HypnoFanfics

Please...wake me up!

Série : Veronica Mars
Création : 26.06.2009 à 23h06
Auteur : marshmalow 
Statut : Terminée

« Histoire individuelle. Se situe juste après So what  » marshmalow 

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Elle est là. Dans ses bras. Il respire son parfum, la douceur de ses lèvres. Il couvre de ses lèvres la moindre parcelle de peau accessible et pour la première fois depuis longtemps il sent l'air circuler dans ses poumons.

Leurs mots s'entrecoupent, leurs déclarations s'entrechoquent.

Alicia a rejoint son fils. Les militaires discutent entre entre eux activement. Autour d'eux ça s'agite, cris de joies, larmes de bonheur, il s'en fiche.

 Il ne voit qu'elle. Il n'a besoin que d'elle. Le temps s'écoule. On lui demande de se rasseoir. On évoque sa blessure. Il s'en moque.

 

Logan : Tu m'as manqué...

Veronica : Fallait venir me chercher à l'aéroport ! Ça fait des semaines que je t'attends

Logan : Désolé un léger contretemps.

Veronica : Commence pas à te chercher des excuses Echolls. Je suis très en colère.

 

Il essuie les larmes qui coulent sur ses joues

Une voix à coté d'eux

 

Wallace : Et moi ? rien ? même pas un content de te voir ?

 

Il relâche son étreinte très légèrement. La laisse se diriger vers Wallace tout en gardant un contact physique. Nécessité vitale.

Elle se dégage pourtant. Tout en douceur et serre le jeune basketteur dans ses bras. Renouveau de sanglots. Elle a eu peur il le sait. Autant pour l'un que pour l'autre. Son univers est trop fragile. Toucher à l'une des fondations c'est la mettre en péril.

 

Il sourit à Ally perdue au milieu de sa propre famille.. Il ne sait pas encore ce qui découlera de tout cela mais il est conscient de la force du lien qui les unit.

Il y a des épreuves qui marquent une vie. Leur séjour africain appartient à cette catégorie. Ils en reparleront, plus tard quand le quotidien aura repris sa place, quand l'émotion sera retombée.

 

Devant tous ses élans d'affection il se sent saisi d'une pointe de nostalgie.

Et lui... qui pour l'attendre ?

Une seule personne...

Non

Trois

Une autre tête blonde vient de surgir au bout du couloir, s'énerve contre la sécurité, tente de faire du charme à l'hôtesse, l'aperçoit, saute une barrière et court jusqu'à lui. S'arrête quelques instants dans une pudeur masculine dont il se débarrasse aussi vite pour le prendre dans ses bras.

 

Dick : Tu m'as fichu une de ces trouilles Mec ! j'ai cru que t'allais jamais revenir et qu'il faudrait garder ta petite peste blonde à vie, chez nous !

 

Elle le frappe, il attrape sa main la garde quelques instants bien à l'abri dans la sienne. Echange de regards. Complicité palpable 

Logan les regarde surpris. Il y a des choses qui lui échappe. Mac s'écarte de Wallace, les yeux humides et s'approche de lui tout en timidité.

 

Il sent les larmes le gagner à son tour...

Une vraie famille ?

Peu lui importe en vrai, il a choisi son propre clan.

 


marshmalow  (04.09.2009 à 07:21)

Cafétéria de Hearst.

 

Une scène de vie tellement banale.

Des étudiants.

Des rires, des voix qui portent. Des mots qui chuchotent.

Un couple épanoui.

Une fille en décalage qui se perd dans cette vision trop idyllique. A laquelle elle n'appartient pas. A laquelle elle n'appartient plus

 

Il l'observeregarder Logan, dévorer Veronica des yeux.

Chaîne sans fin. Histoire banale.

Ils font tous les deux partie des dommages collatéraux.

Individu ordinaire ayant cru l'espace d'un instant pouvoir tenir une place dans cette grande mais si magnifique mascarade.

Il pose son plateau, s'assoit.

Elle ne l'a pas vu venir, sursaute. Essaie de lui sourire, gênée d'être prise en flagrant délit.

 

Parker : Bonjour Piz

Piz : Ca va toi ?

Parker : Bien sûr. Toujours.

Elle baisse la tête. Elle souffre. Il sait. Il comprend. Les revoir tous les deux dans leur bulle, à l'abri de tout, leurs doigts entremêlés comme une évidence, est douloureux.

Les derniers événements les ont même privés tous les deux de leur droit de rancœur.

Il est mal venu de haïr des gens qui ont frôlé la mort de si peu.

Typiquement Mars/Echolls ça de se débrouiller pour qu'on ne puisse pas leur en vouloir.

 

Piz : Pas avec moi d'accord ? Je te rappelle que l'on est dans le même bateau toi et moi.

Parker : Et j'ai définitivement le mal de mer.

Piz : Faut dire que leur océan est légèrement houleux.

Parker : Ca te dit un café ailleurs ? Sur la terre ferme ? Là où on ne sera pas passagers clandestins ?

 

Il acquiesce. Attrape sa veste et ne peux s'empêcher de jeter un dernier coup d'œil à ses mèches blondes, à ses yeux bleus qui pétillent, à cet air insolent qu'elle arbore.

Il y a cru, mais les voir ensemble lui renvoie l'étendue de son erreur.

 

Il y a des fatalités dans la vie contre lesquelles on ne peut rien.

La leur est la plus criante qu'il ait eu à constater.

Il regrette juste de s'être laissé prendre au piège.

 

Il sort de ce lieu. Tourner la page. Aller de l'avant.


marshmalow  (07.09.2009 à 10:57)

PLAGE DE NEPTUNE

 

Une scène de bonheur volé.

Des surfeurs.

Des rires, des voix qui portent. Des mots qui chuchotent.

Un groupe d'amis.

Une fille en décalage qui se perd dans cette vision idyllique. A laquelle elle appartient.

Qu'elle fixe au travers de son objectif.

 

Elle l'observe regarder Ally dévorer les vagues.

Dans l'eau le sujet d'étude saute, nage, rit. Souvent elle se retourne. Toujours elle lui rend le même regard si plein de promesses, si plein d'amour.

Il sourit. Il a encore fréquemment les yeux voilés, les mains tremblantes et elle sait que son sommeil n'est pas serein, qu'un rien, une simple odeur, un bruit peuvent le renvoyer là bas.

Pour cela entre autre que pour l'une des rares fois de sa vie elle a baissé les bras. Se pliant aux ordres de monsieur en costumes noirs " Pour la sécurité de tous, laissez nous régler cette histoire."

Elle brûle de savoir mais ne prendra pas le risque que ça tourne à nouveau mal. Plus tard peut être. Pour le moment elle a atteint une de ses limites en terme de peur.

Elle s'assoit.

Il ne l'a pas vu venir. Sursaute. Aperçoit l'appareil photo. S'étonne.

 

Wallace : Depuis quand il te sert à prendre en photo des clichés communs.

Veronica : Communs ? Toi amoureux, Mac dans les bras de Dick, une fille qui a passé des semaines avec Logan et que je n'ai pas envie d'étriper...Tu trouves ça commun ?

Wallace : Vrai... limite trop beau pour être vrai.

Veronica : Pourtant ça l'est. N'aie pas peur d'ouvrir les yeux. Je te promets que c'est réel.

Wallace : Eh ! Depuis quand tu as rejoint le club des philosophes optimistes ?

Veronica : Depuis qu'on m'a rendu deux des hommes de ma vie, entiers et vivants.

Wallace : A l'intérieur ton côté guimauve miss marshmallow ! Si tu commences à exprimer tes sentiments j'ai peur que le monde arrête de tourner rond.

Veronica : T'inquiète ça ne durera pas ! Tranquille ne sera jamais le mot d'ordre.

 

Silence apaisant...

 

Doucement il attrape sa main et la serre. Il a besoin de leur présence. De les toucher. De les sentir. Elle par-dessus tout. Là-bas il s'était promis de lui dire clairement ce qu'il ressentait.

Toutes ces phrases qu'il a retenues si longtemps en accord avec son fonctionnement à elle consistant à tout tourner en dérision. Mais il s'est vite rendu compte en plongeant ses yeux dans les siens à l'aéroport de l'inutilité de la démarche.

Il l'aime aussi fort que c'est possible dans une vraie amitié. Elle est une partie de lui, sa sœur, sa meilleure amie. Quoi qu'il se passe, quelques soient les coups qu'ils prendront ça ne changera pas. Et les mots ne pourront jamais exprimer tout ça.

Pourtant elle se penche vers lui.

 

Veronica : Moi aussi.

 

Deux mots. Pas plus. Mais tellement chargés de sens. Après tout pourquoi vouloir faire des discours quand l'autre lit en vous aussi clairement.

 

Il redirige ses yeux vers l'océan. Vers sa douce.

Ally s'approche de lui, toute ruisselante, toute bronzée... si belle.

 

Il y a des bonheurs dans la vie contre lesquels on ne peut rien.

Leur rencontre en est la plus belle des preuves.

Il est juste heureux de s'être laissé prendre au piège.

 

Il pose ses lèvres sur les siennes. L'Afrique s'éloigne. Tourner la page. Aller de l'avant.


marshmalow  (09.09.2009 à 07:45)

NEPTUNE GRAND HOTEL

 

Une scène quotidienne

Des étudiants fatigués.

Des rires, des voix qui portent. Des mots qui chuchotent.

Une famille ?

Un jeune homme en décalage qui se perd dans cette vision idyllique. A laquelle il appartient.

Qu'il a cru perdre.

 

Il l'observe, regarder Mac rire aux éclats.

Assise sur le canapé, la jeune informaticienne est en grande conversation avec Ally et Veronica. Peu importe le sujet ça déblatère à tout va. Trois caractères. Complémentarité parfaite.

Il décapsule deux bières, lui en tend une.

L'autre ne l'a pas vu approcher, sursaute. Attrape sa bouteille, sourit.

 

Dick : Deux brunes, une blonde ! Le bonheur parfait

Logan : Avise-toi de toucher à une seule de ses boucles et je t'assassine sur place !

Dick : Je te rappelle que tu es handicapé mec alors si tu crois me faire peur !

Logan : Certes.. mais je me suis aussi entraîné pendant mes " vacances "

 

Dick se retourne, le fixe de tout son bleu. Voile d'hésitation.

Il se pose des milliers de questions. Il le sent différent depuis qu'il est rentré. C'est toujours le même mais en plus mature. Comme si tous les événements vécus au cours de ses 4 dernières années avaient décidé de se cristalliser d'un coup. Il n'arrive pas à imaginer ce par quoi il a dû passer, tous les détails de leur fameuse nuit de sauvetage. Il sent comme un lien entre Wallace et lui, quelque chose qui lui échappe. Il sait que sans le jeune basketteur il ne serait pas parmi eux, que c'est lui qui a fait demi-tour pour le récupérer mais les contours de l'histoire restent flous. Malgré ça il perdure en lui comme une pointe de jalousie. De ne pas avoir été ce sauveteur. Sentiment absurde et déplacé il le sait mais il n'y peut rien. 

Il hésite, se lance.

 

Dick : Tu me raconteras un jour ce qui c'est vraiment passé là-bas ?

Logan : Promis.

Rassuré, il retourne à la contemplation de sa brune préférée. Encore surpris qu'elle puisse l'avoir choisi. Qu'aurait-il fait sans elle au cours de cette attente ?

 

Logan : Dick ? Merci

Il s'étonne, interroge en silence.

Logan : Je veux dire pour Veronica... Elle m'a dit que sans toi elle n'aurait pas tenu le choc.

Dick : Elle est incroyable ta copine, tu le sais ça ? La laisse jamais partir mec !

 

Logan recrache la gorgée de bière qu'il s'apprêtait à avaler et dévisage son ami de toujours.

Du fond du canapé une voix retentit.

 

V: Echolls... c'est de la jambe dont tu souffres ! Tu es censé encore savoir boire !

 

Dick lui frappe dans le dos, s'éloigne vers Mac, tape dans la main de la jeune détective.

Lui ne bouge pas, les regarde, la regarde.

 

Il y a des chances dans la vie qu'il ne faut pas renier.

Leur présence à ses côtés en est l'incarnation.

Il ne se laissera plus jamais ses doutes le prendre au piège.

 

Il garde les yeux de Veronica dans les siens. Le passé s'éloigne. Tourner la page. Aller de l'avant.


marshmalow  (14.09.2009 à 07:21)

AEROPORT DE SAN FRANCISCO

Une scène ordinaire

Des voyageurs pressés.

Des rires, des voix qui portent. Des mots qui chuchotent.

Une séparation sur fond de promesses à tenir

Un homme en décalage qui se perd dans cette vision si rassurante. A laquelle il appartient.

Qu'il ne perdra plus.

 

Il la regarde, dévisager Sorokin enregistrer ses bagages.

Elle est tendue physiquement, moralement. Il le sent. Ils sont venus raccompagnés Ally. Moment de complicité teinté de nostalgie.

La présence ennemie est donc des plus mal venue. De toutes les personnes qu'elle s'attendait à voir aujourd'hui il ne figurait pas sur la liste.

Il perçoit son trouble quand le jeune homme se tourne vers elle avant d'embarquer. La haine dans cet échange furtif.

Il peut presque palper son envie de l'affronter, son désir de ne pas provoquer de conflit. Sa peur de les plonger dans un danger qu'elle ne peut mesurer.

Depuis le retour de Wallace et Logan il l'a vu lacher prise plus qu'à l'accoutumé. Renoncer de chercher plus loin que les explications  fournies plus que sporadiquement par le gouvernement. " Vos amis sont entier. Le reste nous regarde".

La page n'est pas tourné mais elle a accepté de ranger le livre pour un moment. Juste pour profiter.

D'où cette fatalité dans ses yeux. Cette étincelle qui s'éteint. Tout était trop beau.

Il pose une main sur son épaule. Elle ne l'a pas senti approché, sursaute.

 

Keith : Ca va Honey ? Un souci ?

 

Comme il s'y attend elle secoue la tête, sourit comme elle sait si bien le faire pour le tenir à l'écart. Il s'attend à la voir embrayer sur un autre sujet, tenter une pirouette, une boutade. Ca ne rate pas.

 

Veronica : Je réfléchissais à une question fondamentale ! Pourquoi la musique dans les aéroports est-elle aussi déprimante. Est-ce pour aider les gens à faire semblant d'être malheureux ?

 

Il est presque déçu de gagner son pari personnel. Il aimerait tellement qu'elle se confie à lui. Contrairement à d'habitude, il décide de ne pas la laisser es'échapper.

 

Keith : Loin.

Veronica : Quoi ?

Keith : Tu te demandes où il va... je te réponds loin.

 

Tentative de négation.

 

Veronica : De qui tu parles ?

Keith : De Sorokin, Gory de son prénom, responsable de la vidéo ayant provoqué le passage à tabac de Piz par ton cher et tendre. De ce jeune homme qui a mis implicitement un contrat sur la tête de tes surfeurs préférés. D'un des membres actifs du château organisation secrète à la tête de laquelle on retrouve Monsieur Kane,

 

Elle écarquille les yeux.

 

Veronica : Comment... ?

Keith : Comment je sais qu'il s'en va ou comment je sais qui il est?

 

Elle hésite.

 

Veronica : Les deux.

Keith : A la première je répondrais par un simple prénom : Duncan.

 

Là il a marqué un point. Elle ne saisit plus rien. Il vient de réussir à l'étonner. Elle se reprend vite.

 

Veronica : Bien... tu as gagné ! Serait-ce possible monsieur le détective d'éclairer de manière explicite les questions de votre fille ?

Keith : Mais avec le plus grand des plaisirs. Même si j'aurais bien profité encore un instant de ce moment jubilatoire... Mais je vais me montrer magnanime.

 

Il sourit devant sa moue boudeuse, devant ses dents serrées. Fichu caractère.

 

Keith : Jack a le même point faible que moi. Son attachement à son fils.

Veronica : Tu aimes Duncan ? Mon Dieu Alicia est au courant ?

 

Elle ne peut pas s'empêcher. Il faut qu'elle reprenne le dessus. L'ironie comme seule contenance.

 

Keith : Tu veux la suite de l'histoire ou tu continues ton numéro?

Veronica : Pardon... Poursuis.

Keith : L'amour filial, il n'y a rien de plus annihilant. Alors sournoisement je m'en suis servi. J'ai conclu un marché avec les Kane. L'assurance que leur petite frappe vous laisserait tranquille, contre mon silence sur le lieu de villégiature de leur héritier. Il parait que l'information intéresse toujours beaucoup certaines personnes

Veronica : Mais tu ne sais même pas où est Duncan ?

Keith : Vrai... mais eux l'ignorent.

 

Il lit un mélange d'incrédulité et de fierté dans ses yeux. Elle prend son bras, pose sa tête sur son épaule. Un merci discret mais tellement habité. Il vient d'enlever d'au-dessus de sa tête son épée de Damoclès.

 

Elle s'apprête à retourner auprès de son meilleur ami. S'arrête, le fixe.

 

Veronica : Et à la deuxième question qu'elle est la réponse.

Keith: Ah... celle là... Juste que contrairement aux apparences, je suis au courant de bien plus d'un quart de tes activités jeune fille.

 

Il s'éloigne. Attrape la main d'Alicia, jette un coup d'œil à sa fille en coin.

Bouffée d'amour..

 

Il y a trop de choses dans sa vie qu'il a ratées.

Seul son bien être est important.

Il ne se laissera plus jamais personne la prendre au piège

 

Sourire à l'avenir, tourner la page, aller de l'avant


marshmalow  (17.09.2009 à 13:20)

CAMPUS DE HEARST

 

Une scène ordinaire

Des jeunes personnes.

Des rires, des voix qui portent. Des mots qui chuchotent.

Un groupe tellement uni

 

Un homme en décalage qui se perd dans cette vision si idyllique. A laquelle il n'appartient pas.

Dont il ignore tout.

Il les regarde, les observe vivre.

Il pourrait les mettre dans des cases, les stigmatiser de suite. Beaux, certainement riches, heureux, insouciants, futiles. Des épargnés de la vie.

Constat facile.

 

Mais l'envie lui en manque. Il sait par expérience que les apparences sont souvent trompeuses.

Il ne sait rien de leur passé, de leur présent, de leur futur.

 

Il ne connaît pas les raisons pour lequel le grand brun boite légèrement, pour lesquelles il ne desserre pas son bras de la taille de la jolie blonde dans ses bras ni celles qui la pousse à se blottir contre lui.

Il est étranger à ce qui motive le rire de la petite brune qui chahute avec un stéréotype du surfeur.

Il ne peut que supposer pourquoi malgré son grand sourire, il y a de la nostalgie dans le regard du jeune afro américain assis avec eux...

Par contre il ne peut passer à côté de la force du lien qui les unit. Ca transpire dans chacun de leurs gestes, dans ce flot de paroles tantôt tendres, tantôt moqueuses. Dans cette façon qu'ils ont de poser leur regard les uns sur les autres.

Il se surprend à les envier, à avoir envie de se poser à côté d'eux, d'investir leur intimité, d'être l'un deux.

Pourtant il sent que ça ne doit pas être de tout repos. Que malgré le calme apparent les bosses ne sont pas loin.

Il poursuit son chemin, ne peut empêcher de sourire à la vue de l'inscription sur le T-shirt du blond.

Impression que tout vient d'être résumé.

 

Il y a trop de moments dans la vie à garder.

Ne jamais permettre à la peur de les étouffer.

Peut importe si un jour le piège se referme

Garder cette phrase en tête, laisser ses angoisses derrière soi, aller de l'avant.

 

La vie c'est comme le surf ! Défie les vagues, plonge dans le noir, reste debout tu verras la lumière ! Go on Dude

 


marshmalow  (24.09.2009 à 23:33)

FIN

 

D'une grande aventure... Un grand merci à mon trio préféré,à tout ceux qui ont lu... A NEMESIS pour sa touche si particulière... A la dream Team ( de BAB' à LIL' en passant par six...) pour la vie de ce site de cette section

 


marshmalow  (24.09.2009 à 23:37)

Ce qui va suivre n'est pas une fin parrallèle. C'est juste un écrit qui a vu le jour suite à un défi posé...

Alors faut le lire comme telle... comme une simple plaisanterie... A moins que tout cela ne soit vrai.

Reprenons l'histoire vous le voulez bien, à l'instant précis où Les militaires tapent à la porte du NGH

 

Elle avance dans l’allée le cœur battant.

Robe blanche… couronnes de fleurs… enfants courant partout… marche nuptiale

Rien ne manque.

Cliché total.

A un détail près… son ventre arrondi d’une grossesse de quelques mois.

Bonheur parfait… Ou presque.

Elle ne comprend pas la déception dans les yeux de son père, Oui elle est jeune mais n’est-ce pas normal d’avoir envie de se sentir vivante après tout… ça ?

 

Encore quelques pas et elle mettra sa main dans la sienne. Ils uniront leur nom. Elle abandonnera MARS pour devenir une moitié de lui.

 

Elle évite de regarder les bancs autour. Deux places vides. Deux douleurs.

WALLACE d’abord et DICK ensuite.

Elle n’arrive toujours pas accepter la mort du premier et surtout dans de telles circonstances. Pour le surfeur elle ne sait pas… Elle avait pensé qu’après toutes les épreuves qu’ils avaient traversées il serait heureux pour elle… pour eux. De toute évidence elle s’est trompée.

 

Il faut qu’elle évite d’y penser… sinon les larmes entacheront son magnifique maquillage.

 

Il la regarde s’approcher hésitant… tremblant.

Il a tellement lutté pour l’avoir, il a cru la perdre, failli mourir, fait couler le sang. Avec comme unique objectif la réalisation d’un rêve, celui-ci. La voir avancer dans une robe d’une blancheur virginale. Résultat, il est terrorisé à l’idée que tout échoue maintenant.

 

Il accroche ses yeux sur ce doux visage qu’il aime tant.

 

Au travers de son sourire il voit perler quelques larmes. Entre bonheur et tristesse, il sait que son cœur balance. Mais il sait qu’il est à lui sans aucun doute.

Jamais elle ne s’est donnée à lui comme au cours de ces derniers mois. Jamais il ne l’a vue s’abandonner avec autant d’aisance. Et ce petit bout d’eux en train de grandir en elle…

La roue a tourné c’est certain. Cette famille, la leur, se nourrira d’amour.

Le prêtre s’adresse à lui. Son OUI retentit tellement fort que quelques éclats de rire se font entendre. Il s’en moque. Il veut que le monde entier sache à quel point il est heureux.

A son tour elle prononce le mot magique. Il sent ses joues s’humidifier, ne se fait pas prier pour embrasser la mariée.

Leur deux signatures en bas du registre

 

Monsieur et Madame STOSH PIZNARSKI.

Il n’en revient toujours pas.

Juste avant de descendre les marches elle se penche vers lui, murmure un « je t’aime » au creux de son oreille empreint d’une telle force qu’il se sent défaillir.

Il lève les yeux au ciel, même si il doute que ce dernier s’y trouve et lui adresse un clin d’œil narquois.

 

PVOFF : J’espère que tu nous vois ECHOLLS ! De tout mon cœur je l’espère !

 

Quand le flash du photographe fige leur nouvelle union, il saisit au passage la lueur carnassière de son regard

 

FLASH BACK

 

 Il avait vu les militaires pénétrer dans l’appartement… s’adresser à eux et prononcer cette phrase déterminante. Le signal qu’il attendait.

« Vos amis reviennent… nous vous conduisons jusqu’à eux »

 

Le sourire sur son visage. Ce trop plein d’amour… il avait failli vomir. Et le blond qui ne la quittait pas du regard…

 

A compter de ce moment-là le compte à rebours s’était mis en marche dans sa tête, impulsant à chacun de ses membres une action à mener, à chacun de ses neurones des décisions à prendre.

Il fallait qu’il aille plus vite qu’eux, qu’il parvienne à les devancer pour que tout cela n’ait pas été vain. Il se refuse à voir réduire à néant des mois de travail. Convaincre WALLACE de partir, assassiner le directeur, maquiller le tout ; se laisser quitter, la voir retomber dans les bras de son ennemi juré, manipuler WALLACE pour qu’il engage LOGAN, puis agir directement à KAMPALA.

 

L’avantage d’être transparent c’est que quand il avait décidé de quitter NEPTUNE pour l’été, personne n’avait pris acte de son départ. 

 

De la même façon que ce soir-là, quand il était parti de la suite personne n’avait semblé s’en rendre compte. Tous à leur joie misérable. Tous aussi mièvres. Même PARKER.

Comment peut-on être assez insipide pour préférer savoir l’homme que l’on aime vivant même si c’est avec une autre ?

Les demi-mesures n’ont jamais été sa tasse de thé. Ca lui avait d’ailleurs valu sa place dans l’armée.

 

Monsieur PIZNARSKI vous êtes trop incontrôlable.

 

Et dire qu’ils avaient pensé lui faire de la peine ! Il avait pris ça comme le plus beau des compliments.

Il n’obéissait à aucune règle, jamais. Son seul maître son arme, sa seule limite ? Aucune.

 

Mais il n’aimait pas penser à cette période. Toutes leurs inepties sur les séquelles des soldats de la guerre du golf lui tapaient sur le système. Psychodrame pour midinettes.

 

Après le 11 septembre il avait senti une colère sourde enfler en lui et il avait menti sur son âge pour rejoindre ceux qu’il considérait comme des héros. Départ pour l’Afghanistan

Déception suprême.

Si ça n’avait tenu qu’à lui le conflit aurait été réglé en moins de deux. Mais non, ils étaient tous là à tergiverser, à brandir le code de bonne conduite à la moindre capture. Pourtant il aurait suffi de laisser le plus récalcitrant des kamikazes avec lui quelques instants et il lui aurait délié la langue. Peu de personne ne résistait quand il employait la manière forte.

 

Psychologiquement instable à tendance sadique avaient décrété le staff médical avant de le muter en IRAK, loin du front, puis de le rapatrier définitivement aux EU.

 

Encore une tripotée d’empafés frileux. La guerre n’a jamais été une promenade de santé. Il faut donner de soi, plonger dedans corps et âme, sans sentiment. Un bon ennemi est un ennemi mort.

Lui avait ça en lui depuis tout petit.

A dix ans la simple odeur de l’essence lui évoquait celle du napalm et il s’imaginait dans un hélicoptère prêt à réduire à néant toute tentative de rébellion de ce petit peuple prêt à contrer leur GRANDE puissance.

Il détestait les hippies.

Faites l’amour pas la guerre. Connerie suprême. Il n’avait jamais voulu introduire les sentiments dans sa vie. Ne pas s’attacher. Jamais. Etre libre. Sans attache. Au combat il y avait toujours une prostituée pour combler ses pulsions ; aux EU les décorations sur sa veste et la balafre sur sa cuisse suffisaient à faire tomber les dernières barrières. Les filles aiment les héros.

Pourtant malgré cela il avait eu du mal à se réadapter à la vie civile. L’odeur de la peur lui manquait. Sentir dans les yeux de l’autre sa domination absolue n’avait pas de prix.

Puis le sang lui manquait. Indéniablement.

Pourtant pour faire plaisir à sa famille, à sa mère mourante il avait accepté d’essayer de se ranger et de reprendre ses études.

Il avait choisi NEPTUNE pour sa réputation sulfureuse et sa proximité avec le Mexique. En cas de manque extrême il pourrait toujours jouer les hommes de mains dans des guérillas opposant les cartels.

Puis il l’avait vue et tout avait basculé. Il avait perdu le contrôle. Stupidement il avait baissé sa garde et il était tombé amoureux.

Blonde, les yeux bleus et un caractère bien trempé, tout pour plaire à l’exception de l’autre BAD BOY de bas étage désespérément accroché à son bras.

Il avait donc décidé de biaiser. Manipulation mentale. Le jour ou l’autre ferait un faux pas alors il serait là. Compte tenu de son intelligence de toute évidence limitée il n’avait pas douté une seule seconde du fait qu’il allait trébucher et vite.

Ca n’avait d’ailleurs pas tardé. Il avait tendu la main et l’avait capturée sans qu’elle ne s’en rende compte.

Cependant force lui avait été de constater que si il la possédait son cœur comme son regard avaient encore trop souvent tendance à être pris par d’autres. Son colocataire qui sous ses côtés meilleur ami était trop présent à son gout et vers l’autre fils de riches toujours dans leur champ de vision.

Il avait donc minutieusement mis son plan en marche. Repris contact avec des soldats de sa trempe, promis son aide pour diverses causes plus ou moins discutables moralement.

 

En quittant le NEPTUNE Grand hôtel il avait été récupéré par ses frères d’armes et ils avaient foncé vers PARIS. L’avion devait y faire escale. C’est là qu’il devait les intercepter.

 

Tout s’était déroulé sans encombre et à l’instant même où ils avaient quitté la terre ferme il avait ressenti l’accélération de son rythme cardiaque et le gout métallique de la vengeance emplir sa bouche.

 

Atterrissage en douceur. Transfert des passagers dans deux avions différents sous prétexte de surveillance médicale appuyée.

Il avait assisté à tout ça sans un seul mot. Juste échangé un signe de tête avec l’autre pilote. Le scénario était rodé depuis le début. Avant même qu’il n’ait accompli sa propre mission la légende faisant de lui un héros serait déjà en place.

 

En prenant les commandes il n’avait pu s’empêcher de sourire. Ils étaient à sa merci tous les trois. Le soit-disant meilleur ami, l’amour de sa vie et une petite brunette assez jolie à regarder. Il n’était d’ailleurs pas exclu qu’il ne se serve d’elle comme arme psychologique. 

 

Leur tête quand il avait posé l’appareil dans un champ, quand ils l’avaient reconnu, quand leurs yeux avaient posé toutes leurs questions en silence puis quand ils avaient compris qu’ils ne s’en sortiraient pas.

 

La peur dans les yeux du basketteur quand son pied avait fait éclater l’arcade d’ALLY. Et cette phrase cynique qui les avait fait pâlir.

 

« Vas-y… hurle. En larmes et en sang c’est toujours comme ça que je préfère les filles. Fais un seul mouvement WALLACE et je te jure qu’elle y passe devant tes yeux. »

 

Toujours prendre à froid l’adversaire, le déstabiliser. Toucher à ses fondamentaux.

 

Il avait commencé par les attacher tous les deux avant de reprendre son duel avorté avec le surfeur.

Sauf que cette fois il n’avait pas à prétendre être faible sans défense et en moins de cinq minutes il l’avait rendu incapable de bouger la moindre parcelle de son corps.

 

Il aurait aimé jouir du spectacle en toute quiétude mais les pleurs de la brunette l’en avait empêché. Il avait donc changé de cible et commencé un chantage affreux.

 

« Quel membre es-tu prêt à sacrifier colocataire de mon cœur pour que je ne torture pas ta douce ? »

 

Il l’avait vu essayer de relever la tête et il avait sectionné un doigt. A froid. Sans préavis.

Le cri de douleur avait amplifié cette sensation de bien-être en lui.

LOGAN avait tenté de se relever. Il avait abattu le plat de sa main sur ses vertèbres.

 

« A l’instant précis, sache que si tu t’en sors tu seras dans l’incapacité de marcher.»

 

Tout en douceur, il avait commencé à leur expliquer pourquoi il agissait ainsi. Sa haine envers eux, sa jalousie latente, son amour pour la jeune détective et enfin la version officielle qui était en train d’être donnée aux familles.

Lui le héros de guerre rappelé d’urgence pour intervenir, pour contrer les troubles psychologiques si héréditaires de MONSIEUR ECHOLLS.

 

« Dans la version qui sera servie à VERONICA mon cher.., j’aurais tenté de vous sauver d’un de tes actes inconséquents les ayant mis en danger tous les deux. Je serais celui grâce à qui son meilleur ami ne sera certes pas vivant mais aura évité de souffrir.»

 

Pour ajouter foi à ses paroles, il avait planté son couteau dans le pied de WALLACE et était remonté d’un coup sec déchirant la chair. L’autre avait perdu connaissance et il avait jubilé.

 

Pendant plus d’une heure il avait continué ainsi alternant récit de sa future gloire et torture.

Puis il s’était lassé. Comme tous les jeux celui-ci avait fini par l’ennuyer. Il commença par mettre fin aux souffrances d’ALLY, puis de WALLACE.

Quand il avait enfoncé son couteau dans le ventre de LOGAN il ne l’avait pas quitté des yeux.

 

« Ne jamais sous-estimer ses adversaires jeune homme, dommage que tu ne puisses pas profiter de la leçon… »

 

Il était resté encore quelques instants à le regarder agoniser et quand enfin il avait poussé son dernier râle il avait éclaté de rire.

Mû par un rituel qu’il ne se lassait jamais d’accomplir, il avait sectionné une main à chacune des trois victimes et les avait placées dans une boite. Trophée de guerre.

Il avait remarqué avec énervement que même inerte celle de LOGAN conservait une posture narquoise. Il l’avait posée à terre et sauté dessus pour broyer tous les doigts.

Puis il s’était dirigé vers la radio de l’appareil et avait lançé son appel.

Juste avant que ses camarades de combat n’arrivent, il s’était tiré une balle dans la jambe gauche. Plus crédible et puis ça lui vaudrait une nouvelle cicatrice.

A son retour il avait pris l’air contrit de l’homme attristé de ne pas avoir pu sauver WALLACE, il avait raconté dans les moindres détails ce qui s’était passé, pourquoi il était en mission de protection ce soir-là à ses cotés, l’attaque imprévue des rebelles ougandais, le coup de folie de LOGAN… Plus il minimisait ses exploits et plus il voyait grandir l’admiration dans leurs yeux. Seul le surfeur blond avait osé mettre en doute sa version. Mais les autres n’avaient pas suivi.

Un soir passé à la consoler, elle avait succombé à son charme et tout s’était enchaîné.

 

FIN DU FLASH BACK 

Il sent dans le regard du père de sa femme comme une lueur de mécontentement, comme chez DICK. Comme si tout cela était trop ou plutôt pas assez net.

Il s’en moque, elle est à lui.

Et ses contacts sont assez nombreux pour les faire disparaître du paysage si jamais ils s’avisaient de mettre en péril sa nouvelle vie…

 

Monsieur et Madame STOSH PIZNARSKI…

Elle le regarde, les yeux plein d’une fierté nouvelle…

Il est heureux !

 


marshmalow  (25.09.2009 à 14:14)

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