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Série : Torchwood
Création : 29.12.2009 à 17h04
Auteur : Space
Statut : Terminée
« Voilà, ma première véritable fic que je partage avec vous car je n'ai jamais eu le courage de montrer ce que j'écris depuis longtemps. J'espère avoir vos avis quels qu'ils soient. » Space
Cette fanfic compte déjà 1 paragraphes
Ce matin là ,tout était tranquille dans le Hub lorsque Jack se réveilla. Il était rare qu’Ianto soit levé avant lui, ce qui était le cas aujourd’hui. Il se trouvait dans le bureau en train de terminer quelques dossiers. Jack alla le rejoindre et s’approchant du fauteuil, contourna le bureau pour le prendre dans ses bras. Ianto appuya tendrement son dos contre le torse de Jack. Ce dernier en profita pour l’embrasser tendrement sur la nuque tout en respirant son odeur et lui murmura :
- Bonjour mon cœur.
- Bonjour dit Ianto en se retournant et en l’embrassant doucement dans le cou.
- Merci pour cette nuit murmura Jack en se remémorant la douceur et la tendresse de Ianto au cour de leurs ébats.
Jack fondait littéralement devant la douceur de Ianto. Ses caresses, ses regards, ses baisers étaient tous plus doux les uns que les autres. Dans ses moments, Jack était prêt à tout pour son amant. Il pouvait lui faire l’amour autant de fois que Ianto le souhaitait et comme il le souhaitait.
Lorsque Ianto se collait à lui durant la nuit, souvent Jack lui demandait dans un murmure :
- Que veux-tu ? Dis-moi Ian ?
Et Ianto se laissait aller à ses désirs même les plus fous car il faisait une entière confiance à Jack.
Depuis la découverte des cannibales, Ianto avait besoin d’énormément de tendresse et de douceur. Lui et Tosh ne s’étaient pas encore remis de ce traumatisme; et cela Jack l’avait compris. Il était là pour SON Ianto. Cela lui avait permis de découvrir une autre face du jeune gallois mais aussi des sentiments nouveaux en lui qu’il n’avait jamais ressenti pour quelqu’un auparavant.
Ianto se leva du fauteuil ,se retourna et se laissa aller dans les bras de son capitaine. Il glissa ses mains sous le tee-shirt de Jack et enroula ses bras autour de sa taille. Il lui caressa doucement les reins. Jack eut un gémissement de plaisir et défit les premiers boutons de la chemise de Ianto. Il dégagea les épaules de la chemise afin de pouvoir les embrasser tendrement puis avec de plus en plus de passion. Ses lèvres remontèrent doucement dans le cou du jeune gallois puis s’approchèrent délicatement de sa bouche offerte. Leurs souffles chauds étaient à quelques centimètres. Ianto attendait les yeux fermés.
Le baiser tant attendu ne venant pas, il finit par ouvrir les yeux et se retrouva plongé dans deux yeux bleus remplis d’amour et de désir. Tout en le regardant bien en face, Jack l’embrassa passionnément.
- Je t’aime mon cœur dit-il dans un souffle. Je serai toujours là pour toi, mon amour.
Jack ne se reconnaissait plus, Ianto ne le reconnaissait plus, mais il adorait le Jack qu’il découvrait. Main dans la main, ils décidèrent d’aller prendre leur café.
Dans la cuisine du Hub, tout était bon pour échanger un baiser, une caresse…
Jack savait que dans quelques instants l’alarme pouvait se déclencher, qu’il pouvait être envoyé à l’extérieur. Ianto n’était pas encore en état de l’accompagner. Il était encore sous le choc de la dernière mission. S’il sortait, Jack savait qu’il lui faudrait probablement attendre plusieurs heures voir jusqu’au soir avant de revoir Ianto, de pouvoir le serrer dans ses bras. Cette seule pensée lui donnait envie de l’enlacer pour ne plus le lâcher. Il avait besoin de sentir sa peau, son souffle, de voir ses doux yeux bleus, son petit sourire qui ne s’adressait qu’à lui et qui le faisait toujours craquer.
Petit à petit toute l’équipe arriva. Ianto aurait souhaité que rien ne change malgré la présence des autres, mais ce n’était pas le cas. Jack était plus discret, plus professionnel, même si ses yeux se faisaient très doux lorsqu’il s’adressait à Ianto.
Cela faisait environ deux heures que chacun vaquait à ses occupations lorsque l’alarme de la faille retentit. Tosh signala immédiatement la présence d’un Weevil à quelques pâtés de maisons de là. Jack et Owen décidèrent de s’y rendre. Mais le weevil se déplaçait très vite et ils le perdirent rapidement. Après quelques recherches supplémentaires infructueuses, ils décidèrent de rentrer à la base. Mais le weevil était là et les surveillait de près : la proie était devenue le chasseur.
Il suivait silencieusement Jack et Owen . Tosh était déjà passée à autre chose et ne vit pas le senseur de détection se rallumer. Lorsque les deux hommes pénétrèrent dans la base, le weevil se jeta sur eux. Ils tombèrent parterre sous le poids de l’animal.
Ce-dernier se releva prestement et se rabattit sur la première cible en vue : Ianto.
Il ne put réagir, il semblait paralysé. Au lieu de fuir ou d’esquiver, tous le virent fermer les yeux, les bras ballants.
Au moment même où la mâchoire du weevil allait se refermer sur la poitrine de Ianto, l’aliène fur projeté sur le côté par le tir d’Owen. Un second tir mit fin à ses souffrances.
Jack se précipita sur Ianto étendu au sol inconscient. Personne n’eut le temps de l’approcher. Jack l’avait déjà chargé sur ses épaules et commençait à le descendre dans le Hub. La porte se referma sur un Owen surpris qui n’eut même pas le temps d’examiner le jeune homme.
Jack savait mieux que quiconque ce qui s’était passé et il savait mieux que quiconque ce dont Ianto avait besoin.
Il posa délicatement Ianto dans le lit et le déshabilla rapidement mais avec douceur. Il fit de même et vint se glisser contre lui, son torse contre le dos de son amant. Ainsi chaque parcelle de leur corps n’était plus qu’unisson.
Sous la couette, dans cette douce chaleur, Ianto revenait doucement à lui. De lui-même, il se blottit plus fortement contre son capitaine, rassuré; car c’était bien de cela dont il s’agissait. Face au danger, Ianto avait revécu en une fraction de seconde les sévices des cannibales. Cela en était trop pour lui et il s’était évanoui. Avec quelques légers coups de reins Ianto fit comprendre à Jack ce qu’il souhaitait. Alors lentement et avec une grande délicatesse Jack le fit sien. Ses coups de rein n’étaient que douceur et volupté. Tout en lui faisant l’amour, Jack ne pouvait s’empêcher d’embrasser Ianto dans le cou, sur les épaules, sur la nuque… et le serrait dans ses bras. Tous deux gémissaient doucement jusqu’à ce que l’extase les emporte.
Ils s’endormirent ainsi, sure de leur amour, loin des autres, seuls au monde.
FIN