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Série : Bones
Création : 02.04.2008 à 19h08
Auteur : Danton
Statut : Abandonnée
« Ceci est une fan fic , comme beaucoup d'autres fic,qui essaie d'établir une relation Bones/Booth » Danton
Cette fanfic compte déjà 5 paragraphes
C’était de jeunes adolescents qui avaient découverts le les restes. Ils étaient alors en pleine partie de paint-ball sur les terres de la confrérie, lorsque le plus âgé d’entre avait aperçu les ossements. Il avait alors arrêté ce simulacre de guerre et avait composé le fameux 911. Le shérif local avait été dépêché sur place. Il avait alors aperçu un homme appartenant à la confrérie sermonnait les jeunes sur leur irrespect de la propriété privée. Cela fit sourire le shérif, qui lui-même avait clandestinement joué sur ces terres qui avaient la particularité d’être boisée et totalement déserte. Il s’interposa entre l’homme et les adolescents.
Lorsque qu’il vit les ossements, il sut que cela dépassé sa juridiction et appela le FBI pour leur reléguer l’affaire.
Cela faisait maintenant une heure que le docteur Tempérance Brennan était accroupie près des restes, son dictaphone dans une main, préparant les réponses qu’elle allait donner à son collègue, l’agent spécial Booth, qui justement, arrivait. Elle n’eut que le temps de se redresser, et d’étirer ses jambes meurtries par son ancienne position plutôt inconfortable, que déjà les questions fusaient :
« Qu’avez-vous appris de ce tas d’os, Bones ?
_ Pas grand-chose, malheureusement.
_ Comment ça pas grand-chose ? Vous avez passée une heure à côté de ce cadavre ?, puis il ajouta soucieusement :
_ Vous vous sentez mal ?
_ Non je vais très bien. C’est simplement que ce squelette est en polyéthylène condensé, vous savez la base matérielle des maquettistes.
_ Vous avez mis tout ce temps pour me dire que c’était une fausse alerte ?
_ Ce n’est pas vraiment une fausse alerte, le cadavre ici présent est faux, mais l’endroit où il a été placé a contenu un vrai cadavre. J’ai mis du temps à déterminer la date de cet échange.
_ Je récapitule… Une vraie dépouille a d’abord été placée ici, puis échangée avec un squelette en plastique. Oui mais pourquoi ?
_ Là, c’est votre travail, pas le mien. Envoyez quand même le « corps » au Jeffersonian, on pourra peut-être trouver un indice sur le tout premier cadavre. »
Les faux ossements avaient été apportés quelques heures plus tôt. Toute l’équipe était présente sur la plateforme afin de trouver soit des composants organiques pour le docteur Hodgins, des traces ADN ou des empreintes pour le docteur Saroyan ou encore un visage pour Angela. Quand à Zack et au docteur Brennan, ils examinaient les os en plastique sans vraiment savoir ce qu’ils cherchaient. C’est alors que Zack déclara :
« C’est la première fois que je travaille sur de faux ossements.
Et Angela répondit :
_ Leur seul avantage est qu’ils ne pourrissent pas. Au moins, ceux-là ne sentent pas mauvais, mais je préfère quand même les vrais, on est sur de trouver un visage dessus. Avec celui-ci, ça était un vrai désastre. Tous les critères sont banals, je n’ai aucun moyen de mettre un visage sur le faux cadavre. » Et pour appuyer ses dires, elle montra le portrait qu’elle avait dessiner, un parfait Mr Tout le monde.
Ce fut le docteur Brennan qui leur coupa la parole :
« Zack, passe moi une pince, s’il te plaît. Il y a comme quelque chose de logé dans sa molaire inférieur droite.
Sur ce, Booth arriva :
« Quoi de neuf Bones ?
Mais le docteur Brennan continuait de fouiller dans la dentition du squelette, et Booth s’approcha :
_ Vous avez trouvé quelque chose ?
_ Je ne sais pas encore. Ça ressemble à une micro capsule cachée sous une fausse dent.
_ Une micro capsule cachée sous une fausse dent de faux squelette ? répondit Booth d’un air interdit.
_ Oui, sûrement un indice pour un futur jeu de piste… Ah, ça y est je l’ai », en brandissement presque triomphalement sa pince qui contenait une sorte bille de verre remplit d’un liquide transparent.
Elle donna la capsule à Jack afin qu’il analyse son contenu.
Hodgins étai à présent dans son laboratoire et s’apprêtait à examiner l’étrange sphère, quand le docteur Brennan et Booth, qui se trouvaient derrière lui entamaient une discussion. Il ne leur prêta aucune attention car il devait se concentrer sur le protocole qui régissait chaque examen d’une, peut-être, future pièce à conviction. Il s’approcha du spectromètre de masse et le mit en marche. Il attrapa trois paires de lunettes de protection, en mit une sur son nez, et lança adroitement les deux autres au docteur Brennan et à Booth dont la conversation commençait à dégénérer en débat sur la religion. Booth était de très mauvaise humeur (Brennan venait juste de lui prouver, avec ses propres arguments, qu’il avait tort) et il avait décidé de s’éloigner de l’énorme machine, le spectromachinchose, afin d’aller ruminer seul dans son coin ses convictions religieuses. Le docteur Brennan, quant à elle, s’était approchait de l’appareil d‘analyse, impatiente de connaître les résultats. Hodgins s’apprêtait à débuter l’analyse, lorsqu’un livreur vint les interrompre, il avait un colis au nom du docteur Hodings. Les formalités remplies, Hodgins posa avec mauvaise humeur (il ne supportait pas qu’on écorche son nom) le paquet sur la table où était posée la capsule. Cette dernière explosa sous le choc que provoqua l’impact du colis. L’enrobage de verre étant très fin, des vibrations trop fortes l’avait fait s’éclaté, libérant ainsi son contenu, une fine poudre blanche. Connaissant le protocole ces cas-là, Booth et Hodgins se précipitèrent pour enfiler les masques qui les protégeraient de substances toxiques ou nocives. Ce fut Booth, qui le premier, remarqua l’absence de Brennan. Il laissa échapper un cri étouffé en la voyant, et se précipita près d’elle. Tout on corps était agité de spasmes, son visage marqué par la souffrance et elle peinait à respirer. Pendant ce temps-là, Hodgins était au téléphone, appelant les secours. Quand il se retourna, il vit Booth qui enserrait délicatement le corps de Brennan, afin d’éviter qu’elle ne blesse en se convulsionnant et pour lui procurer un peu de réconfort. Il ne quitta cette position que pour lui prendre la main lorsque les secours arrivèrent.
Je suis vraiment désolée de ne pas pouvoir pu mettre la suite en ligne plus tôt mais mon ordinateur a eu quelques dératés donc voici la suite.
La première qu'elle ressentit en émergeant : Douleur.
La première chose qu'elle vit en se réveillant : Blanc.
Elle voulut replonger dans les profondeurs du sommeil, trop fatiguée pour vraiment trouver le courage d'ouvrir plus longtemps ses paupières. Elle se rendormit.
Booth l'avait veillée toute la nuit. Il ne l'avait pas quittée un seul instant. Il avait tiré un fauteuil près du lit et avait entamé sa veille silencieuse. Lorsque qu'il l'avait senti remuer, il s'était redressé. Il l'avait vu ouvrir les yeux, il avait recommencé à espérer.
Quelques heures plus tôt
« Vous êtes le coéquipier du Docteur Brennan ? Un médecin venait d'entrer.
_ Oui, agent spécial Seeley Booth, et par automatisme il sortit sa plaque et la lui la montra.
_ Bon, très bien. Je ne vous cache pas que son état est assez grave bien que pour l'instant stationnaire. Nous n'avons toujours pas identifié le poison que qu'elle a inhalé, et donc, pour le moment, nous ne savons quel antidote lui administrer. »
Le bilan du médecin, bien que peu réjouissant l'avait rassuré. Il avait alors commencé à la veiller.
Tour à tour, ils s'étaient succédés dans la chambre de l'hôpital. Ils avaient tous essayés de faire renoncer Booth à sa veille.
Camille Saroyan.
Zack Addy.
Jack Hodgins.
Angela Montenegro.
Tous avaient échoué.
Depuis qu'il l'avait senti remuer, il avait baissé sa garde.
Il dormait à présent, complètement avachi dans son fauteuil.
Un sourire bienheureux illuminait son visage.
Le soleil venait de se lever et éclairait la chambre d'hôpital.
Rayon de soleil.
Eclat de vie.
Elle ouvrit les yeux lorsque qu'elle senti le soleil sur son visage. Le seul élément dans cette chambre nue et blanche qui l'encourageait à ouvrir les yeux.
Ce qu'elle fit.
Et il va vous falloir maintenant attendre la rentrée scolaire car je pars en vacances pour deux mois, sans ordinateur. Alors soyez patients et bonne lecture !
Et encore merci aux commentaires qui me font vraiment plaisir et qui m'encouragent énormément à continuer.