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Série : Castle
Création : 27.04.2015 à 19h55
Auteur : neologisme
Statut : Terminée
« Comme demandé, voici mes délires sur les épisodes ! Je vous mets déjà tous les anciens, peut-être, y en a t-il que vous n'avez jamais lus. Viendront ensuite, au comte-goutte, les nouveaux ! » neologisme
Cette fanfic compte déjà 27 paragraphes
Post 7X20 « Sleeper » ; Volet 1 : « Néo kinappée.... » (24.04.2015 )
Dans une cave froide et sombre...
Néo : Ouhouou !..... y a quelqu'un ... ? Il fait froid, là-dedans !
Agent K : bonjour, Néo.
N : ah, enfin ! Mais pouvez-vous me dire où je suis ?
Agent G : Plus tard. L'heure est grave alors je vais aller droit au but : comme vous êtes régulièrement interviewée pour résumer les épisodes, nous vous avons choisie pour sauver un fandom en détresse après avoir vu le 7X20.
Agent K: pardon ? (merde, c'est qu'il a l'air sérieux, en plus)...oh, c'est trop d'honneur, vraiment ! (mais que diable allais-je faire dans cette galère ?)...mais vous savez, de là à dire que mes blagounettes vont sauver le monde...
Agent G : membre néo, nous devons nous serrer les coudes et réunir toutes les forces hypnowebiques. D'ailleurs, il y en a déjà sur le pont qui planchent sur des fics, d'autres sur les photos, promos, vidéos et jeux, ou encore d'autres qui théorisent, certaines en buvant des tisanes à vertu délirante,...y a même une petite maligne qui se la pète en argumentant en alexandrins, mais on la laisse faire car on aime bien tout ce qui est codé, vous vous en doutez !
Néo : oui, bien sûr, bien sûr... (génial, en plus d'être ridicules avec leur cagoule, ils sont complètement fêlés...). Et pourquoi je suis là ?
Agent K : il vous revient la partie la plus délicate, car vous conviendrez qu'on ne peut décemment pas traumatiser le fandom avec une interview qui donnerait les vrais éléments de l'épisode
Néo : ah non ?
Agent G : eh bien non, enfin ! Vous devez donc nous aider à sauver des millions de fans de crise cardiaque, de déprime généralisée, de suicides spontanés, et j'en passe et des meilleurs...
N : génial !...Bon, on procède comment pour cette mission kamikaze ?
Agent K : nous allons donc vous injecter un petit produit totalement indolore afin de transformer vos souvenirs de l'épisode.
N : pfff, ça tombe toujours sur moi, les plans galère...(maman, j'ai peur...)
post 7X20 « Sleeper » ; Volet 2 : « l'Interview » (24.04.2015)
Journaliste : bonjour, néo, alors, ce 7X20 ?
N : incroyable, époustouflant, génial !
Journaliste : ohoooo, à ce point là ? Vous piquez ma curiosité, et celle de tous nos lecteurs, je vous écoute !
N : eh bien, malheureusement c’est un peu confus dans ma tête depuis ce matin… je ne sais pas pourquoi, je ne me souviens que de quelques bribes…
J , déçu : ah ?... alors donnez –nous au moins ces bribes
N : d’accord, attendez que je me concentre ... je vois…Beckett et Castle vêtus de treillis dans un camion militaire en pleine jungle, en train de poursuivre une voiture…
J : oh, ça fait très James Bond, ça, j’aime !
N : …la plaque d’immatriculation de la voiture est…étrange…
J : étrange comment ?
N : avec seulement 3 lettres : A.B.C.
J : A.B.C. ? …hum, voyons voyons… « Association pour Beckett et Castle » ? ….. « Auteurs Borderline Confiants » ?... « Appel pour la Béatification de Chuck Norris ? »....j’ai plus d’idées, là…
N : je dirais plus que c’est la chaîne ABC, tout simplement…
J : ah oui, mais c’est moins drôle…
N : attendez, j’ai un autre flash qui me vient…oh, c’est bizarre, j’entends Kate hurler un truc en russe tout en visant la voiture avec un lance-roquettes… waouh, elle arrive à faire exploser juste le coffre, trop forte ! …et Castle lui tend son café, un sourire béat et niais aux lèvres…café qu’elle boit sans verser une goutte malgré les nids de poule sur la piste, ah, quelle femme… !
J, tout excité : waouh, néo, c’est bien mieux que du James Bond, là ! Et pourquoi le coffre ?
N : attendez, je vois… mais oui ! C’est Andrew Marlow, Terri Miller, Rob Bowman et l’agent de Stana Katic qui y sont ligotés…
J : noooooooon !
N : siiiiiiiiiii ! Et là, tout se bouscule : Chuck Norris, sortant de nulle part, s’accroche à l’arrière de la voiture, et libère les otages du coffre….ah, là y a un blanc……
J, qui trépigne : ah bah non, pas de blanc ! Concentrez-vous, néo, vous me tuez avec votre suspense
N : …ah, ça y est.... maintenant je vois les otages assis dans une sorte de clairière, libérés mais toujours ligotés, entourés de Castle, de Beckett, et de fans d’Hypno masqués ; ils leur injectent quelque chose…
J : ah oui, le virus de la dengue !
N : non, non, mais où allez-vous chercher ça ? D’après Rick, ce serait une tisane concoctée par des mamies d’Hypno…
J : ah, elle a des vertus insoupçonnées ? Comment réagissent les otages ?
N : ils sont en transe, leur visage vire au vert, puis au bleu, de la mousse leur sort des lèvres, ils font « non » de la tête, puis « oui », puis on les entend hurler : « D’accord, d’accord, arrêtez ce supplice, pitié, vous l’aurez votre saison 8 ! »
J, qui saute partout : Whaaaaat ? OMG ! Quel scoop, Néo !
N : la vache, j’en reviens pas moi-même, pffiou, quel épisode ! Dites, on va se boire un verre au Old Haunt? Je crois que vous et moi l’avons bien mérité, on peut se vanter d’avoir vraiment sauvé tout un banc de fans déprimés !
Dialogue post 7X21, juste après que Rick soit remonté de la soute, avec de l’alcool dans ses poches
C : Saluuuuut, amour de ma vie !
B : Hé, salut ! Ah, merci mon Dieu, tu es sain et sauf, j’ai eu si peur ! Mais comment tu … ?
C : encore la magie du wi-fi ! Je me suis enfermé aux toilettes, on sera tranquille !
B : chouette ! Alors, comment tu te sens ?
C : incroyablement bieeeeeeeeeeen !
B : attends… je rêve ou t’es saoul ?
C : Noooon ! Enfin, un tout petit peu… ces petites fioles d’alcool font merveille, je ne pense plus du tout au spectre de la mort…Tu sais, j’ai adoré questionner tous ces suspects ! Et, sans me lancer de fleurs, j’étais génial !
B : Mouais, "sans te lancer de fleurs", tu parles ! Peut-être, mais je reste la meilleure à ce petit jeu !
C : Ah, tu crois ça ?
B en prenant l’accent de Nikki Heat : non, j’en suis sûre !
C, déglutissant lentement : tricheuse ! Tiens, en parlant d’accent, maintenant qu’on peut se détendre, regarde cette vidéo : je t’ai gardé le passage où le jeune couple de l’avion s’amuse à se parler avec l’accent anglais ! Pfff, tu vas voir, c’est d’un pathétique….
B, une fois la vidéo visionnée : hahaha, on ne ferait jamais ça, nous !
C : JA-MAIS !! …. sauf à nos retrouvailles après mon escapade à Paris et que tu t’es mise à parler russe….puis français….
B, se rapprochant de l’écran : … ou le mersatonien après notre aventure dans Nebula 9….
C, les yeux fixés sur les lèvres de sa muse : …..ou l’allemand quand on s’est repenché sur la police d’écriture des faire-part …
B, déboutonnant son col de chemise : …..mmmmmmm, oui !…. Oh my God, Rick, ON EST PATHETIQUE !
C : non non non, ma chérie ! Si on faisait du skype- flirting, puis du skype-sexing, là, on serait pathétique !
B, soulagée : oui, t’as raison ! Alors où on en était ? Oh, l’accent japonais après l’affaire des Yakusa….
C, les yeux ancrés dans les siens : ….ou l’accent du majordome british…..
B, qui entortille sa mèche de cheveux : …. ou celui du détective privé des années 20…..
C, qui défait quelques boutons : … ou du voyageur spatio-temporel……
B, qui n’a plus de chemise : ….ou de l’actrice espagnole de télénovellas……
C ( oups, lui non plus !) : … ou de « Rebelle Becks »….
B, allumant une bougie parfumée : …ou de l’astronaute russe…
C, ne sachant plus où regarder : ….ou du père Noël avec tous ses p’tits cadeaux…
B, mordillant sa lèvre inférieure : oh oui, ses p’tits cadeaux….
C, dans un gros soupir d’aise : à qui le dis-tu !
B, faisant négligemment glisser une bretelle de son soutien-gorge : ….tu sais ?
C, n’en pouvant plus : mmmm ?
B : j’adore quand on est pathétique !
C, complètement liquéfié sur la cuvette : oh, moi aussi ! BEST SKYPE-FLIRTING EVER !
Post 7X22 " Dead from New york"
12th precinct, Beckett et Castle sortent de l’ascenseur, à l’étage des bureaux de la criminelle.
C : que le show commence !
Beckett roule des yeux
B : Oh, Hastings, salut ! Pourrais-tu aller enregistrer cette pièce à conviction, s’il te plaît ?
Agent Hastings, l’air étonné : oh, désolée, je ne peux pas, là
B : euh, ok, c’est pas grave !
Gates : ah, Kate, vous êtes là ! …oh, ça va, vous ?
B : euh, oui, chef, pourquoi ?
G : euh, pour rien…. Je vous laisse, allez vous reposer !
B, poursuivant son chemin : ah, L.T. ! Pourrais-tu aller enregistrer cette ….
Agent LT, la regardant de haut : désolé, inspecteur, pas le temps !
B, qui commence à s’énerver : mais qu’est-ce qu’ils ont, tous ?
C, tout sourire : j’te l’avais dit !
B, irritée : non, ça peut pas être ça, voyons !
C : arrête de te faire du mal, ma chérie !
B, ignorant la remarque de Rick : hé, Espo ! On vient d’interroger Mme Crasey, je veux que vous recherchiez son mari, Chad.
Espo, la regardant dans les yeux : pourquoi vous n’iriez- pas, vous ? On est crevé, là...
Ryan, soudain très sûr de lui : oui, c’est vrai ça, Beckett, à votre tour de vous taper les recherches ennuyeuses !
Beckett, estomaquée et toute déboussolée, marche comme un automate vers l’ascenseur. Rick, tout heureux et hilare, trottine derrière elle.
Dans l’ascenseur
B, qui tend un billet à Castle : pfff, t’avais raison….
C : héhé, bien sûr que j’avais raison ! Tes talons, la démarche qui va avec, et tes cheveux, Beckett ! Sans eux, t’es plus TOI !
B, complètement dépitée : On n'avait JAMAIS discuté un de mes ordres, jusque là....ça fait mal ! Je vais avoir besoin d’un groooooooooos câlin, là !
C, tout guilleret, les bras grands ouverts : Castle toujours prêt à la rescousse ! Viens par là !
B : non, pas toi ! Un câlin avec le VRAI toi, le sexy Danny Valentine !
C : hein ???????????? Marlowe, Amann, vous êtes où ? Ca va pas du tout, votre script, là !
B : je te laisse, babe, j’ai besoin d’un brushing et de mes talons, ça urge !
Post 4X23 (de 21min22 à 26 min01, puis la scène finale au loft, de 37min37 à…. !)
B : Salut !
C : Salut
B : J’étais au téléphone avec Esposito, notre homme avait un porte-clés à la main avec les initiales G.C. inscrites dessus.
C : Beckett, ça peut être n’importe qui
B : C’est une aiguille dans une botte de foin, je sais, mais c’est mieux que rien, et en plus on a un bout d’empreinte digitale dessus….
C : Kate…
B : par le passé, Ryan avait déjà pu reconstituer une empreinte, vous vous souvenez ? Quand le tissu cutané avait été déchiré par Lanie, dans l’enquête avec le tigre.
C : Kate !
B : Quoi, qu’est-ce qu’il y a ?
C : vous… vous devez arrêter ça….. cette enquête, il faut que vous l’arrêtiez
B : Castle, on en a déjà parlé, je vais bien, je maîtrise la situation
C : Non ! Ce n’est pas vous qui maîtrisez la situation, c’est lui… et si vous n’arrêtez pas, il va vous changer, Kate…
B : mais qu’est-ce qui vous prend ?
C : vous vous souvenez, quand je vous ai offert cette magnifique machine à expresso parce que je trouvais votre café infâme, qu’il avait « un gout de pisse de singe mélangée à de l’acide de batterie » (cf 1X04), eh bien je l’ai offensé au plus haut point et il a juré ma perte… Puis, je ne sais comment, quand il a vu que non seulement les bros, mais surtout vous, l’utilisiez quotidiennement et que ce breuvage avait le don d’adoucir vos angoisses, de ramener un sourire sur votre visage et d’aborder la journée avec sérénité, il a vu rouge.
B : Castle, j’ai peur de comprendre….qu’avez-vous fait ?
C : Cette machine était là pour une bonne raison, et j’en étais le gardien. Pour qu’elle continue à opérer sa magie sur vous, je devais le stopper.
B, reculant d’un pas : Vous avez quelque chose à voir là-dedans ?
C : je voulais vous ménager avant tout
B, confuse et blessée: en omettant de me dire la vérité sur la chose qui me touche le plus dans ma vie au precinct ?
C : c’était uniquement dans le but de vous protéger…
B : je suis assez grande pour le faire toute seule. Cet homme voulait juste me parler, me proposer quelque chose de nouveau, paraît-il, qui allait encore plus embellir ma vie. Alors qu’avez-vous fait de lui ?
C : oh, il est dans ma maison sur la plage, ma mère le surveille ; elle le trouve très à son goût, d’ailleurs, il ne risque rien...
B, estomaquée: vous le détenez illégalement? Comment pouvez-vous être sûr qu’il voulait s’en prendre à moi ? Et comment avez-vous pu me faire ça ?
C : parce que je vous aime. Mais vous le savez déjà, non ? Vous le savez depuis 1 an.
B : vous me dites ça maintenant alors que vous venez tout juste de m’avouer que vous m’avez trahie ?
C : Kate, écoutez-moi…
B : que je vous écoute ? Pourquoi je vous écouterais ? Et je ne vois pas quel est le rapport entre vos sentiments et cet homme ?
C : vous ne voyez pas le…?
C (la colère monte en lui) : Mais pour tout ce que nous avons vécu ensemble ! J’étais là pendant 4 ans Kate, 4 ans à préparer votre café comme vous l’aimez, à doser au millimètre près la vanille et le lait, à être chaque matin le témoin du plaisir que vous avez à regarder le liquide couler dans la tasse, puis à sentir le breuvage chaud descendre dans votre gorge…
C, les larmes aux yeux : Je suis PLUS que votre faiseur de café ; si tous les matins je vous l’apporte, c’est pour voir votre sourire illuminer votre visage, parce que je crois que vous êtes la personne la plus remarquable, la plus frustrante, exaltante, et la plus exaspérante que j’ai jamais connue. Et je vous aime. Si jamais ça compte un tant soit peu pour vous, ne vous obstinez pas dans cette quête qui ne mènera qu’à votre perte.
B, énervée : Si vos sentiments comptent un tant soit peu ? Et qu’est-ce que vous avez fait des miens en concluant un accord pour moi comme si j’étais une enfant alors qu’il s’agissait de MON CAFE ? LE MIEN ! Vous n’aviez aucun droit de faire ce choix.
C : si vous signez un contrat avec cet homme : adieu notre machine, adieu la mousse épaisse dans laquelle je vous fais plein de petits dessins pour vous distraire, et bonjour les petites doses impersonnelles. Continuez comme ça, et c’est lui qui va faire un choix. Il vous enverra plein de petites capsules colorées pour vous dénaturer.
B, hyper énervée : vraiment ? Eh bien je l’attends, je suis prête !
C : vous êtes prête ? Prête à quoi ? Ce n’est plus un café avec une pointe de vanille que vous aurez, Kate, c’est 1 breuvage quelconque et sans saveur.
B, hyper hyper énervée : s’ils me disent que leur café est délicieux, c’est qu’il l’est.
C, abattu : ok, je suppose que tout ce que je pourrais dire ne servirait à rien ? Très bien. Oui, vous avez raison, Kate, c’est votre café, vous pouvez vous en débarrasser si ça vous chante, mais si vous le faites, alors vous vous débarrassez de moi avec. Je ne resterais pas là à vous regarder tuer notre machine et notre lien intime sans rien faire, alors…c’est fini….je m’en vais…
Le soir même, après la remise des diplômes d’Alexis, Castle est au plus mal. Seul au loft, dans son bureau, après avoir refusé l’appel de Beckett, il regarde la machine, LEUR machine, et rageusement la jette à la poubelle. Des coups à la porte le sortent de sa torpeur, il va ouvrir.
C : Beckett que voulez-vous ?
B, se jetant sur lui : Toi !
B, prenant le visage de Rick entre ses mains, puis l’embrassant: je suis désolée Castle… je suis tellement désolée…je te demande pardon
C, la repoussant doucement : que s’est- il passé ?
B : j’ai retrouvé G.C…. après avoir réussi à éloigner ta mère de lui, nous avons longuement parlé. Il m’a vanté tous les mérites de son café, et malgré son charme ravageur, je m’en fichais… je ne pensais qu’à toi. Tout ce que je veux, c’est toi.
C, n’en pouvant plus, se jette sur elle (petits bruits pouvant heurter vos oreilles chastes, impossibles à traduire en mots …)
Leur échange se clôture par un baiser sensuel, leurs visages entourés d’un halo de lumière ; c’est magique, on se croirait dans une série américaine, c’est dingue…..
B, prenant la main de Rick : Castle ?
C : mmmmmm ?
B : tu m’fais un café ?
C, complètement ensorcelé : ohhhhhhhhhhhh, qu’est-ce que t’es sexy quand tu dis ça ….
Beaucoup plus tard, alors que nos deux héros, étendus, les jambes entremêlées, tentent de retrouver une respiration normale…
B : qu’est-ce que tu fais ?
C : je me pince !
B, levant les sourcils : ???
C : j’y crois toujours pas, t’as dit NON à George Clooney !
Post 3X22 : scène de l’hôtel à LA (de 21min50 à 23min 18), ou « une histoire de portes »
Bonjour, je me présente : Mme Porte-voix. Avec mes cousins Mme Porte- jarretelle et Mr Port’à faux, nous sommes les gardiens de la suite royale du grand Hôtel de Los Angeles. Après quelques porte-à-porte et rumeurs de couloir, notre voisine Mme Port’parole nous a appris l'arrivée de notre client préféré : Rick Castle.
Quelle ne fut pas notre joie de le voir arriver en charmante compagnie, bien différente des starlettes blondes et des masseuses russes ! Et on ne nous la fait pas à nous, les portes, on a très vite vu que notre Ricky était complètement fou de cette femme : sous ses airs de trublion puéril, il respirait la joie et la sincérité et était tout bonnement….craquant !
Connaissant Rick, il allait passer à l’attaque ce soir, alors nous nous sommes affairées pour pouvoir profiter du spectacle et les aider à notre façon.
Mr Port’à faux : alors, coca, popcorn, check !
Mme Porte-voix : amplificateur sonore, jumelles, check !
Mme Porte-Jarretelle, gardienne de la chambre de Kate, a pris soin de bien graisser ses gonds et d’entraîner sa poignée pour éviter tout incident fâcheux de porte qui claque/ qui grince/ qui se bloque en plein rush érotique. Ben oui, quoi, nous sommes des portes 5 étoiles tout de même !
Après plusieurs heures d’attente, le couple rentre de sa journée d’enquête…
Mme Porte-voix : ils arrivent, tenez-vous prêts !
Mme Porte-Jarretelles : chic chic chic, ça va être mémorable !
Mr Port’à faux : on se calme, les filles, hein, rien n’est joué encore.
Mme Porte-voix : pfff, porte-malheur, va !
Rick et Kate s’assoient et discutent de Royce autour d'un verre de vin
Mme Porte-jarretelles : ohhhhhh, qu’ils sont mimis, tous les 2 ! Allez Rick, à toi de l’emballer !
Rick : vous savez ce que j’me suis dit quand je vous ai rencontrée ?
Mme Porte-voix : approche-séduction étape 1 : la voix profonde et sexy, ahhhhhh je fonds...
Kate: Mmm ?
Mr Port’à faux : waouh, un son + un hochement de tête et mon Ricky en perd ses mots, elle est forte !
Rick : que vous étiez un mystère que je n’arriverais jamais à résoudre...et même aujourd’hui, après tout ce temps passé avec vous….
Mme Porte-jarretelles : approche-séduction étape 2 : les yeux hypnotiseurs + les mots qui tuent !
Mme Porte-voix , la bouche pleine de popcorn : ouais, m’en parle pas ! C’est intense, j'en ai le vernis qui dégouline ….
Rick : je suis toujours aussi impressionné par votre force de caractère;..votre courage…et votre sex-appeal !
Mme Porte-Jarretelles: troooooop beau, j'en perds mes gonds...
Kate : You're not so bad yourself, Castle !
Mr Port’à faux : je sens qu’elle va devenir culte, cette réplique….
Kate et Rick se regardent….gros silence ……
10 secondes….
Mme porte-voix : les regards qu'ils se lancent, cette tension sexuelle…..
15 secondes …
Mme porte-jarretelles : …et leur « brain sharing » c'est hotissime, j'en peux plus , là….
20 secondes…
Mr port’à faux : euh, ils sont au courant que leur canapé est sur le point de partir en combustion spontanée ?
25 secondes…
Mme porte : merde, y a plus de popcorn, ils vont nous tuer
K : j' vais me coucher, il est tard...
Les 3 portes : whaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaat ???????? Va falloir développer, ma fille, c'est clair que tu veux lui sauter dessus !
C : Kate !
Les 3 portes : vas-y, Ricky, tu peux le faire !
K : bonne nuit, Castle !
Les 3 portes : nooooooooooooooon !
Mme Porte-voix : c’est officiel, cette femme est folle, ou insensible ! Ahhh, ça me fend le bois de voir Rick avec ses yeux de cocker….
Mr Port’à faux : rrrrr, je vais sortir de mes gonds....
Mme Port’jarretelle : cool, rien n’est perdu, elle va dans sa chambre, à moi de jouer ! Mon stage d’hypnose va enfin me servir, yes !
Mme Porte-voix et Mr Port’à faux attendent, sceptiques : euh…fais gaffe, quand même, hein !
30secondes…
1 minute…
Mr Port’à faux : mais qu’est-ce qu’elle fiche ? …ouhla, j’ai sommeil tout à coup…
Mme porte-voix : Port’jarretelle, grouille, Rick se lève ! Hé port’à faux, réveille toi, tu dois empêcher Rick de rentrer dans sa chambre !
Port’à faux : je…peux…pas…rrrrrrrrrronononon
Rick entre dans sa chambre
Port’Jarretelle : hip hip hip hourra, j’ai réussi, tenez-vous prêts, Kate appuie sur ma poignée pour m’ouvrir, on a gagn….
2 secondes + tard, Mme Porte-voix et Mme Port’Jarretelle assistent, impuissantes à un spectacle d’une intensité dramatique inégalée : une porte s’ouvre…. tandis que l’autre se referme
Porte-voix et Porte-Jarretelle : NOOOOOOOOOOOOOON !
Mr port’a faux, que la fermeture et les cris de ses cousines viennent de réveiller : … qu’est-ce que j’ai loupé ?
Mme Port’jarretelle : flûte, j’ai dû y aller un peu trop fort sur l’hypnose, les ondes ont dû t’atteindre et tu t’es endormi
Mme Porte-voix : bon, rien n’est perdu, je vais appeler Mme porte’ouverte, ma cousine qui garde le loft de Rick, je suis sûre qu’elle trouvera un moyen pour mettre ces 2 âmes-sœur ensemble.
C’est ainsi que quelque temps + tard dans un certain 4X23, le caskett, attiré miraculeusement par la chaleur du bois de Mme port’ouverte, a gratifié ses fans d’une scène de making-out d’anthologie sur une porte !
2X24 ou « espion d'un jour dans le cerveau d'un/e autre»: petit prologue, puis scène finale, en partant de la salle de repos jusqu’à la fin,
Conseil : pour bien suivre, revisionner la scène finale du 2X24 juste avant !
IMPORTANT : en italique et en gras = les pensées des locuteurs
Directeur d' « espion d'un jour » : ah, Mr Castle, je vous attendais !
Castle : bonjour ! Merci de me consacrer du temps. En surfant sur votre site, j'ai vu tout à l'heure que pour un supplément financier, vous proposiez votre toute nouvelle formule qui a l’air fascinante, et je souhaiterais en bénéficier.
Directeur : oh, mais nous serions bien entendu ravis de vous avoir comme illustre client ! Je vais vous expliquer les modalités, puis je vous conduirais vers notre responsable technique.
20 minutes plus tard, tous 2 entrent dans le laboratoire.
Mister Geek, technicien d'" Espion d'un jour" : Mr Castle, pendant que vous discutiez finances, je vous ai préparé tout le matériel nécessaire afin que vous puissiez vivre cette aventure inédite. Vous devrez juste au préalable insérer ces petites puces dans votre oreille droite, vous munir de ce casque ultra fin indétectable sous vos cheveux, et appuyer sur ce bouton à chaque fois que vous désirerez lire dans les pensées de l'autre ; attention, c’est une technologie encore très fragile, alors si vous entendez des bruits parasites, vous devrez vite l’éteindre. Une femme vient de l’essayer juste avant vous et ça marchait parfaitement bien.
C : Parfait, merci beaucoup, j'ai hâte de voir comment marche cette petite merveille de technologie !
Le lendemain, lors du pot organisé par ses amis au 12th.
C : Bon, il est temps d'essayer ce machin. Bzz (bouton actionné)
Espo : J’dois vous dire un truc, vous allez nous manquer, Castle.
C , ému: vous aussi vous allez me manquer !
Espo : Mais au moins j'aurais + de temps le soir pour flirter avec Lanie !
C : ohoooo, soit il a dit ça tout haut, soit ce machin marche vraiment…
Ryan : vous n’allez pas reprendre le percolateur ? si vous faites ça, j’vous tue !
C : ah, c’est bon à savoir ! Jamais j’oserais vous faire une chose pareille, voyons !
Lanie : Je tiens à dire que le café de la morgue est vraiment dégueu ! mmm, Javi est craquant quand il est détendu, j'en ferais bien mon quatre- heures...
C : waouh, ce truc marche vraiment, c’est génial ! Ouvre bien tes oreilles, Ricky, y a des futurs paris à gagner …
Montgomery, souriant largement : j’espère que votre départ ne va pas faire chuter notre taux de réussite ! Mais pas fâché de bientôt ne plus avoir le maire sur le dos une fois que vous serez parti !
C : pauvre capitaine, j’aimais bien lui casser les pieds !
Kate rentre dans la pièce.
C : oh, regardez qui s’accorde une petite pause ! comment fait-elle pour éclairer la pièce à elle toute seule ?
B : vous voyez que je n’pense pas qu’au boulot, Castle ! Quoique quand vous serez parti, ça risque de recommencer…
C : tu parles, vous en profiterez pour roucouler avec Demming, oui ….
Lanie : madame dort avec son arme de service sous son oreiller !
C : je sais ! Qu’est-ce que je donnerais pour être à la place de cet oreiller….
Beckett : et si tu savais où je cache mes menottes... ne pars pas, Castle
C : oh oui, Beckett, j’aimerais vraiment savoir !... Attendez, quoi ? J'ai bien entendu ?
B : flûte, j’ai les mains moites… mais s’ il n’était pas aussi craquant, …
C : évidemment que je suis craquant ! ….euh... VOUS me trouvez craquant ?
B : allez, t'es une grande fille, vas-y, « ne partez pas », c'est facile à dire, non ?
C : attendez… y a de l’eau dans le gaz avec Demming ?
B : Castle, vous avez une seconde ?
C : oui, bien sûr ... et même toute l’éternité, si vous voulez, Beckett !
Les bros + Lanie : oho, Beckett a son air tout gêné, quelque chose se trame, et on va être aux premières loges ! Faudra ressortir nos dernières mises du pari…
C et B sortent de la salle
C : Il faut que je sache pour Demming ...
Beckett , en même temps: allez, il est temps que j’essaie ce truc, c’est le moment ou jamais ! Bzzz (bouton actionné)
C : hein ? essayer quoi ? Mais de quoi elle p…CRRRRRRRRR noooooon, pas maintenant ! Il faut que je ….CRRRRRRR ah, maudits parasites, zut de zut. Bzzz(bouton désactivé). Il faut que je sache, je réessaierais + tard.
B : réessayer quoi ? Mais de quoi il p….ah, les parasites ont disparu, ouf ! C’est parti, courage, ma fille !
C : Que se passe-t-il ? arggg, J’aimerais tellement savoir ce qu’elle pense, là maintenant…
B : ah bon ? Eh bien je vais vous le dire alors : Il se passe que j’ai une furieuse envie de vous coller contre la vitre et de vous embrasser, là, devant tout le monde ! Non non non, ressaisis-toi ! …Je sais que je ne suis pas le genre de personne qu’on cerne facilement, parce que…j’ai tendance à garder ce que je ressens pour moi.
C : oh, elle est trop mignonne ! Moi aussi, vous savez, et heureusement, parce que là, j’ai des images pas très catholiques qui me viennent vous concernant, impliquant un livre de Nikki, une baignoire, un verre de vin et vous complètement ….focus, Rick !
B : Non, pas focus, pas focus, continuez votre pensée ! J’ y crois pas… alors ce que Lanie insinuait sur notre connexion n’était pas si dingue en fait, j’avais exactement la même idée en tête, sauf que c’est toi qui étais complètement… Mais je voulais que vous sachiez que l’année qu’on vient de passer à travailler côte à côte… a vraiment été très agréable… et elle sera encore plus exceptionnelle si je me lance
C : oui, pour moi aussi. Qu’est-ce que vous êtes belle, et encore plus quand vous êtes vulnérable !
B : Je veux bien être vulnérable avec toi, Castle. Hého ! Il t’entend pas, là, alors jette-toi à l’eau !... En fait ce que je voulais vous dire c’est que …
C : Oui ? un geste de vous, Kate, et je vous montre mon monde
B : ah ? euh, d’accord ! Mais là tout de suite, c’est pas à votre monde que je pensais, mais plutôt à votre….
Gina : Richard ? T’es prêt ?
B : mais qu’est-ce qu’elle vient faire là ? Elle ne voit pas qu’on est en plein brain-flirting, là ?
C : xw*pthfj*zoerlh...Gina... aussi ponctuelle qu'une horloge suisse… et aussi douée pour casser l’ambiance….ah, salut Gina ! Beckett, vous vous souvenez de mon ex-femme ?
B : oui, on s’est eu au téléphone l’autre jour, vous avez enfin réussi à l’attraper ?
G : oui, parfc'est un sacré garnement crrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
B : ah, fichus parasites
G : bon, on crrrrrrrrrrrrrrr embouteill crrrrrrrrrrrrrr
B : bizarrement, ça ne me gêne pas de n'entendre qu’1 mot sur 3 venant de cette femme…..
C : dans les Hamptons
B : pour le week-end ? Et voilà , t’as raté le coche, ma vieille
G : non, en fait crrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
C : on pouvait dire ça, mais, hier soir au téléphone, on a discuté
B , interloquée: je rêve où y a que Gina qui est parasitée ? Hahaha, il est foutrement intelligent cet appareil, il brouille les nuisibles ! Par contre Rick a l’air heureux et lui fait son sourire craquant…c'est pas bon ça….interviens, vite vite ! Pardon, c’est que… je croyais que vous ne vous entendiez pas, tous les deux
G : oui, on crrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr bon vieux temps
B : c’est ça, cause toujours, tu m’intéresses !
C : oh oui ! enfin, sans les disputes incessantes ! J’espère quelle arrivera à me faire sortir Kate de la tête
B : sortir de ta tête ? comment ça, sortir ? Mais je veux pas ça du tout, moi !
C : alors, désolé, on vous a coupée, vous vouliez me dire quelque chose ?
B : oui je voulais vous dire c’est fini avec Tom, et j’accepte de venir en we aux hamptons avec toi sans Gina dans le paysage… passez de bonnes vacances ! ah bah bravo, Kate, quel courage !
C : pourquoi j’ai le sentiment de faire une énorme boulette, là ? Je suis sûr qu’elle voulait me dire quelque chose d’important…vous aussi ! Et, comme vous l’avez dit tout à l’heure, c’était vraiment très agréable, c’était super ! Pfff, j’aurais beau essayer, je n’arriverais pas à vous sortir de mes pensées
B : oui, c’est vrai ! Heureusement que Gina n’entend pas ça, elle en ferait une crise d’urticaire aigüe ! Bon, donc j’ai tout un été pour continuer à hanter l’esprit de Rick et à l’éblouir à son retour….
C : bon, au revoir, Kate !
C, lui serrant la main : Là, c’est moi, caressant doucement ton visage, et t’attirant pour un long et tendre baiser
B : ooooooooooooooh, je ne suis plus qu’une flaque, là…. il n’est pas écrivain pour rien….et là c’est moi, te rendant ton baiser virtuel, en passant ma main dans tes cheveux… oh pas mal, il faudra que je m’en souvienne pour quand on sera vraiment ensemble !
Rick et Gina s’en vont
B : on s’voit à la rentrée ?
C, se retournant : on s’voit à la rentrée
B : merci petit engin, grâce à toi je sais que Rick ne part avec Gina que par dépit. A moi de le reconquérir….
Commande de WNBA : post épisode 5X06 « the final frontiere »
Nb : Je me suis inspirée de toute la scène dans le vaisseau, au tout début de l’épisode.
Pendant leur nuit marathon, Castle, bien que complètement excité par le déguisement que porte sa muse, n’a pas tenu plus de 20 minutes devant les épisodes ringards des aventures de Nebula9, et a sombré dans un sommeil profond…..il rêve, et se retrouve capitaine de vaisseau SF.
Lieutenant : Capitaine, le scanner longue portée a établi un nouveau contact ; le vaisseau Rationalika se rapproche rapidement, que faisons-nous ?
Capitaine Castle, chef du vaisseau "le Fantasyland " : Oracle, quelles sont les chances de survie de l’équipage si on lance l’attaque ?
Oracle : notre système de défense par le rire et l’imagination risque d’être désactivé, le vaisseau alien a une puissance supérieure de domination des esprits. Chances de survie : 1 sur 1000
Capitaine Castle : c’est une prédiction pleine d’espoir ! Agent K, avez-vous fait votre enquête sur l’équipage ?
Agent K : oui capitaine, je vous fais mon rapport : nous avons le groupe de commandement constitué d’une chef redoutable, et de deux bras droits très flippants: le chef des Permultoriens, petit groupuscule très efficace qui ne rit jamais, et la chef des Gatesoriens, tribu de femmes hyper-rationnelles qui n’ont pas leur pareil pour mater et terrifier les esprits farfelus et créatifs.
Capitaine Castle, regardant les photos des 2 ministres: bigre, ils me terrifient déjà… qu’en est-il de l’équipe de défense de leur vaisseau ?
Agent G : ce sont des soldats super-entraînés, menés par un ex militaire, J. Esposito qui leur fait faire 1000 pompes et leur fait réciter ses 3000 règles sur la loyauté avant le p’tit-dèj. Les traîtres sont immédiatement éliminés de son champ de vision.
Capitaine Castle : A quoi reconnaît-on ces soldats, et quel est leur point faible ?
Agent G : ils ont une démarche de cowboys et disent « hey, bro » toutes les 2 secondes. Mais attention, c’est une tactique pour mieux tromper l’ennemi !
Capitaine : …leur capacité de résistance aux théories casteliennes ?
Agent : optimale. Je ne connais pas d’agents plus résistants.
Capitaine : flûte…ils doivent bien avoir des membres corruptibles…..et l’équipe de surveillance ?
Agent K : la tribu des Ryaniens, hyper rodée en techniques d’investigations et d’approche circonspecte.
Castle : un point faible ?
Agent K : malgré leur rationalisme, ils lisent en cachette des bouquins sur le surnaturel, et aiment le monde des farfadets et des trolls.
Capitaine Castle : leur signe de reconnaissance ?
Agent K : ils boivent du lait au miel…beurk !
Capitaine Castle : bah quoi ? j’mange bien des guimauvelettes, moi ! …leur point faible ?
Agent K : là, il y aurait peut-être une faille à exploiter : ils sont plutôt crédules, et leur résistance aux théories casteliennes est très faible.
Capitaine : ahhhhhh, enfin une bonne nouvelle ! Et la chef du vaisseau ?
Agent G : alors là, plus rationnelle, tu meurs. Caractère de battante, qui n’a pas froid aux yeux ; elle intimide même la tribu des Espositiens qui lui vouent une loyauté sans faille. Il faut dire que ce ne sont pas ses seuls atouts, je vous télécharge sa photo...
Capitaine Castle, bouche bée: …. Fzw**xjbg #ç yz2ànb *gloupssssssssss…euh, c’est elle, la chef de vaisseau ?
Agent G : affirmatif, capitaine
Capitaine Castle, subjugué : pas possible, la femme de mes rêves !
Agent K : je ne comprends pas, capitaine
Capitaine Castle : bien sûr que vous ne comprenez pas, vous n’êtes pas connecté comme moi au royaume des fées et des arcs en ciel !……il faut que je la rencontre absolument
Agent k et G : quoiiiiiiii ? Impossible, ils vont nous pulvériser et anéantir Fantasyland avec leur logique implacable
Capitaine Castle, touché par un éclair de génie (traduction : yeux exorbités + sourire niais) : pas si on se rencontre ! Tout excité …Vous ne comprenez pas ? sautillant partout, les yeux plein d’étoiles… C’est mon YIN !
Agent K et agent G se regardent sans comprendre
Capitaine Castle : mais enfin, les gars, Yin-Yang c’est l’harmonie, alors que Yin-Yin c’est…le nom d’un panda ! Regardez ses yeux : ...je suis sûr que cette femme est un mystère que je n’arriverais jamais à résoudre….Grâce à elle, l’union de la fantaisie et du rationalisme va pouvoir se faire ! Pas de temps à perdre, lieutenants, rentrez en contact
Lieutenant, paniqué : mais capitaine, on n’a jamais fait ça… et si on ne lance pas la distorsion à temps, toute la planète Fantasyland sera perdue...
Capitaine Castle : ...et si je ne rencontre pas le chef Beckett, c’est MON humanité qui sera perdue ! Envoyez ma requête au chef Beckett, c'est un ordre
Lieutenant : C’est fait….voilà leur réponse, capitaine : le vaisseau Rationalika nous torpille et nous envoie les sbires Espositoniens
Capitaine Castle : activez vos boucliers et tous à vos postes de combats. Envoyez de suite nos missiles de gaz hilarant et de coussins péteurs ; Postez tous nos soldats avec les pistolets Blastertoriens devant le vaisseau, et dites-leur de viser sous la ceinture, ça peut causer des dommages irréversibles, (rire idiot) je sais car j’en ai essayé un une fois….
Lieutenant : impact dans 9 secondes, 1, 2,….
Capitaine Castle : position du chef Beckett ?
Lieutenant : elle s’est téléportée, capitaine, elle arrive
Capitaine Castle : lancez la distorsion éclair
Lieutenant : distorsion dans 3, 2 , 1…
Tous les membres de l’équipage sont attitrés brutalement vers le fond de leur siège…
Lieutenant : distorsion réussie
La porte de la cellule de commandement s’ouvre, laissant apparaître le chef Beckett
Capitaine Castle : chef Beckett, bienvenue !
Beckett : trêve de bavardage, désormais, ce vaisseau est sous mon commandement !
Capitaine Castle : euh...pas tout à fait ! D’ailleurs, je vois que vous êtes déjà folle de moi !
Chef Beckett : dans vos rêves !
Capitaine Castle, adoptant sa posture de séduction (traduction : sourcil arqué et grand sourire niais) : ça tombe bien, vous y êtes, all my dreams come true !
Le premier dvd de Nebula 9 se termine, Beckett se retourne et trouve Castle endormi, un large sourire et un filet de bave aux lèvres. Elle le secoue doucement.
Castle se réveille et la regarde béatement : « quand je te disais que tous mes rêves se réalisent ! »
Commande de ae : 2X05 (« L’auteur qui m’aimait »), la scène de la réception pour la sortie "de vague de chaleur"
Nb : Je me suis amusée avec le personnage de James Bond évoqué dans l'épisode, et avec le sentiment de jalousie entre nos 2 héros. J'ai essayé de faire un parallèle avec la scène finale du 3X21 avec Alex Conrad.
Après avoir vérifié que personne ne la regardait, Beckett s’approche du présentoir et regarde avec intérêt la première page de « Heat Wave » : « to the extraordinary Kate Beckett and all my friends at the 12th precinct »
Castle : Salut !
Becket : Salut ! euh j’étais juste en train de lire la dédicace et…merci, c’est très gentil, Castle !
Castle : Je le pense, vous êtes extraordinaire !
Castle prenant son sourire aquafresh3, et se redressant comme un « i » : et… il n’y a pas de « Castle », non, ce soir je suis Bond… Richard Bond !
Beckett, amusée : Vraiment ? J’aurais plutôt dit « pieds »
Richard-Bond, levant un sourcil : euh…pardon ?
Beckett, s’approchant tout près : pieds…. Casse-pieds
Richard-Bond, reculant : ahahahaha, très drôle ! Dommage, je pensais trouver ici ma prochaine Bond girl …
Beckett : Tiens donc ! Et comment devra-t-elle être ?
Castle, se rapprochant de Beckett tout en parlant : Elle devra être très maligne, très habile, très envoutante, extrêmement compétente, et… assez garce !
Beckett lève un sourcil, attendant la suite avant de dégainer
Castle-Bond : Elle aura aussi un revolver rangé a une place …stratégique
Beckett, souriant : mmmmmm, ça me rappelle vaguement quelqu’un
Richard-Bond : ah oui ?
Beckett, se rapprochant à son tour progressivement: remarquez c’est normal, vu que son partenaire est énervant, agaçant, narcissique, égocentrique,….un vrai crétin qui face à un cadavre est heureux comme un gamin de 9 ans devant un magasin de bonbons
Richard-Bond : mmmmm, avouez que vous l’aimez bien, ce crétin !
Beckett : dans vos rêves !
Richard-Bond ignorant sa remarque, tout sourire : en fait, je suis envoyé en mission secrète ce soir par le MI6
Beckett, levant les yeux au ciel : ben voyons !
Richard-Bond, prenant le livre et le pointant du doigt : oui …voyez-vous, l’auteur de ce roman-là, en + d’être très beau gosse –mais moins que moi-, a un talent bien trop sous-exploité à mon goût.
Beckett : pfff, mais bien sûr !
Richard-Bond : oui, ce prétentieux hésite beaucoup à travailler pour moi, il aurait paraît-il déjà une muse qui l’inspire beaucoup.
Beckett, flattée : il vous a dit ça ?
Richard-Bond : Oui, mais je sais combien il aime les joujoux alors quand je lui montrerais toute ma panoplie, il me mangera dans la main et la laissera tomber…
Beckett, piquée au vif : je vous prends au mot, c’est entre vous et moi, Bond !
Richard- Bond, tout sourire : ohooo, un match ? Vos atouts contre les miens ? ok, c'est parti….lance-grappin !
Beckett : sex appeal
Richard-Bond : sac auto-destructeur
Beckett : son unique partenaire en brain-sharing
Richard-Bond : porte-clés taser
Beckett : assez mystérieuse pour le fasciner toute sa vie
Richard-Bond : stylo-bille explosif
Beckett : un tatouage…stratégiquement placé
Richard-Bond : siège passager éjectable
Beckett : j’ai droit à mon café gratuit tous les matins
Richard-Bond : bague à ultrasons brise-verre
Beckett : hyper-flexible
Richard-Bond : drone-araignée télécommandé
Beckett, le nez collé à celui de Castle et avec un air de défi : sprinteuse en talons hauts, HA !
Richard-Bond, la regardant de façon sexy : mmmmm, touché ! Effectivement, cette femme a beaucoup d'atouts...
Beckett, l'air triomphant : effectivement ! Vous pouvez aller vous rhabiller, maintenant !
Richard-Bond, se redressant, tout fier : Eh ben dites donc, vous l’aimez tant que ça, votre écrivain ?
Beckett, revenant à la réalité, se met sur la défensive : pfff, mais pas du tout !
Richard-Bond, sourire satisfait : alors, vous pensez que je devrais surenchérir ?
Beckett : je…. ok, vous avez gagné, je ne veux pas vous partager, Castle
Richard Castle : je trouve ça…mignon ! A partir de maintenant, lieutenant, je serais votre unique writer-boy !
Beckett sourit timidement, mais son portable sonne.
Beckett : Beckett ! Ok, on arrive…..marquant un temps d'arrêt...alors, vous venez, writer-boy ?
Castle, tout content, laisse ses invités et trottine derrière elle : alors comme ça, vous être hyper-flexible ?
Beckett sourit
Castle : ...... et euh… ce tatouage stratégiquement placé… vous pouvez me le dire, maintenant, hein !
Beckett : ah, ça, c’est un secret entre Bond et moi, Castle !