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Série : Merlin (2008)
Création : 03.08.2013 à 15h04
Auteur : katialina
Statut : Terminée
« Attention,c'est la suite de la saison 5 donc il y a des spoilers sur la saison. » katialina
Cette fanfic compte déjà 6 paragraphes
Remerciements:
Je tiens à remercier Choup pour ses précieux conseils qui m'ont beaucoup aidé.Moorgana pour ses remarques et son aide vu qu'elle a été ma première lectrice.
Merlin ne m'appartient pas,c'est la propriété de la BBC.
Synopsis:
La paix est revenue sur Camelot et malgré l'absence d'Arthur,Albion s'est formé.Merlin vivait tranquillement jusqu'à ce qu'un événement vienne perturber sa tranquilité.
Introduction :
La vie à Camelot avait repris son cours la reine Gwen régnez seule et la vie y était paisible. Merlin aidait grâce à sa magie à différente intervention qui améliorait les conditions de vie des habitants de camelot et il était maintenant devenu chevalier. Gwen allait bientôt accoucher d’un enfant qui deviendrait héritier du trône de camelot. Gaius continuait de soigner les malades et les blessés. Gauvain continuait de servir camelot en prenant du bon temps à la taverne .Perceval s’était marié et vivait des jours heureux entre sa famille et sa vie de chevalier.
Tout était merveilleux et il ne manquait plus qu’une personne pour qu’elle soit parfaite : Arthur. Après un long deuil la vie avait reprise mais tout le monde repensait à ce merveilleux roi et surtout Gwen. Pendant de longues semaines elle avait été tétanisé au point de ne s’alimenter qu’un minimum et ne parlait qu’à une personne Merlin ! Cela faisait déjà 8 mois. Celui-ci a aussi été très tourmenté par la perte de son meilleur ami mais il s’en était remis petit à petit et ne pouvait faire de magie pendant de long mois. Après la révélation de la magie de merlin, elle a été autorisée dans tout le royaume de camelot.
Les gens pouvait ainsi l’exercer à leur guise, les excès était toujours interdit ainsi que la magie noire qui était trop puissante. Il était tout à fait normal de voir un enfant voler au-dessus de la ville en criant qu’il n’était pas fou ! Un événement inattendu se préparait et même le destin ne pouvait prédire : Aithusa franchit le ciel et mis le feu à une maison.
Chapitre1 :
Quand merlin vit Aithusa dans le ciel il sut qu’il y avait quelque chose d’anormal et il ne l’avait pas vu depuis la mort de son maitre. Cela le tourmenta toute la journée l’empêchant ainsi de s’entrainer correctement .Même Perceval qui d’habitude si préoccupé le trouva bizarre. Merlin eu le droit à son lot de commentaire :
« Merlin, tu vas bien ?tu parais ailleurs s’exclama Perceval.
-Oui, je pense juste….
-Merlin, cria Gauvain.
-Quoi ?
-J’ai bien vu, tu n’es pas concentré on ne joue pas merlin.
-Je suis chevalier, je sais et là on s’entraine….
-Je sais que tu ne vois pas l’intérêt vu que l’on est en paix avec tout le monde et que Morgane est morte mais on ne sait jamais !
-…. »
A cette annonce, Merlin sentit la peine le submergeait, il ne pouvait s’empêcher de penser que c’était à cause de lui que tous étaient arrivés. Les larmes coulaient sur ses joues et Gauvain essaya de s’excuser mais sans succès merlin courut dans le château et aperçut la reine descendre les escaliers. Il s’arrêta pour la contempler : ses cheveux lui tombait sur ses épaules où reposait un belle robe rouge son visage était radieux et sa peau mate renforçait la puissance de ses beaux yeux noisettes. Merlin se rendit compte que la reine le dévisageait et il voulut s’enfuir mais elle l’interpella :
-Tu vas bien Merlin ?
- ……oui……
-Merlin, qu’est ce qui se passe ?
-Rien, je suis très bien !
-Veux-tu que je te juge pour mensonge merlin ?
-C’est Gwaine…..il a remonté des vieux souvenirs en moi…
-Arthur ?
-Oui, je ne peux que me tenir responsable de sa mort…
-Merlin, tu n’es pas responsable, pas plus que moi…. »
En voyant les larmes de Gwen, Merlin ne put s’empêcher de la prendre dans ses bras et de la consoler tendrement. Il savait que ce n’était pas autorisé mais il s’en fichait, tout autant que Gwen qui le serra de toutes ses forces. Léon arriva pour parler avec la reine et le magicien dut rejoindre ses appartements pour dîner avec son Gaius.
Le repas fut sinistre et merlin ne parlait pas. Si cette scène se serait passée il y a un an Gaius se serait inquiété mais depuis la mort d’Arthur, ce genre de repas était très fréquent et personne n’osez faire un commentaire de peur de gâcher les rêveries de l’autre.
A la nuit tombée, après s’être rassuré que Gaius dormait, Merlin descendit dans la forêt et vit Aithusa qui l’attendait.
Aithusa lui dit :
« Merlin, je t’attendais j’ai quelque chose à te dire mais avant ca il faut que tu me prouves ton courage et ta bravoure !
-Il y a une épreuve ?
-Oui, c’est une sorte d’épreuve ….
-Aithusa, tu me caches quelque chose ?
-Je ne pourrai vivre plus longtemps, et je voudrai que tu m’aides, acceptes-tu ?
-Pourquoi tu ne peux plus vivre longtemps ?
-Un sorcier m’a lancé un sort : il veut que tu perdes tes pouvoirs pour me rendre ma vie mais surtout ne le fait pas même si tu me vois mourante car tu ne pourras jamais savoir si c’est de la magie ou si c’est vrai ! Il faut que tu ailles dans la grotte de kilgarrah et que tu trouves où il a caché son cœur. Peux-tu le faire ?
-Le cœur de Kilgarrah ? Mais, il est mort !
-Oui, mais Kilgarrah s’est tué avant de mourir pour qu’on puisse encore utiliser son cœur qui contient de puissant pouvoir.
-Je ….
-Merlin, Kilgarrah a laissé son cœur pour toi seul, il t’apparaitra quand tu en auras le plus besoin.
-D’accord mais où peut-on le trouver son cœur ?
-Je ne sais pas seul ton cœur le sait… »
Aithusa s’envole en laissant merlin crier :
« Parler en énigme, mais vous êtes tous pareil… » Sur le chemin du retour Merlin se posa mille et une question
En arrivant dans sa chambre, Merlin vit Gaius qui l’attendait:
« Tu pourrais commencer par la grotte du château, qui sait son cœur et peut être ici.
-Je suis allé voir en arrivant et je n’ai rien vu !
- Parles-en à Gwen…
-Elle ne va rien pouvoir faire et Aithusa va mourir….
-Elle va te conseiller, et Aithusa n’est pas en danger !
-Comment ça ?
-Je sais comment Aithusa va mourir et son heure n’est pas arrivée !
-Mais il y a quand même un sort sur elle ?
-Merlin, c’est toi le grand sorcier ! »
Gaius dit cette dernière phrase en rigolant et repartit se coucher.
Chapitre2 :
Le lendemain matin, Merlin alla parler à Gwen de ses dernières aventures, celle-ci ne connaissait pas de dragons ni de grotte où des dragons habitait et elle dit à merlin qu’elle avait autre chose à faire que de s’occuper de légende et du destin de chacun.
Merlin fut très vexé de la réponse de Gwen et partit rejoindre Gauvain à la taverne. Gauvain était comme un frère pour lui et passait la plupart de son temps avec lui, c’était un véritable ami. Le soir, Gaius vit que merlin n’allait pas bien et lui demanda ce qui le tourmentait :
« Qu’est ce qu’il y a merlin ?
-Gwen n’a pas voulu m’écouter…
-….. »
Merlin pensa à une des phrases qu’il disait quand il était joyeux et l’a dit tout haut pour voir si ça lui redonnerait le sourire :
« Je vous l’avait bien dit !
-Merlin, tu n’es pas fâché ?
-Si mais rien que de dire cette phrase ça me donne envie d’être heureux !
-J’ai fait des recherches et j’ai trouvé plusieurs grottes où Kilgarrah aurait pu vivre.
-Merci Gaius, mais où sont-elles ?
- pour les trouver il te faudra convaincre la reine de te donner une patrouille car tu ne survivras pas seul !
-Je suis sure que Gauvain voudra m’accompagner il ne manque plus qu’à convaincre les autres !
Merlin parti de sa maison en ayant l’intention de convaincre les autres chevaliers.
-Je ne vois pas en quoi sa le rend heureux ! »
Chapitre3 :
Merlin demanda une audience auprès de la reine pour lui reparler d’Aithusa . Gwen ne voulait pas blesser son ami mais elle ne croyait pas une seconde à son histoire, pour essayer de comprendre merlin elle lui accorda son audience :
« Merlin ?
-Gwen, puis-je vous parler seul ?
-Oui, Sortez !
-Gwen, je sais que tu ne me crois pas et tu as raison, tu m’as accordé cet audience vu qu’on et ami et que tu ne voulais pas me vexer. Mais je t’en prie écoute moi jusqu’au bout….
-Oui merlin, tu as raison et je suis désolée. Mais je vais t’écouter !
-Il y a quelques mois tu as appris que j’avais de la magie et tu as très bien réagit, tu as toujours été là pour moi et je t’ai toujours aidé du mieux que j’ai pu. Camelot et Albion sont en paix grâce à toi, nous avons fait énormément de travail ensemble .Aujourd’hui, j’ai une quête à exécuter et j’ai vraiment besoin de ton soutien…
-Merlin !
-Je voudrais pouvoir disposer de 5 chevaliers et de quelques chevaux pour trouver ce que je cherche. Je ne veux pas les meilleurs destriers ou chevaliers, je veux juste des hommes qui peuvent me soutenir et m’aider à réussir cette quête. Je ne fais pas ça pour ma gloire personnelle non je fais ça pour sauver le dernier dragon d’Albion…..
-Merlin je vais t’aider et je comprends ta tristesse quand l’autre fois je t’ai envoyé balader. Et pour me faire pardonner de mon ignorance, je te donne pour ta quête les meilleurs des chevaliers.
-Merci Gwen, quand pouvons-nous partir ?
- Gardes !?
-Oui ma reine ?
-Faites appeler Léon, Gauvain, Perceval et Yvain !
-Merci, pendant une seconde j’ai crus que j’allais aller au cachot……
-Merlin….Tu crois vraiment que je ferais une chose pareille ?!!! »
En voyant Merlin arriver le sourire aux lèvres, Gaius crut d’abord qu’il était allé à la taverne et qu’il était soul. Mais, il vu ensuite Léon et d’autres chevaliers rentrés dans sa maison .Merlin les interpella en leur disant :
-Avez-vous préparés les vivres pour le voyage ?
-Merlin…
-Où est mon serviteur ?ah mais Gauvain que fait tu à rêvasser tu as oubliés de cirer mes bottes ! »
Merlin redisait parfois d’anciennes scènes courantes, celui lui évoquait toujours une certaine nostalgie.Perceval coupa ce moment d’égarement :
"Merlin, on y va ?
-Oui, je suis prêt……"
Chapitre4 :
La nuit était tombée, les chevaliers s’étaient couchés et la quête n’avait pas avancé. Les chevaliers étaient épuisés et Merlin ne savait même pas ce qu’il devait faire dans la grotte et, il se demandait s’il n’avait pas déjà visité la grotte où se trouvait le cœur. Ils avaient visité une dizaine de grotte, mais comment savoir si elles avaient étaient habité ? En espérant résoudre ses doutes et trouver une voie vers la fin de sa quête, Merlin appela Aithusa et en prononçant la formule « Alwelqua Nina Tarski Aithusa » il se rappela comment il l’avait mis au monde et ses différentes aventures pour se procurer l’œuf .Tant d’aventure pour que finalement elle se range du côté sombre et qu’elle mette la vie du jeune dragonnier en danger. Merlin sursauta lorsque il vît qu’elle était là, ses ailes lui ébouriffèrent ses cheveux quand elle se posa dans l’herbe. Aithusa avait tant d’allure et si elle était humaine elle aurait pu devenir reine tellement elle était gracieuse et magnifique. Sa couleur était semblable à celle des étoiles et ses écailles ressemblaient à de petit miroir qui reflète la lumière de la nuit. Le jeune sorcier en eu le souffle coupé, il avait oublié le charme que pouvait dégager les jeunes dragons.
Comme pour tirer Merlin de ses songes, elle lui dit :
« Tu es l’incarnation du courage, de la détermination et de la magie !
-Aithusa, je n’ai toujours pas trouvé son cœur …
-Ton but est proche et tes efforts seront récompensés !
- Je dois faire vite pour ne pas te perdre !
-Merlin, que tu réussisses ou non le destin ne peut changer… »
Aithusa s’envola avec difficulté et toutes les qualités que merlin avait énumérés avant semblait être partit au moment où elle s’était envolés. Le dragonnier ne pouvait se résoudre à la perdre, il était triste. Il passait sa vie à aimer et à attendre des absents, il avait tenté une centaine de fois de ramener Arthur à la vie .Ce n’était pas en son pouvoir. Il ne pouvait qu’essayer de sauver ses derniers amis au lieu de se morfondre sur ce qui était partis trop tôt.
Le matin venu, Merlin réveilla les autres chevaliers et ils se remirent en route. Ils quittèrent la clairière et partirent sur une route qui paraissait très peu fréquentés. Personne ne parlait pendant le voyage, chacun divaguait à ses pensées et tout le monde sursauta lorsque qu’une tornade magique apparut sur la route. Elle continua son chemin en tournant autour des chevaliers puis de leurs chevaux. Ceux –ci se cambrèrent et prirent la fuite en laissant derrière eux des chevaliers assommés par leurs chutes de cheval. Le tourbillon se transforma en poussière puis elle s’évapora en laissant apparaitre le corps d’une femme, elle disparut soudainement. Les chevaliers se regardèrent et puis, il vu Merlin. Il était bouche bée, scotché vers ce vide qui avait était laissé. Leon se déplaça à côté de Merlin et il n’en revint pas, de sorte à appeler tous les chevaliers pour qu’il vienne voir. Gauvain ne semblait pas intriguer, c’est normal vu qu’il n’avait jamais vu cette femme. Mais, Leon se rappela comment il avait combattu cette bête mais il ne pouvait s’empêcher de croire que c’était un rêve. Merlin ouvrit la bouche et pu clairement voir les syllabes qui s’y détachait. Il y en avait deux et on put voir ses yeux remplit d’or détachait une larme qui en disait beaucoup, sa bouche nous disait : Fre-Ya. Freya, amusait de voir le choc que tout le monde avait de la voir, dit :
« Merlin, la fin de ta quête est proche, la grotte que tu crois chercher se trouve derrière cette clairière. Ne crois que ce que ton cœur te dicte, ne cherches pas à me parler je suis une illusion de ton esprit ».
Et avant de disparaître, la femme qui était devenue fée se rapprocha de Merlin grâce à ses petites ailes et elle déposa un baiser sur sa joue. Le jeune magicien eut ses joues qui tournaient aux rouges et il mit quelques temps à retrouver l’usage de la parole, il n’en revenait pas. Gauvain agacer car il ne comprenait rien à la scène suppliait Leon de lui raconter ce qui s’était passées. Mais Leon était lui aussi sous le choc, il était pris de regret d’avoir tué l’être que Merlin aimait. Et pour ne rien changer aux habitudes Gauvain se plaignait encore et toujours auprès de son ami pour savoir qui était cette créature. Agaçait par les plaintes de Gauvain, Merlin prit son courage à deux mains pour expliquer l’histoire à son ami. Ce dernier ne put s’empêcher de verser une larme quand il apprit ce qui était arrivé à Freya et il s’excusa d’avoir déranger ce moment de retrouvailles. Le jeune sorcier avait pris soin de taire sa dernière rencontre avec sa bien-aimée qui sauva Camelot de l’emprise de Morgane.
Chapitre5 :
Après l’apparition de Freya, Merlin et les chevaliers se mirent en route .Ils étaient à pieds quand ils aperçurent une grande grotte. Merlin savait que c’était celle-ci, son cœur battait la chamade et il sentait une grande puissance magique le parcourir. Prêts à partir, il se retourna et déclara aux chevaliers :
« Merci, pour votre aides, mais maintenant c’est ma quête et je dois y aller seul !
-Merlin, dit Gauvain je t’ai soutenu et sache que je crois en ta force et en ton courage même si on ne s’en a pas rendu compte tout de suite…. Je te remercie aussi de m’avoir sauvé ainsi que Perceval alors que nous étions presque morts quand on avait voulu se venger de Morgane. Tu es tout pour moi, un ami, un frère, un compagnon de taverne et dire que la première fois que je t’es vu tu m’as paru un serviteur comme un autre. Mais maintenant que je te connais tu es un être surnaturel à mes yeux. Tu survis à n’importe quelles aventures et tu es même devenu chevalier. Comme plusieurs d’entre nous tu n’es pas de sang royal mais tu vaux largement cet honneur et tu sers la cour avec un très grand dévouement. Je tiens à te dire que tu ne seras jamais seul et que je t’aiderai toujours quand tu auras besoin de moi.
A ces mots, les yeux de Merlin brillèrent. Pas pour de la magie, non mais pour de l’émotion. Il prit quelques instants de réflexion puis il répondit :
-Gauvain, je ne peux pas mettre des mots sur les sentiments que je ressens. Mais, merci, merci à vous tous sans qui je ne serais pas là et merci à Freya de m’avoir fait le plaisir de venir me voir et merci à Kilgarrah pour m’avoir fait croire en mon destin. Je tiens aussi à remercier tous ceux qui sont partis trop tôt ou qui ont changé de camp, ces personnes que j’affectionnais plus que tous.
Merlin dit ces derniers mots en pleurant, il pleurait comme tous ceux qui l’écoutaient. Puis il se dirigea vers la grotte et rentra à l’intérieur.
Il fut choqué de découvrir Aithusa à l’intérieur. Elle se tenait assise et un cœur se trouvait à côté d’elle. Merlin en déduit que c’était celui de Kilgarrah. Dans sa tête, une multitude de scénario s’envisageait. Le sorcier qui était déguisé en Aithusa, un piège qui était organisé par la dragonne… L’imagination ne lui manquait pas. Puis, Merlin la regarda et vit que ses ailes avaient disparu et qu’Aithusa avait perdu l’étincelle qui se trouvait en elle. Elle était très affaiblit.et la dragonne, interdite finit par lui dire:
-Merlin ta quête était une épreuve et tu l’as réussi, il n’y a jamais eu de sorcier et je savais depuis le début ou était le cœur de Kilgarrah…
-Pourquoi tu ne m’as rien dit ?
-Je vais te raconter l’histoire, toute l’histoire….
-Pourquoi il y a quelque chose d’important que je ne sais pas ?
-Oui, c’est Kilgarrah qui m’a condamné…
-Pourquoi il a fait ça ?
-J’ai fait ce que mon cœur ma dicté et je n’ai pas respecté son souhait de voir Albion vivre…..
-Elle t’a demandé de me dire de trouver son cœur, c’est ce que tu as fait ?!
-Merlin, laisse-moi expliquer l’histoire sans m’interrompre s’il te plait.
-Oui, raconte !
-Après la mort d’Arthur, j’entendais ton désespoir à longueur de journée et je n’ai pas pu résister longtemps à tes pleurs, j’ai essayé de sauver Arthur. J’ai réussi et Kilgarrah m’a beaucoup félicité et vu que j’étais faible, il m’a dit qu’à sa mort il me donnera son cœur. Les jours ont passé et Kilgarrah s’est rendu compte de ce que j’avais fait. J’ai aussi redonné la vie à Morgane, je ne pouvais vivre sans elle .Kilgarrah s’est mis dans une colère immense, et m’a dit que je devais te faire venir sans force dans cette grotte pour que tu récupères le cœur et qu’il viennes s’ajouter à tes pouvoirs et que tu deviennent un grand sorcier.
-Ce n’est pas ça qui va te faire mourir ?
-En prenant son cœur, tu tires un trait sur ma vie et je perdrais mes pouvoirs jusqu’à en mourir…
-ce n’est pas possible ! Je dois te sauver !
-Non Merlin, j’ai sauvé morgane c’est ma punition et je veux que tu me fasses une promesse…
-Laquelle ?
-Tu dois me promettre que tu ne vas pas me sauver et que tu vas enseigner la « bonne magie » à Morgane.
-Morgane ne m’aimes pas elle va vouloir me tuer !
-Elle t’aime merlin, elle t’aimait jusqu’à ce que tu la trahisses et que tu la laisses toute seule avec sa magie
-Oui, je sais je l’ai délaissé, je vous promets de m’en occuper comme Gaius l’a fait pour moi.
-Merci merlin, en disant cette promesse, tu as prouvé ta valeur et le cœur de dragon s’est ancré en toi. Maintenant, pars !
-Je ne vous oublierais jamais….. »
Arthur de dirigea vers Merlin voulant lui faire une accolade. Mais, au dernier moment Merlin pris la veille habitude d’Arthur qui est de se reculer. Les deux hommes se regardèrent et rigolèrent. Leur amitié avait recommencé. Mais, Merlin voulut quand même se rassurer en serrant Arthur dans ses bras. Ce à quoi il répondit :
« Merlin, arrête de faire l’idiot c’est bon je suis là !
Merlin voulut savoir ce qu’avait vécu Arthur avec Kilgarrah et il lui raconta :
-Un mois après ma résurrection, Kilgarrah m’a fait voir dans les cristaux magiques ce qui s’était passé à Camelot et les moments où tu as utilisé ta magie. J’ai été étonné et si tu aurais été avec moi je ne sais pas si ton nez ne serait pas cassé mais ce n’est pas le sujet. Je suis admiratif, car je ne pensais pas que tu allais autant pleurer ma mort et j’avais raison sur un point...
Merlin prit la parole et dit :
-Lequel ?
-Tu es une fillette Merlin !même Gwen n’a pas autant pleuré !
-Je n’en suis pas si sûr…..
-Je l’ai vu Merlin ! Et j’ai aussi vu comment tu as essayé de protéger Morgane et que tu utilisais souvent ta magie.
-Ah bah je suis Enfin remercié !
-J’ai aussi vu quand tu m’as transformé en simplet…
-On ne peut pas oublier un moment aussi drôle !
-Si, et tu vas l’oublié. Tu savais pour Agravain, Morgane et Mordred et pourtant tu n’as rien dit. J’aimerai savoir pourquoi ?
-La réponse est simple, est ce que vous m’avez cru quand j’ai dit que votre belle mère était un troll ? Non, vous refusiez de voir la vérité en face et pourtant !
-Oui, mais ce n’est pas pareil…
-Si, vous ne m’auriez pas cru si j’aurais dit que Morgane complotait pour tuer Uther.
-Tu as raison, et je pense que l’on devrait camper pour la nuit.
-Vous avez raison.
-Qu’est-ce que tu attends pour aller chercher du bois ?
-Je ne suis pas votre serviteur sir.
-Ah, Aithusa a omis de me dire ce détail, tu es devenu chevalier ?!
-Oui, Sir Merlin à votre service.
-D’accord, va chercher du bois s’il te plait !
-….
- Un peu plus de détermination sir Merlin ! »
Arthur s’amusait de la situation, il était content d’avoir retrouvé sa place. La nuit tomba et les chevaliers allèrent se coucher.
Chapitre6 :
Après une bonne nuit de sommeil, Merlin et Arthur étaient de nouveaux ensembles plus heureux que jamais. Les chevaliers manifestaient une joie sans égal d’avoir retrouvé leur souverain et chantaient sans pouvoir s’arrêter. Aux frontières de camelot, on sentait le stress d’Arthur montait, il avait peur de revoir Gwen. Merlin décida de lui expliquer la vie de camelot depuis son départ :
-Déjà, tu vas être papa dans 1 mois !
-….Dans 1 mois ?!
-Perceval a déjà une famille demande lui des conseils !
-Perceval !
-Camelot est en paix et rien ne perturbe se calme !
-Albion s’est construit ?!
-Oui, mais celui qui reste inchangé, c’est Gauvain : la taverne est toujours aussi rentable !! »
Gwen qui avait entendu parler du retour d’Arthur était venue voir Merlin pour lui demander ce qui se passe :
« Merlin, c’est quoi l’histoire comme quoi Arthur est de retour ? »
Elle avait dit cette phrase avec un terrible pincement au cœur, elle était bouleversée et ne pouvait s’imaginer pourquoi des villageois avaient raconté de pareilles sornettes.
Arthur s’exclama :
« Pourquoi ne pas le demandait à Arthur ? »
Quand Gwen entendit cette phrase un élan de joie l’emporta, elle se pinça de toutes ses forces pour voir si elle ne rêvait pas. Mais ce n’était pas un rêve c’était la réalité Arthur était vivant !!!!!!! Toutes les journées où elle avait espéré ce moment. .. Elle n’en revenait pas. Mais derrière ce rêve, il y avait un cauchemar....Celle qui était le plus déçue se trouvait derrière des branches et observait cette scène depuis le début ; Elle était là au commencement et elle serait là à la fin de leur histoire.
Morgane programmait déjà sa revanche !
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