Alors qu'André célèbre ses 60 ans, l'équipe se rend compte qu'elle a complètement oublié de lui acheter un cadeau et lui offre une journée de RTT bien méritée dont il abuse. Pour cette journée, il va alors endosser le rôle de Dédé le touriste mais il n'arrête pas de faire des remarques au personnel.
Parallèlement, Tom accueille à l'occasion de la semaine du goût, son ancien professeur de pâtisserie, Jean-Paul Véron, qui lui donnait des cours quand il préparait son CAP. Jean-Paul est désormais marié et il a un fils, Cédric qui aimerait reprendre le commerce familial. Seulement, Jean-Paul ne veut pas de lui car il le trouve beaucoup trop immature. Il songe même à Tom pour lui proposer une association. Tom n'a pas spécialement envie de le suivre dans cette aventure, et un quiproquo fait que son équipe croit qu'il va vendre le camping pour devenir pâtissier.
Le camping accueille en parallèle une famille qui doit retrouver le grand-père maternel, veuf. Mais ce dernier n'est pas un solitaire pour autant puisqu'il a refait sa vie. Sauf que si sa petite-fille et son gendre apprécient la nouvelle femme, ce n'est pas le cas de la mère qui est en colère de voir que son père a une nouvelle copine et qui a le même âge qu'elle en plus. Dès lors, la soirée d'anniversaire surprise d'André est gâchée car au lieu d'éteindre la lumière, le mauvais fil est actionné et c'est le son qui est coupé.
En conséquence, Jean-Paul d'un côté et Serge de l'autre, sont condamnés à dormir dehors. Jean-Paul a la possibilité de pouvoir coucher dans la caravane de Parizot, qui entre temps s'est lié d'amitié avec lui et lui a proposé de nouvelles idées pour son commerce, mais il renonce quand il apprend qu'il doit pour ça recouvrir sa voiture de bâches en plastique. Tom vient le trouver au petit matin et apprend la vérité : L'entreprise Véron est en faillite. Tom parvient à le raisonner en lui disant qu'il a un jeune chef prometteur sous les yeux qui peut relancer son activité.
Jean-Paul et Cédric se lancent alors dans un combat des chefs, et Cédric gagne, mais au lieu de ridiculiser son père, il va lui proposer de s'associer avec lui alors que l'autre famille se réconcilie.
Á la fin de l'épisode, Parizot croit qu'ils ne sont pas pâtissiers mais charcutiers dans la famille Véron et quand le père et le fils se moquent de lui, il ne comprend pas leurs blagues.