Le Professeur de La Casa de Papel s'est adressé plusieurs fois à la population. Découvrez les messages qu'il voulait faire passer. - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
Dans l'épisode 302, Aïkido, après avoir appris la capture de Rio et persuadé qu'il subit la torture, le Professeur décide d'informer le public des agissements des autorités espagnoles. Il prend le contrôle des écrans publicitaires et diffuse un message où il se présente dissimulé derrière un masque de Dali, avant de poursuivre à visage découvert.
"Ce message s'adresse à tous ceux qui voient en ce masque, un symbole de la résistance. Nous avons besoin de vous. L'état nous a déclaré la guerre, une sale guerre, et nous avons décidé de nous battre."
Il fait glisser sa capuche, enlève son masque et ajuste ses lunettes avant de poursuivre.
"La police a arrêté l'un des nôtres dans un pays étranger, Aníbal Cortés, ça s'est passé il y a presque deux mois. Aucune procédure légale n'est engagée. Aucune extradition n'est réclamée. Aucun avocat pour sa défense. Il est maintenu en captivité dans un endroit inconnu, et il y a de fortes chances qu'il subisse la torture. Ce que nous réclamons, c'est l'arrêt immédiat et sans condition de cette détention illégale, et qu'il soit traduit en justice selon les lois de ce pays. L'état a déclenché cette guerre et nous n'allons pas nous cacher. Nous allons nous battre. Nous n'allons pas... nous n'allons pas baisser les bras. Et cette fois, nous allons faire le casse du siècle."
Le 3 mars 2020, un mois avant la mise en ligne de la partie 4 de La Casa de Papel sur Netflix, le Professeur s'est une nouvelle fois adressé à la population pour faire le point sur la situation, reprenant au passage de contrôle de la chaîne YouTube de la série détournée par la police et plus particulièrement par l'inspectrice Alicia Sierra. (cf. notre news)
"Ceci est un message de la Résistance. La police a lancé une campagne pour nous discréditer. Ils sont ceux qui utilisent la violence comme seule devise. Qui ont kidnappé, torturé, harcelé beaucoup d'entre nous. Qui ont osé utiliser des enfants comme appât. Ils n'ont pas d'autre choix que de mentir car, même s'ils nous ont attaqué avec tout ce qu'ils avaient, ils n'ont rien accompli. Ne les laissez pas vous berner. Nous voulons que la vérité sorte. Pour Nairobi. Pour Lisbonne. Pour la vérité."