HypnoFanfics

     PREMIERE FOIS
Dans ma vie, j’ai connu beaucoup de premières fois, et celle d’aujourd’hui j’aurais préféré ne jamais la vivre. Je me trouve au cimetière et je suis en train d’enterrer l’homme que j’aime. J’ai enterré plusieurs de mes amants déjà, mais j’aimais un que j’ai aimé de cette façon. Pour les autres, j’aurais donné ma vie, mais pour lui, et ce pour la première fois, j’ai voulu vivre. Je me suis accroché à la vie comme jamais auparavant, et ce fut superbe.

Autour de la tombe, il y a Gwen, en larmes, dans les bras de son mari, tenant la main de sa cadette, Lisa, tandis que Leïla, son aînée, est à mes côtés. Gwen a abandonné Torchwood depuis 3 ans, trop de dangers - elle ne voulait pas de cette vie pour ses filles, mais elle avait quand même  gardé le contact. Il  y avait  aussi Andy qui faisait partie de la nouvelle équipe. Il avait bien fallu continuer, et à deux c’était impossible. Tayla, notre informaticienne est là aussi, avec son fiancé - le mariage est prévu dans deux mois- qui n’est autre que Jake, un nouveau membre de l’équipe.
Le prêtre est en train de prononcer l’éloge funèbre, que je n’écoute pas. Je me rappelais cette nuit-là, celle qui m’avait enlevé mon aimé. Nous avons été appelés pour une chasse aux Weevils, et, comme d’habitude, nous y somme allés tous les deux. Je me souviens de ce baisé qu’il m’avait donne avant de sortir, je le lui avais rendu sans me rendre compte que c’était sûrement le dernier. Une affaire comme on voit tous les jours, nous avions arrêté le Weevil quand le propriétaire, nous prenant pour des cambrioleurs, tira. L’espace d’un instant, j’espérais presque que c’est moi ou bien le Weevil qui avait été touché, car j’ai entendu la balle ricocher. Lorsque j’ai ouvert les yeux, je l’ai vu étendu, là, se vidant de son sang , je ne me rappelle pas avoir intimé l’ordre de prévenir une ambulance au propriétaire, tout ce dont je me souvienne , c’est la main tremblante de Ianto dans la mienne, et mon pantalon trempé par son sang, je le suppliais de rester, de ne pas me laisser , pas si tôt, pas aujourd’hui , alors qu’il m’avait fallu 5 ans avant que je me décide enfin à m’engager, en lui demandant de vivre avec moi. Il a sourit, à ma dernière phrase juste avant de me murmurer un « je t’aime »- le premier et cela me déchire le cœur de l’admettre, le dernier.
Tout le monde avait déserté les lieux, lorsque je sortis de mes pensées et c’est là que je me permis de verser ma première larme, vite suivie de toutes ses sœurs. Je réalisai que nous avions vécu ensemble durant 7 ans et que pas une seule fois je ne lui avait dit à quel point je tenais à lui.
Gwen : « il le savait ».
Je ne l’avais pas entendue arriver. Mais elle avait  raison, Ianto était intelligent.
Gwen « et ça se voyait comme le nez au milieu de la figure ».
Elle avait encore raison, pourtant avant de partir, je lâche dans un murmure « je ne t’oublierai jamais même si je vis des centaines, des milliers, voire des millions d’années, je te le promets ».
Je n’avais pas le droit de lui promettre que j’allais passer ma vie avec lui, mais cette promesse-ci, je pouvais la tenir.
FIN

Note de l’auteur : Encore un grand merci a chrismaz66 pour son aide je vous souhaite une bonne lecture ça se passe après la saison 3 et journey’s end.

               On se relevera

Il aura fallu mettre le monde à feu et à sang pour pouvoir repartir sur de nouvelles bases. Il aura fallu essuyer nos larmes pour continuer à avancer. Se relever après être tombés à genoux. Oublier que l’on a tout perdu…Car personne ne survit sur un champ de bataille. Ni le voleur, ni l’escroc, ni l’homme le plus courageux de la Terre. Pas même celui qui aurait mérité de vivre entouré de sa famille.
Aujourd’hui à Cardiff, chacun essaye de panser ses blessures et continuer à avancer.
HUB-04:00
Jack est assis, sur le toit du hub, lorsqu’une tasse de café entre dans son champ de vision.
IANTO : je me suis dit que tu en aurais besoin.
JACK : merci.
Ils restent longtemps, assis, sans se parler. Les pieds dans le vide, Jack sirote son café et Ianto, est assis, les jambes repliées sur son torse, la tête contre ses genoux.
IANTO : comment fais-tu pour supporter tout cela sans t’effondrer?
JACK : je m’effondre, je ne suis pas un surhomme …seulement j’arrive à me relever, jamais tout seul mais bon…personne n’est parfait, pas même moi.
IANTO : tu veux bien m’aider…à me relever…à tenir,…et à ne pas rester dans mon lit quand bien même je n’aspire plus qu’à cela?
JACK : oui, bien sur, sauf…pour le lit…je serais plutôt enclin à t’y retenir, dans mon lit. (Sourire)
Après un moment de silence où chacun remet de l’ordre dans ses pensées, Jack reprend, d’un ton plus sérieux.
JACK : j’ignore ce que j’aurais fait si ça avait été toi…Je ne dis pas que Tosh et Owen comptaient moins, juste que ce sont tes caresses qui m’aident à m’endormir le soir…L’odeur de ton café qui me tire de mon lit le matin,…le fait que tu choisisses de me faire un chocolat chaud ou un café selon mon humeur , que tu parsème mon chemin de petits mots doux lorsque je me sens mélancolique, et cela me redonne le sourire. Tu comptes énormément pour moi (il hésite), et…
Il ne put finir sa phrase, Ianto le fit taire en l’embrassant.
JACK : whouah !! Si j’avais su que cela te mettrait dans cet état, je l’aurais fait depuis longtemps …aie !!!
IANTO : c’est pour t’éviter de dire des Co,…ies !
JACK : non, sérieusement, je suis heureux qu’on ait pu construire une histoire sur des bases aussi…
IANTO : malsaines?
JACK : en fait, je dirais plutôt « instables », mais c’est toi qui l’as dit.
IANTO : c’est la vérité, je ne connaissais même pas ton vrai nom, et pour toi je n’étais qu’un traitre et un menteur, donc…
JACK : ne sois pas si défaitiste ! Si jeune et déjà si déprimé ! (soupir de lassitude), ah je vous jure…les jeunes de nos jours! (style)
IANTO : (avec un sourire malicieux) mais non, c’est toi qui es trop vieux, c’est tout!
JACK : j’ai l’air vieux à côté de toi, mais ce n’est pas de ma faute s’ils m’attirent dès le berceau!
IANTO : c’est en pleine figure que je vais te l’envoyer, mon berceau!
JACK : je vais vraiment finir par appeler « SOS mari maltraité ».
IANTO : fais-le, moi j’appelle la Police et on verra ce qu’elle a à dire sur ta façon de traiter tes employés!
JACK : quoi? (l’air innocent)…je n’en ai tué qu’un seul!
IANTO (d’un sourire amusé) : je parlais de harcèlement, mais en effet je pourrais y ajouter le meurtre!
JACK : (sourire sadique) : tu vas voir ce qu’il te fait, le « harceleur ».
IANTO (il recule): tu ne m’approche pas! Reste où tu es…ha Jack!
Avant même que Ianto ne puisse réagir, Jack l’avait déjà couché sous lui, et l’embrassait dans le cou.
IANTO : ha hihihi…Jack, non s’il te plait, arrête, tu sais très bien que je suis chatouilleux à cet endroit.
JACK (haussant un sourcil): et pourquoi crois-tu que je le fais?  
-Mon nom est Ianto JONES, j’ai perdu deux de mes collègues hier, deux membres de ma famille. Mais j’ai gagné mon aimé, alors à Tosh et à Owen, je vous souhaite le repos éternel.
-Mon nom est Jeremy CLAW, alias Jack HARKNESS, j’ai perdu deux parties de mon âme hier, deux morceaux de mon cœur, deux êtres si chers, mais j’ai enfin pu lui dire que je l’aimais, même à demi mots, alors à Tosh et à Owen, j’espère que là où vous êtes, la joie vous entoure tous les deux.
Aujourd’hui le monde fut mis à feu et à sang, et pourtant les rires qui percent le toit de cet édifice prouve que rien n’est jamais perdu.

Note de l’auteur : Avec une idée aussi farfelue que d’habitude comme le dit Chrismaz66 je reviens avec une OS qui j’espère vous fera rire.

Aujourd’hui, ce n’était pas un jour comme les autres. Pas parce qu’ils avaient vu des aliens - ils en voyaient tous les jours- pas parce que leur chef était mort deux fois durant la seule journée d’hier et pas, non plus, parce qu’ils avaient déniché un engin alien qui depuis hier justement, n’arrêtait pas de biper. Non, aucune de ces options, aujourd’hui était un jour particulier car, pour la première fois de sa vie, Ianto Jones était en retard. Et de beaucoup, il avait en fait une bonne heure de retard!
Cette absence inquiétait Tosh, Gwen et Jack. Owen, quant à lui, se sentait un peu frustré par la cuite qu’il s’était payé hier au soir, et que le café magique d’Ianto aurait pu aider à effacer.
TOSH : vous croyez qu’il lui est arrivé quelque chose de grave?
JACK : sûrement, tu te rappelles la fois où il est venu travailler alors qu’il toussait comme un tuberculeux en phase terminale?
GWEN : Jack, tu es Censé dire « non je suis sûr qu’il a juste eu un empêchement ».
JACK : je n’aime pas mentir, et pour être franc, je suis inquiet, et j’aimerais pour une fois ne pas être le seul.
Avant que Gwen ne puisse épiloguer sur son honnêteté potentielle la porte coulissante s’ouvrit sur une jolie femme à la grande satisfaction d’Owen. Contrairement au reste de l’équipe. Elle avait de longues jambes, des hanches étroites, une généreuse poitrine et des traits fins et doux. Elle portait une robe blanche, assez courte, et des baskets noires.
FEMME : Jack, Trouve immédiatement une solution !!!!! Je m’endors avec mon corps et me réveille avec …ça !!! (Elle pointe sa poitrine du doigt)
JACK : on se connaît? Non, car je n’aurais jamais pu oublier une voix comme la vôtre…
FEMME : Jack, c’est MOI !
JACK : moi qui?
FEMME: Ianto !!!
JACK : je ne suis sans doute pas la personne la plus physionomiste du monde, mais je l’aurais remarqué si mon petit ami avait été une femme
IANTO : je me suis réveillé dans cet état, et par pitié, Owen, arrête de me regarder comme ça!
OWEN : comment connaissez-vous mon nom?
IANTO : peut-être parce que je travaille avec toi, gros bêta!
TOSH : prouvez-nous que vous êtes bien Ianto.
IANTO : Tosh, tu aimes bien le chocolat blanc et pour ton anniversaire, je t’avais offert un abonnement pour une chocolaterie. Owen, pour ton anniversaire, j’avais installé une ligne directe internet pour que tu puisses voir tes « films » sans saturer notre ligne. Gwen, quand tu es triste tu déteste boire du café, c’est pour cela que j’ai toujours une boite de sachets de thé ici. Jack, tu as une cicatrice derrière l’oreille qui te donne des frissons à chaque fois que je…
GWEN : c’est bon, on a compris! Oh, mon dieu, Ianto, dans quelle me… tu t’es encore fourré.
OWEN (s’étouffant presque de rire): que tu te retrouve marié à un Daldyn, passe encore, mais là tu as atteint des sommets !
IANTO : arrête de rire !!!! Et trouve une solution, je ne resterai pas une minute de plus dans cet état.
JACK : ne t’inquiète pas, c’est à cause de l’inverseur de particules subatomiques qu’on a trouvé hier, tout devrait rentrer dans l’ordre d’ici 2 à 3 heures.
IANTO : 2 ou 3 heures??? Hors de question, je VEUX MON CORPS !!!
OWEN : si tu pouvais cesser de hurler, j’ai mal au crâne.
IANTO (il éclate en sanglots): …je ne peux pas …vos hormones, les filles, c’est horrible!
JACK : allez, viens là (il le…la prend dans ses bras).
IANTO : Jack, je te jure que si ta main descend encore je la coupe!
JACK : mais réfléchis, on pourrait s’amuser, faire…
Avant même qu’il n’ait pu finir sa phrase, sa joue rencontra violemment la main de Ianto.
JACK : aie, je suis sûr que celle-ci je ne l’ai pas méritée.
TOSH : oh que si, tu l’as méritée, Harkness, le pauvre est dans une situation délicate et toi tu ne penses qu’à ta petite personne.
JACK : elle n’est pas si « petite », et il faut être deux pour le faire, ce qui implique que je ne pensais pas uniquement à moi.
GWEN : tais-toi, ou la prochaine gifle, c’est moi qui te l’envoie. Allez viens, Ianto, on va t’expliquer quelques trucs qui devraient t’aider à t’en sortir le temps que tu retrouve ton apparence normale.
OWEN (qui les rattrape en courant): Attendez, Ianto, ta robe, où l’as-tu trouvé? Je savais que tu étais louche…
IANTO : c’est une de mes ex qui l’a oubliée chez moi et j’étais trop pris par le travail pour penser à la lui rendre.
TOSH : et ne dis pas qu’il est louche, je trouve que Ianto est le plus viril d’entre vous.
GWEN (relevant la tête d’un air hautain, puis s’en allant avec les autres) : même habillé comme ça!
Quelques instants plus tard, le silence du Hub fut brisé par deux voix qui murmurèrent « les femmes, je vous jure! »

Note de l’auteur : Désole s’il y’a des fautes mais je devais le poster pour remonter le moral des Janto addict.

PDV Jack :

Trois mots, il a fallu trois mots pour changer ma vie, pour faire tordre mon estomac comme jamais auparavant, on m’a dit ces trois mots tellement de fois pourtant alors qu’il était debout devant moi, dans mon bureau, c’est trois mots ont pris une toute autre signification parce que c’est lui qui les dis, parce que c’est moi qui les entend et parce que ça ne m’as jamais fait autant mal. « C’est fini »il a juste fallu qu’il dise ça pour que j’ais l’impression  que mon cœur se déchire sans que je n’ai le moindre indice sur le pourquoi.

Jack : Pourquoi ?

Ianto : Jack je t’aime, je t’aime comme il ne m’a jamais été donné d’aimer quelqu’un, et c’est entrain de me détruire.

Avant que je  n’aie eu le temps de répliquer Ianto avait déjà quitté mon bureau, me laissant seul avec  l’impression de suffoquer, de ne plus pouvoir respirer. « Surement la culpabilité »m’étais-je  dit pourtant je savais que je me mentais a moi-même, mais je ne pouvais pas faire ça, je m’étais promis de ne plus le refaire ça faisait trop mal après…

Gwen : Jack ? Il c’est passé quelques choses ? Ianto et sorti comme une fusé.

Jack : Non rien Gwen retourne travailler.

Gwen : (S’asseye au bord du bureau…a sa place a lui…) Jack parles moi !

Jack : Gwen retourne travailler c’est un ordre !!!

Gwen : C’est bon ! Mais si tu te décide à parler je suis la.

Voilà comment ça a commencé, mon enfer personnel, mon paradis s’étais transformer en enfer, parce que la nuit quand je me réveillais m’étant encore une fois souvenu de cet année que ne fut jamais je ne pouvais pas le serrer dans mes bras essayant de tout mon cœur d’effacer l’image des yeux de mon Ianto me fixant, vide après que le Maitre lui ai fait endurer toutes les formes de tortures possible, parce que je ne pouvais plus oublier que j’avais perdu des personne aujourd’hui en me plongeant dans ses yeux quand il m’apporter mon café et son sourire en bonus, parce que je ne pouvais me distraire, moi qui ne dore presque pas en le regardant dormir. Pendant une semaine ça dura, me cœur se déchirait à chaque fois qu’il franchissait la porte pour partir, lui qui généralement passait ses nuit avec moi. Je sais que les autres avait remarque les changements, Owen étais surpris de voir Ianto sortir en même temps que lui, Gwen avait vu le regard vide qu’on abordait tout les deux, et Tosh même si je crois qu’Ianto lui en avait parlé, avait remarque que le matin elle retrouvait tout les enregistrements, qu’Ianto prenait généralement le temps d’effacer le matin pour couvrir nos ébats. La porte de mon bureau qui claque contre le mur me sortis de mes pensées.

Jack : On dit frapper a la porte, pas frapper la porte…des problèmes de compréhension ?

Owen : Non toi par contre…

Jack : Ce qui veut dire ?

Owen : Jack je suis ton  médecin mais aussi ton ami alors je jure que si tu ne sors pas prendre l’air je te mets Gwen sur le dos !

Jack : En quoi ça te concerne en temps que médecin ?

Owen : (S’énerve doucement mais surement)  Tu ne dors pas les cernes sous tes yeux le prouve, tu ne mange pas, pas même avec nous et je suis sure que lui non plus, de plus on croirait que vous êtes tout le temps au bord des larmes et j’ai vu des ambiances plus joyeuse a des enterrements. Alors maintenant Harkness tu sors et tu nous ramène le vrai Jack Harkness.

Je suis sorti et j’ai fait comme le vrai Jack Harkness ferait, j’ai flirté, j’ai dragué et j’ai trouvé un jeune brun, les yeux bleu-Ethan-et on a commencé à discuter, des banalités pourtant je n’arriver pas à détacher mes yeux des siens parce qu’ils me rappelaient tant ceux d’un autre, mais je suis resté jusqu'à se qu’il dise une phrase qui fit s’envoler des papillons dans mon ventre.

Ethan : Il paraît que je  fais le meilleur café de l’univers.

Et la j’ai compris que même s’ils avaient les même yeux, ceux d’Ethan n’avait pas cette expérience, cette souffrance qui me donnait envie de le prendre dans mes bras, car même s’ils avaient la même couleur de cheveux ce n’est pas dans ceux d’Ethan que j’aimerais passer mes doigts pour les années avenir, parce que même s’ils avaient la même carrure Ethan n’avait surement pas les cicatrices d’Ianto, qu’il avait eu durant son travaille pour Torchwood, car même si Ethan est un garçon très gentil se n’est pas pour lui que je ressens ce que je ressens maintenant

Jack : Désolé, je ne peux pas, je dois aller le retrouver.

Ethan : Alors cours !

Jack : (Il lui sourit) Merci.

PDV Ianto :

Qui au nom de dieu viendrait frapper a ma porte si tard, j’ai vraiment envie de dormir. Après  le troisième coup je me décide à aller ouvris pour me retrouver devant…un livreur portant un paquet dans ses bras.

Livreur : Etes-vous monsieur Ianto Jones ?

Ianto : Oui.

Livreur : Bien signez ici s’il-vous-plait.

Ianto : C’est de la part de qui ?

Livreur : Un certain Jack Harkness.

Sans rien ajouter il était parti, j’ouvre le paquet et une folle envie de pleurer me vint. Il s’était rappelé !

      Flash Back :

On était assis dans mon canapé devant un film a l’eau de rose-je ne le laisserai plus jamais choisir le film-et le héro un certain Johnston  déclarait son amour inconditionnel a l’héroïne une blonde qui m’horripile depuis le début.

Ianto : Franchement !

Jack : Quoi ?

Ianto : Rien juste que pour moi une déclaration d’amour dans les règles c’est avec une demi-douzaine de roses rouges.

Jack : Rouges ? Non ça me rappellerait trop le sang.

Ianto : C’est bien pour ça qu’elles doivent être rouges, le sang c’est la vie et aimer vraiment quelqu’un c’est lui donner une parti de sa vie.

Il n’avait pas répondu, il m’avait juste souri…tendrement et m’avait embrassé.

    Fin du Flash Back :

Une demi-douzaine de roses rouges, voilà se qu’il y’avait dans la boite avec juste une petite carte avec écris dessus « rejoins-moi sur le toit ».Même si j’étais terrifié a l’idée qu’il me brise le cœur encore une fois, j’ai quand même enfilé une chemise et  suis monté. Il était comme ces héros de bande dessiné son manteau dans le vent complètement mouille par la pluie qui tombait drue depuis une semaine, j’étais moi aussi complètement tremper mais je m’en fichais. Quand il me vit il s’avança vers et les frissons qui me parcourue n’avait rien à voir avec le froid ou la pluie.

Ianto : Tu es bon sur les toits hein ?

Jack : C’est plus prés des étoiles.

Ianto : (D’un ton las) Jack que veux-tu ?

Jack : (Prend une grande inspiration) Ouvre tes oreilles Jones parce que je ne sais pas si j’aurai la force de le dire encore une fois. Je t’aime, je t’aime comme je n’ai jamais aimé personne et comme je n’aimerai surement personne parce que je suis un point fixe dans le temps et l’espace et que je porte avec moi une vérité qui ne changera jamais, tu as mon cœur Ianto Jones, tu l’auras toujours et tu l’emporteras surement avec toi dans la tombe avec une partie de ma vie que je t’aurais donné en t’offrant mon amour.

Je ne savais pas quoi dire, les larmes au bord des yeux j’avais du mal à respirer, les idées de réponses se bousculer dans ma tête sans que je n’arrive à les exprimer.

Ianto : J…Je…Moi aussi je t’aime.

Peu importe combien de réponses j’avais en tête je crois que celle-ci est la meilleur, ce qui me fut confirmer par Jack quelques instant après quand m’embrassa comme il ne l’avait jamais fait auparavant. Il m’aime alors peu importe les épreuves qu’on auras a supporter je sais qu’on se soutiendra mutuellement et c’est le plus important.