Alors que l'Enterprise en est à son troisième jour de cartographie d'une nouvelle région, le vaisseau fait contact avec un objet approchant à toute allure. Les manoeuvres d'évasion et les déflecteurs se montrent inefficaces : Spock déclenche l'alarme, puis l'annule lorsque l'objet ralentit. Le lieutenant Dave Bailey réagit très fortement au danger. Lorsque le vaisseau ne parvient pas à passer outre le mystérieux objet, Spock déclenche l'alerte rouge et rappelle le capitaine Kirk sur la passerelle.
Celui-ci est en train de passer des tests physiques à l'infirmerie. Il s'agace du fait que McCoy ne l'ait pas prévenu de l'alerte rouge, avant de se changer et rejoindre la passerelle, où Bailey a bien du mal à contenir son stress. L'objet est solide et de composition inconnue : c'est un cube de 107m de long, au poids énorme. Ni Scott ni McCoy ne comprennent ce qui le propulse ou lui permet de les capter. Toutes les tentatives de communication échouent. Bailey commente qu'ils ont des armes et pourraient le détruire, déclenchant l'irritation du capitaine qui lui rappelle la chaine de commande.
18h plus tard, réunion de crise. Le vaisseau est toujours bloqué. Spock pense que l'objet est une balise ou du "papier à mouches". Lui et le capitaine pensent que rester immobiles serait un signe de faiblesse. Bailey méprend cela pour un ordre de préparer les phasers, et commence à donner un ordre à l'équipe en charge. Il se fait réprimander durement par Kirk, de plus en plus agacé, qui ordonne à la place de préparer une trajectoire en spirale autour de l'objet. La course est lancée, avec une vitesse de plus en plus élevée, mais l'objet reste proche du vaisseau et commence à émettre des radiations mortelles. Lorsqu'il n'est plus qu'à 51m d'eux, Kirk ordonne de lui tirer dessus. Bailey, sous l'effet du stress, hésite jusqu'à ce que le capitaine se répète. L'objet est détruit et le vaisseau libéré.
Le capitaine se demande s'ils doivent continuer en avant ou reculer. Il n'y a aucun autre objet : Spock pense que s'ils continuent en avant, ils rencontreront la forme de vie derrière le cube, probablement supérieure à la leur. Kirk décide de continuer en avant, car rencontrer de nouvelles formes de vie est leur mission. Il ordonne cependant à l'équipe des phasers et aux ingénieurs de s'entrainer, les estimant trop lents pendant l'attaque. Bailey dirige les entrainements.
Dans l'ascenseur, McCoy critique l'entrainement, estimant l'équipage épuisé. Il doute aussi que Bailey soit à sa place en tant que navigateur, estimant que Kirk l'a promu trop vite car il se reconnait en lui. Bailey a réagi trop lentement plusieurs fois et peine à maitriser ses émotions, poussant Sulu à le couvrir. Kirk rejette ses doutes. Ils continuent cet échange dans ses quartiers, où Spock reporte un taux de réussite de l'entrainement de 94%. Jim exige 100%, irritant davantage McCoy. Janice Rand lui amène son repas, provoquant un échange glacé. L'entrainement est interrompu par l'apparition d'un nouvel objet, une sphère d'un kilomètre de diamètre.
Le vaisseau est attrapé par un rayon tracteur, provoquant la surchauffe des moteurs. Kirk ordonne l'arrêt complet du vaisseau et de préparer les phasers, puis à Bailey de diminuer le gros plan sur l'écran. Celui-ci semble ne pas l'entendre, figé, et Sulu le remplace. Kirk ordonne à Uhura d'ouvrir les communications, mais Bailey a reçu un message de Balok, le commandant de la sphère, qui s'appelle le Fesarius et travaille pour la Première Fédération. Celui-ci estime leurs intentions hostiles suite à la destruction du cube, et rejette les explications du capitaine Kirk, menaçant de les détruire dans dix minutes. L'échange ayant été entendu dans tout le vaisseau, le capitaine adresse un message apaisant à son équipage, avant d'indiquer à Balok qu'ils vont repartir d'où ils viennent. Mais les moteurs et les armes ont perdu toute leur énergie.
Spock parvient à obtenir un visuel de Balok, à la figure étrangement grotesque. Sous le poids du stress et d'une mort imminente, Bailey craque, et s'en prend à ses collègues, les blâmant pour leur absente de réaction. Kirk le renvoie, avant de tenter une nouvelle fois d'être entendu par Balok, en vain.
Il ne reste plus que 4min. Le capitaine et Spock sont à court d'idées. McCoy blâme le capitaine pour la crise de Bailey, rappelant qu'il l'avait prévenu et que si Jim refuse d'assouplir son rapport, il le contestera officiellement. En colère, Kirk le met au défi de tenir ce qu'il pense être du bluff, avant d'être soudainement pris d'inspiration.
Le capitaine tente un coup de poker : il affirme à Balok que tous les vaisseaux de la Fédération contiennent une substance cachée appelée la corbomite, qui crée une réaction inverse à toute énergie destructive frappant le vaisseau, détruisant l'assaillant. Depuis qu'elle existe, aucun ennemi n'a survécu. Il le met ensuite au défi de les attaquer. Seul le silence leur répond. Bailey revient sur la passerelle et est réintégré à son poste. Sulu compte les dernières secondes avant la destruction, mais le bluff a marché, le Fesarius n'attaque pas. Balok les contacte et explique que leur destruction est repoussée jusqu'à ce qu'il ait la preuve de l'existence de la corbomite. Kirk refuse de lui répondre, estimant que c'est son tour "de suer". Un petit vaisseau quitte alors le vaisseau-mère et les remorque, Balok ayant décidé de les emmener sur une de leur planète, où ils seront enfermés et leur vaisseau détruit.
Le capitaine décide de n'offrir en apparence aucune résistance, faisant le pari que le vaisseau de Balok ne parviendra pas à maintenir assez d'énergie pour les tracter. Après quelque temps, il ordonne de changer la trajectoire : comme prévu, les deux vaisseaux surchauffent, mais le vaisseau ennemi craque le premier, les libérant. Spock reporte que Balok a envoyé un signal de détresse à son vaisseau-mère, et qu'il est de plus en plus faible. Kirk décide de s'y téléporter pour l'aider, rappelant que ce sont les valeurs de la Fédération. Il part avec le docteur et Bailey (sa manière de s'excuser), mais laisse Spock en charge, au cas où.
Le trio se téléporte à bord du vaisseau, et découvre une poupée à l'effigie de Balok. Le vrai Balok, à l'apparence enfantine, les accueille chaleureusement et leur explique qu'il souhaitait tester leurs réelles intentions, ne faisant pas confiance en leurs archives. Il n'a pas d'équipage et dirige tout seul à bord de son vaisseau. Il s'ennuie et souhaite de la compagnie, et suggère qu'un membre de l'équipage le rejoigne pour un temps afin d'échanger sur leurs cultures. Bailey se propose aussitôt, avec l'approbation du capitaine, qui voit là une opportunité pour le jeune homme de gagner en expérience et en confiance en lui-même, et pour Balok d'en apprendre davantage sur les humains, par le biais de leurs faiblesses. Balok approuve joyeusement, avant de leur offrir fièrement un tour de son vaisseau.