand l'incroyable se produisit.

Veronica : Prouve le !

Il faillit ne pas se retourner. Il avait tant rêver d'elle, de son corps...

Logan : Pardon ?

Il sentait la guimauve au plus près de lui.

Veronica : J'ai dis : prouve le !

Logan : Prouvez quoi ?

Elle lui adressa son regard le plus suggestif, et porta sa main à la poche arrière du jean du 09ers, en sortit deux cartes d'ouverture des chambres, la 1347 et la 1345. Logan eut peur de ne pas comprendre ou de peur de trop la comprendre. Il suffit bouche bée comme elle, il y a quelques secondes. Situation inversée. Veronica se retourna, regarda la suite de laquelle il était sorti et se débarrassa de la clé de celle ci.

Logan : Qu'est ce que tu fais ?

Veronica lui adressa de nouveau ce regard suggestif. Elle attrapa Logan par le col. Le tira jusqu'à la suite 1345. Il était à quelques centimètres d'elle, à quelques millimètres de cette fabuleuse d'odeur de guimauve, à quelques secondes d'une promesse...

Logan : Veronica...

Elle avait le dos plaqué contre la porte. D'une main experte et sans se retourner, elle ouvrit la suite.

Veronica : Prouve le moi !

Elle l'embrassa goulument.

Logan : Tu l'auras voulu... lui répondit il en l'attrapant par les hanches.

Il la bouscula vers l'intérieur de la suite. La plaqua contre le bar. Il avait faim. Il allait assouvir avec elle, en elle sa faim d'amour et de tendresse. Il savait qu'elle se sauverait aussitôt mais un moment d'affection et de tendresse avec la femme de ses rêves valait toutes les souffrances du monde. Il la fit frémir, gémir, s'évanouir d'extase. Elle le fit frissonner, trembler, grimper au paradis. Il avait étanché sa faim. Allongé sur le lit, il la regardait se rhabiller. Même là, elle avait plus de classe que Kendall. Il attendit qu'elle eut fini pour tirer sa nouvelle cartouche.

Logan : Alors, qu'est ce...

Il n'avait pas pu tirer sa nouvelle cartouche. Veronica qui bouclait son blouson venait de se pencher sur lui.

Veronica : A plus tard, beau gosse...

Logan : A, à, à plus tard ?!

Mon dieu, il croyait rêver. Elle se retourna alors qu'elle allait sortir.

Veronica : Je vais aller voir Duncan. Cette mascarade a assez duré...

Il devait rêver. Il rêvait. Une promesse de plus...Celle ci allait elle tenir plus longtemps ? Peut-être ? Et alors ! Il l'aimait trop pour ne pas tenter à nouveau sa chance. Il l'aimait. Il l'aime peu importe ce qu'elle lui a fait ou ferait subir.  


alExiaN  (31.10.2008 à 21:49)

Logan (voix-off) :

  Je n'en reviens toujours pas! Je suis là à tes côtés, en ce lieu et en ce moment magique. J'ai l'impression que c'est un rêve, un rêve qui se réalise, enfin. Tu ne peux imaginer la joie que j'ai. Je croyai que le plus beau jour de ma vie c'était quand tu avais répondu à ma question, mais non, c'est aujourd'hui. Et il faut avouer que je suis un peu stressé, toi tu n'en a pas l'air. C'est peut-être à cause du smoking qui me sert un peu. Il faut avouer que j'ai pas l'habitude d'en porter. Toi, tu portes une magnifique robe blanche qui te va à merveille. Tu sens toujours les promesses, et aujourd'hui Ronnie, on en réalise une de promesse, celle de nous aimer, pour toujours. Pour le meilleur et pour le pire comme on dit. On en aura des deux je pense, comme on en a toujours eu, mais on les surmontera, ensemble.

Le curé pose sa question. Cette question ultime, Véronica, j'ai l'impression que j'ai toujours voulu l'entendre. Mais aujourd'hui, bizarrement, j'ai peur. Peur que tu renonces, peur que tu t'enfuis, alors j'hésite. Je ravale ma salive, je te regarde, tu me regardes, avec une tendresse et un amour que je ne connaissait pas et pourtant j'étais sûr qu'il était présent en toi. Prenant mon courage à deux mains, encouragé par ta présence précieuse, je réponds enfin à la question et je prononce les mots, la phrase, qui me hantent depuis des mois, depuis des années, depuis que je t'ai rencontré.

 

''Oui je le veux.''


lndu25  (02.11.2008 à 01:09)

          Elle attendait depuis une dizaine de minutes dans la salle d'attente. Décorée avec goût. Simple et raffiné. Son genou s'agitait nerveusement. Stress et impatience se mélangeaient. Elle avait fait le voyage depuis Neptune pour rencontrer le directeur de cette entreprise. Un requin en affaires parait-il. Ça ne l'étonnait pas plus que ça. Depuis qu'il avait quitté Neptune sept ans plus tôt, on en n'avait plus parlé pendant quelques années et puis la presse s'était de nouveau emparée de son nom. Ne sachant plus vers qui se tourner, elle avait demandé un rendez-vous qu'une gentille secrétaire standardisée lui avait donné. On l'interrompit dans sa rêverie.

- Mademoiselle Mackenzie? Monsieur Echolls est disposé à vous recevoir.

Elle se leva, la peur au ventre, mais le sourire aux lèvres. Il sortit de son bureau pour venir l'accueillir. Il avait changé. Enfin pas tellement. Un peu quand même. Son air supérieur et froid la marqua. Il avait toujours eu cet air hautin, mais jamais si froid. Elle ne savait pas comment se comporter envers lui. Il le lui indiqua avec un sourire de circonstance en lui tendant la main.

- Mademoiselle Mackenzie. Enchanté. Entrez je vous en prie. Nous allons discuter tranquillement dans mon bureau.

Elle resta interdite un instant. Elle s'attendait à tout sauf à ça. Elle eut peur un instant. Elle lui tendit la main à son tour en répondant sur un ton qu'elle voulait le plus neutre possible. Pourtant elle sentit sa voix trembler.

- Monsieur Echolls. Je vous remercie d'avoir accepté de me recevoir.

Ce serait plus difficile que prévu.

Aussitôt la porte refermée derrière elle, il retira sa veste, desserra sa cravate et s'assit sans plus de manière dans un grand fauteuil de cuir.

- Alors Mac? Quoi de neuf?

Mac resta déstabilisée par ce changement si prompt d'attitude. Elle le fixa.

- Quoi? Tu croyais sérieusement que je ne t'avais pas reconnue?

Elle se détendit et son visage se fendit d'un large sourire en retrouvant enfin l’homme qu’elle connaissait.

- Ouf j'ai cru que j'allais devoir te vouvoyer, tu m'as fait peur!
- Les affaires... Je suis observé et chacun de mes faux pas est noté et disséqué par la presse puis jeté en pâture à mes concurrents. Comment vas-tu?
- Logan... ça fait sept ans.

Il baissa la tête. Sept ans oui. Cela faisait sept ans qu'il avait quitté Neptune pour n'y jamais plus remettre les pieds.

- Je sais.

Il se reprit.

- En quoi puis-je t'aider?
- J'essaie de monter ma boîte.
- Informatique?

Mac acquiesça.

- On t'a refusé des financements en banque? (étonné)
- Oui. Je ne suis pas très riche, le matos coûte cher et face à Kane's Software...
- Tu as besoin de combien?
- Tu ne regardes pas mon business plan?
- Je le regarderai. J'ai confiance en toi je sais que tu ne vas pas faire n'importe quoi.
- Merci Logan. Je suis très touchée.
- Ne le dit à personne ; je risque ma réputation de carnassier!

Ils échangèrent un sourire.

Il s'était levé et tournait le dos à Mac. Les mains enfoncées dans les poches de son pantalon, il fixait la ville à travers la fenêtre de son haut building. Après un silence qu'aucun d'entre eux ne chercha à rompre, il demanda:

- Comment va-t-elle?

Mac ne s'étonna pas. Ou plutôt elle s'étonna que la question n'arrive que maintenant.

- Ça va.

Elle attendait qu'il pose une autre question. Elle voulait savoir où il en était lui. Il resta à fixer le vide. Elle soupira.

- T'es incorrigible! Sept ans après tu arrives encore à me faire perdre patience!

Un sourire passa sur le visage du jeune homme. Elle ne put cependant le voir.

- Elle va bien. Mais elle n'est pas heureuse. Plus heureuse. Plus depuis que tu es parti... Logan?

Il gardait le silence. Toujours face à la fenêtre, ses yeux s'étaient fermés sur une image de la petite blonde. Il tressaillit quand il sentit une main se poser sur son bras.

- Logan... Je vais te laisser. Merci pour tout.

Il se ressaisit en un instant.

- Je te donne des nouvelles. Donne m'en aussi.

Ils se comprirent d'un regard. Il la raccompagna à la porte qu'il ouvrit. Il lui tendit la main et avec un sourire beaucoup plus chaleureux que celui avec lequel il l'avait accueillie lui dit:

- Au revoir mademoiselle Mackenzie. C'est un plaisir de travailler avec vous. Je vous recontacterai bientôt.

La porte se referma sur la jeune femme qui partit le sourire aux lèvres. Double mission accomplie. Il alla s'asseoir à son immense bureau et sa tête tomba entre ses mains, ses coudes appuyés le plateau de verre recouvrant le cuir de la table et prononça son prénom dans un murmure:

- Veronica

 

Elle attendait depuis une dizaine de minutes dans la salle d'attente. Son genou s'agitait nerveusement. Stress et impatience se mélangeaient. Elle avait fait le voyage depuis Neptune pour rencontrer le directeur de cette entreprise. Un requin en affaires parait-il. Pourquoi était-elle là déjà? Elle ne savait plus, trop perturbée pour réfléchir. Elle sursauta et se leva d'un bond quand elle entendit son nom.

- Mademoiselle Mars? Monsieur Echolls est disposé à vous recevoir. Il m'a demandé de vous mener à son bureau. Suivez-moi je vous prie.

La jeune fille au chignon impeccable frappa, entendit un vague entrez, tourna la poignée et s'effaça pour laisser entrer une Veronica plus morte que vive.

Elle était là. La femme de ses rêves. La femme de sa vie. Celle qu'il n'avait jamais réussi à aller voir pendant sept longues années. Elle était là. Devant lui. Toujours aussi belle. Encore plus belle. Toujours plus belle.

Quand elle avait franchi le seuil de la porte, il s'était levé. La porte s'était refermée. Aucun mot n'avait été prononcé. Il était là, en face d'elle. Lui dont elle attendait désespérément un geste depuis sept ans. Lui qu'elle n'avait jamais réussi à remplacer. Il était là. Il avait l'air si fort et si faible à la fois.

Leurs regards se croisaient. Se mêlaient. S'accrochaient et ne pouvaient plus se détacher. Ils étaient comme hypnotisés. Il finit par baisser les yeux. Elle s'approcha du bureau derrière lequel il se tenait, sur lequel il s'appuyait.

- Veronica
- Logan

Leurs voix tremblaient. On aurait dit deux enfants. Il fit le tour du bureau pour s'approcher d'elle. Il s'arrêta à une cinquantaine de centimètres. Il avait fait le premier pas. Elle en fit un. Petit. Tout petit.

- Logan... Ça fait sept ans...
- Sept ans que j'ai peur Veronica. Sept ans que j'ai peur de venir te voir. Sept ans que j'ai peur que tu trouves l'amour auprès d'un autre, si ce n'est pas déjà fait, sept ans que j'ai peur sans toi.

Elle avait baissé les yeux. Son regard la transperçait. Elle sentait les brûlures sur son corps. Elle sentait la brûlure des larmes qui montaient dans ses yeux.

- Ça fait sept ans que je t'attends Logan.

Elle osa lever les paupières. Ses grands yeux humides lui serrèrent le cœur. Il attendait. Il ne savait pas ce qu'elle voulait dire. Etait-ce un oui? Etait-ce un non?

- Je... je dois y aller...
- Non Veronica! Pas cette fois. Attends.

Elle se s'arrêta et se retourna.

- Si je reste Logan, tu risques de faire une bêtise que tu regretteras.
- Je n'ai jamais rien regretté avec toi.

Elle ferma les yeux, faible. Elle les rouvrit quand elle sentit une main caresser doucement son visage, alors qu'une autre se glissait autour de sa taille. Elle tressaillit. Il allait l'embrasser. Elle le savait. Elle ne le voulait pas. Elle le désirait plus que tout. Elle ferma les yeux et tendit ses lèvres à l'homme qu'elle n'avait jamais réussi à oublier. Leurs lèvres se scellèrent dans un baiser doux et tendre. Leurs corps se serrèrent et doucement ils s'abandonnèrent l'un à l'autre, oubliant que sept ans les avaient séparés.

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gary57  (02.11.2008 à 20:19)

C'est fini

 

C'était fini. Elle avait fini. Enfin. Elle le regardait s'éloigner, pour toujours. Monter dans cette camionnette. S'éloigner de sa vie. La laisser tranquille pour toujours.
Pourquoi ce sentiment d'insatisfaction, encore au fond du cœur ?
C'est fini pourtant. On l'éloigne, de moi, pour toujours.
Mon père est pris en charge aussi. On l'éloigne aussi. Je suis seule finalement ce soir. J'attends cet apaisement qui ne vient pas.
Je l'espérais pourtant. Je l'ai attendu toute cette année. On l'éloigne de moi, on l'éloigne du monde. Etranger au monde. C'est ce qui pouvait lui arriver de pire. Etranger au monde, lui, l'homme de la lumière. Alors pourquoi j'ai mal encore ?

Je ne sais pas, je ne sais plus.

Je me suis assise près de la voiture. Les gens s'agitent encore autour de moi. Un peu trop peut-être. Je ne comprends pas. Je ne comprends plus. Pourquoi cette sensation d'être seule soudain ?
Je tourne la tête, je te cherche du regard. Tu étais là pourtant, tout ce temps tu étais là, je l'aurai juré. Je t'entendais, je te voyais, je te suivais. Je n'aurai jamais pu le faire sans toi. Je tourne la tête et je m'attends presque à te voir assise à côté de moi, souriante. J'ai froid au moment où mes yeux se posent sur le trottoir vide. J'ai froid. Si froid.
Je me lève brusquement. J'ai envie de hurler. De hurler. Mes jambes ne me portent plus. Un homme à côté de moi s'approche. Il veut voir si je vais bien. Je pense qu'il veut savoir si je vais bien. Sourire de circonstance, ça le rassure il s'éloigne.

C'est fini pourtant. Mais c'est fini bon sang ! Pourquoi j'ai mal comme ça !

 

Parce que c'est fini Veronica. Parce que c'est fini.

 

Je me retourne brusquement. Ton petit sourire triste, celui des jours de pluie. Je baisse les yeux.

 

Je suis morte Vero. C'est fini.

 

Je suis seule, c'est fini, et Lilly est morte.


lealoeu  (02.11.2008 à 22:56)

Wallace Fennel au lycée des fêlés


Installé à l’arrière du bus scolaire jaune canari, Wallace tentait de contrôler les palpitations de son cœur qui battait la chamade. Arriver dans un nouveau lycée, surtout à Neptune High dont la réputation n’était plus à faire, n’était pas chose aisée.

-La place est libre ? demanda un jeune à la chevelure blond vénitien en montrant le siège à côté de Wallace. Les autres places sont prises.

Wallace hocha la tête et le garçon s’assit. Il jeta un coup d’œil à Wallace puis se tourna du côté de la fenêtre d’un air indifférent. Le silence prolongé ne fut brisé que par le gargouillement qui s’échappa du ventre de Wallace. Le jeune homme, qui n’avait pas pris de petit-déjeuner, se contorsionna, un peu gêné.

- Tu as faim ? demanda son voisin.

- Je suis affamé, dit Wallace.

- Tiens, mange ça, proposa le grand dadet en sortant deux friandises de sa poche.

Wallace jeta un coup d’œil sur les barres chocolatées. L’emballage criard indiquait Chococitrouille.

- Ce ne sont pas de vraies cucurbitacées, j’espère ?

- Non, mais regarde la carte à l’intérieur, j’en fais collection. Il me manque Mrs Dent.

Wallace ouvrit un paquet de Chococitrouilles et trouva la carte. Il la retourna et lut :

« Van Clemmons, actuel directeur de Neptune High. Considéré par beaucoup comme le plus grand professeur des temps modernes, il s’est notamment rendu célèbre en écrasant en 1975 l’élève Céleste Kane, de sinistre mémoire. Il travailla en étroite collaboration avec la cantinière et on lui doit la découverte des douze propriétés des pommes de terre frites. Les passe-temps préférés su professeur Clemmons sont le film Bowling for Columbine et le sport en chambre. »

Wallace venait tout juste d’achever sa lecture qu’un énorme chien se jeta à ses pieds, suivie d’une petite blonde qui, visiblement, s’était lancée à sa recherche.

- Vous n’auriez pas vu un chien ? J’ai perdu le mien, dit la fille.

Elle avait de longs cheveux blonds ébouriffés, de longues dents et un ton autoritaire.

- On a rien vu du tout, répondit le blond.

- C’est ça que tu appelles ne rien voir ? rétorqua la fille en désignant la boule de poils qui roupillait maintenant sur les pieds de Wallace.

Elle s’agenouilla et prit la bête dans ses bras, caressant le petit museau.

- Voilà Back-Up, tout va bien… murmura-t-elle. Ah, au fait, je m’appelle Veronica Mars, et vous ?

- Je m’appelle Richard Casablancas, marmonna le jeune homme blond avant de siffler entre ses dents : Espèce de sorcière…

- Moi c’est Wallace Fennel, dit Wallace.

- C’est vrai ? s’exclamèrent en cœur Richard et Veronica, les yeux ronds.

Cette dernière fut la plus rapide à accaparer la parole :

- Je sais tout de toi, j’ai lu quelques livres pour ma culture générale et je peux te dire qu’on parle de toi dans Histoire du Basket Moderne, Grandeur et Décadence de la Population Noire, Les Grands Evénements du Sport au XXème siècle. Tu sais que dès qu’une œuvre cite ton nom, elle est certaine de caracoler en tête des ventes pendant au moins six mois ?

Trois élèves de Neptune High se retournèrent de leur siège et Wallace reconnut parmi eux le garçon au teint métissé dont il avait fait connaissance au drug-store. Cette fois, il regardait Wallace avec beaucoup moins d’antipathie que lors de leur première rencontre.

- Alors c’est vrai ? lança-t-il. On dit partout que Wallace Fennel se trouve dans ce bus. C’est toi ?

Wallace hocha la tête à l’instant où le bus atteignait son objectif final.

- Il faudra qu’on se reparle un de ces quatre, conclut le latino en se levant. Je voudrais bien que tu me parles de Tu-Sais-Qui... ajouta-t-il d'un air entendu.

Tandis qu'il s'éloignait, Wallace réajusta son uniforme. Comme par hasard, il fallait que le port de l’uniforme devienne obligatoire l’année où il entrait à Neptune High… Il resserra sa cravate, se sentant encore un peu plus déguisé.

En sortant du bus, Richard se baissa vers lui :

- C’est qui, « Tu-Sais-Qui » ?demanda-t-il.

- Pas la moindre idée… sourit Wallace. Je crois que ce garçon a un peu trop d’imagination… Il a peut-être lu trop de contes de fées?

 

Défi War Word librement inspiré de

Harry Potter à l'Ecole des Sorciers de J.K. Rowling


lili59  (03.11.2008 à 14:10)

Une petite histoire (très) improbable

 

- Jeunes gens ! Je rends les copies de votre dernier contrôle. M. Casablancas, comme d’habitude sujet excellemment traité : A+. Les autres, prenez-en de la graine !

Aux paroles du prof, le grand blond piqua un fard, sa timidité naturelle en prenait un sacré coup. Il essaya de se faire oublier, gêné de sentir tous les regards concupiscents des filles braqués sur lui. Elles ne pouvaient pas lui ficher la paix !

Dès la fin du cours, il s’empressa de disparaître de peur qu’elles ne se jètent sur lui. C’est en arrivant sur le parking qu’il la vit… Elle, la seule qui lui faisait de l’effet, la seule qu’il aurait aimé inviter s’il avait osé, mais le marivaudage n’avait jamais été son fort.

- Dick ! Bonjour…

Quoi ? Il ne rêvait pas, elle lui adressait la parole… Il se sentit rougir jusqu’à la racine des cheveux et répondit la voix un peu tremblante :

- Salut Mac !...
- Ce soir, il y a une rétrospective Fellini au Rex… Ça te dit ?...
- Attends !... Tu veux à aller au ciné avec moi ?...
- Oui banane ! Tu as beau avoir un QI au-dessus de la moyenne, si je dois compter sur toi pour lancer l’invitation, j’ai le temps de me dessécher sur pied et de virer vieille sorcière… Alors… Fellini si ? Fellini no ?
- La Dolce Vita ? Si… On se retrouve où ?
- Passe me récupérer chez moi à 19 h… Et au fait, je ne te l’ai pas dit ?... Tu auras le droit de m’offrir une glace après la séance et, peut-être… je dis bien peut-être… que je te laisserai me faire une bise sur la joue quand tu me raccompagneras… Oh ! Ne me regarde pas comme ça… Je rigole ! À toute à l’heure !

Il n’en revenait pas, il avait un rancard avec la petite brune de ses rêves. Il démarra sa voiture un grand sourire aux lèvres.


- Eh ! Mec… Ne reste pas là, va dans ta chambre. Je ne sais pas ce que tu as ingurgité en plus de la bière, mais à voir ton sourire ravi, ce devait être pas mal.
Cette voix et le bras qui le secouait lui firent reprendre pied dans la réalité :
- Oh ?... Dude, c’est toi. Attends… Qu’est-ce que j’ai bu ?... Ah ! Oui. J’ai un peu abusé de ce nouveau cocktail le Sabbat noir… Super. Il m’ouvre des horizons insoupçonnés…
Il se leva, ouvrit la porte et, au moment de pénétrer dans la pièce, s’arrêta et se retourna :
- Dude ! Dis-moi… Toi qui a une certaine expérience en filles pas idiotes avec ta petite blonde... Tu crois que, si j’invite celle qui me plait à un festival de cinéma européen, elle va me trouver crédible ?
- Je ne sais pas… La seule chose que je peux te dire, c’est… Arrête de boire ce genre de philtre d’enchantement… Ça te rend bizarre.
- Ah ! Et autre chose… Je crois qu’il est grand temps que je me préoccupe de mes études. Sais-tu à qui je dois m’adresser pour prendre des cours de rattrapage ?

Sans laisser à son ami plutôt interloqué le temps de lui répondre, il s’enferma dans sa chambre.

- Ouais ! C’est bien ce que je disais… Vraiment bizarre…

DEFI WW


SixOfNine  (04.11.2008 à 00:07)

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