HypnoFanfics

Novembre
Tempérance Brennan était encore dans son bureau à 23 heures. Seule. L'institut Jefferson était vide, il ne restait plus qu'elle et les squelettes pour seule compagnie. Elle se demandait si elle n'aurait pas dû accepter la proposition du très sexy agent du FBI : Seeley Booth, son coéquipier et ami de passer la soirée avec lui. Mais non, il a fallu qu'elle refuse tout simplement par peur d'être envoûter par ses yeux, son sourire charmeur qui la faisait craqué chaque jour. Mais pourquoi penser à ça, alors qu'elle avait refusé. Ce qui est fait est fait. Mais rien à faire, Booth était toujours présent dans son esprit. Brennan soupira de découragement. Depuis quelques jours, elle avait réalisé qu'elle était follement, passionnément et irrévocablement amoureuse de son partenaire Seeley Booth et cela la minait. Mais la ravissait aussi malgré la ligne qu'il avait instauré.

23h15, il était temps de rentrer mais retrouver son appartement vide et un lit vide ne lui disait rien. Et chose incroyable, elle ne voulait pas rester à l'institut. Elle prit son portable et composa un numéro de téléphone, à la première sonnerie quelqu'un décrocha :
- Booth à l'appareil
- C'est Brennan, je ne vous dérange pas ?
- Bones ? Booth était surpris de son appel mais en fût heureux. Il espérait son appel. Vous ne me dérangez jamais Bones.
- J'appelle pour savoir si votre proposition tient toujours ? demanda Brennan inquiète.
Booth toujours étonné mais content. Bones allait venir chez lui :
- Je vous attend et raccrocha.
Et c'est une Brennan soulagée et heureuse qui quitta l'institut pour rejoindre son ami mais fit un détour pour acheter de la glace.

Du côté de chez Seeley Booth :
Sa Bones avait enfin changé d'avis. Sa Bones ? Du calme mec, tu n'es pas avec elle, elle est juste ta partenaire et meilleure amie, Seeley. Booth soupira, il se demandait pourquoi il avait instauré cette foutue ligne. C'était juste une des raisons qu'il avait énoncé à Camille pour rompre avec elle. Il s'était rendu compte qu'il ne l'avait jamais aimé. Leur relation était purement sexuelle. Sortir avec Camille était une erreur, il avait cru perdre Bones à ce moment là. Comme il avait été jaloux quand elle était sortie avec Sully. Heureusement qu'il était parti.
Il s'était rendu compte qu'il était tombé amoureux de Tempérance Brennan. Booth se souvenait de ce jour là, c'est quand ils s'étaient embrassé pour la première fois. Jamais il n'oublierait ce baiser. C'était à Noël, et ce fut son plus cadeau de Noël.
Bones allait venir, il rentra dans la cuisine pour lui préparer un sandwich, elle oubliait souvent de manger. Mais qu'est ce qu'il adorait lui préparé des petits plats. Il ne s'en plaignait pas, loin de là. On sonna à la porte, il se hâta de lui ouvrir.
- Bonsoir Booth, Brennan lui tendit un sac. J'ai acheté des glaces vanille chocolat, ça vous va ?
- Merci Bones. C'est parfait. Je vous ai préparé un sandwich. Vous voulez boire ?
- Merci Booth, il ne fallait pas. Une bière s'il vous plaît.
- Installez vous pendant que je vais chercher tout ça.
Brennan s'installla dans le canapé. Elle se sentait si bien avec lui. Booth revint avec des bouteilles de bière, lui tendit son sandwich. Bon appétit Bones.
- Merci, mmh, c'est délicieux.
Booth repartit à la cuisine préparé les glaces et quand il revint, sa Bones venait de finir de manger. Arrête Seel, elle n'est pas avec toi, oublie.
- Booth, ça va ? s'inquiéta Brennan de le voir immobile en train de la fixer intensément.
- Oh oui, désolé, j'étais ailleurs se justifia Booth. On fait quoi ? et s'installa à côté de Brennan et commença à manger sa glace.
Comme vous voulez, on peut regarder un film lui dit Tempérance.
Booth leva les yeux de sa glace, lui et la nourriture ne faisait qu'un. Brennan, voyant qu'il avait un peu de chocolat au coin des lèvres s'empressa de l'essuyer. Et rougit de son geste. Booth la remercia.
- Mmmh, pourquoi pas ! Que voulez vous regarder ?
- Euh, est ce que vous avez la Grande Evasion ? Je ne l'ai jamais vu? Ce serait l'occasion lui demanda Brennan.
- Waouh, Bones, là vous m'épatez. La Grande Evasion est un classique enfin pour moi. J'ai.
Booth se leva et chercha dans sa bibliothèque de dvd.
Pendant ce temps, Brennan admira ses fesses. Elle trouvait qu'il avait une belle carrure et ses fesses n'en parlons même pas ! Argh du calme Tempe, c'est juste ton coéquipier. Brennan sursauta, Booth venait de la surprendre.
- Je l'ai trouvé, ça va Bones ? Vous êtes toute rouge remarqua Booth qui était allé mettre le dvd.
- J'ai... juste chaud, tout va bien.
- Ok, c'est parti, il ne la croyait pas, mais ne voulait pas la gêner.
Nos deux amis passèrent deux heures avec Steve McQueen.
Dès que le générique de fin défila , Booth demanda ce qu’elle avait pensé du film. Il espérait qu’elle ne commencerait pas son monologue anthropologique. Mais elle le surprit :
- Vous avez raison, c’est un classique. L’acteur Steve je sais plus n’avait pas beaucoup de dialogue. On comprenait tout rien qu’en regardant son visage. Le film était à la fois triste et drôle. J’ai bien aimé.
Sur ces faits, Brennan se leva, mit son manteau prête à partir et Booth d’un froncement de sourcil lui rétorqua :
- Vous allez où comme ça ? Il est hors de question que vous sortiez par ce froid.
Brennan n’aimant pas le ton de Booth, haussa la voix :
- Je rentre, une longue journée nous attend. Et je dois aussi me préparer.
Booth de son index fit signe que non.
- Bones, Bones, Bones, vous allez rester dormir ici.
Brennan avec moins de résistante, cette idée de dormir chez Booth lui plaisait, et ce n’était pas la première fois, tente :
- Je n’ai pas de pyjama.
- Pas grave, j’en ai. Booth lui fit signe de le suivre dans la chambre. Sa Bones allait dormir ici. Tu me fais pitié mec, elle va dormir, pas faire l’amour avec toi se morigéna Seeley.
Il finit par trouver un pyjama dans le placard et le tendit à Bones.
- Ceci devrait aller, la salle de bain est par là en indiquant une porte ouverte.
Quand Brennan revint dans la chambre, Booth était mort de rire. Bones était en effet habillé avec des dessins représentant des ours qui tenaient des ballons en forme de cœur.
Pour se venger, elle lui balança un coussin et se joignit à l’hilarité. Le rire de Booth était contagieux. Quand tous deux se furent calmé, Booth lui précisa qu’il allait dormir dans le canapé, lui laissant le lit. Bones refusa :
- Il est en est hors de question. Quand vous vous endormez dans le canapé, vous vous plaignez d’avoir mal au dos. Nous avons qu’a dormir ensemble.
Brennan fut la première surprise, elle n’en revenait pas d’avoir dit ça. Booth lui la regardait avec des yeux ronds.
- Vous êtes sure Bones ?
Elle hocha la tête et se mit dans le lit, Booth enleva son pantalon mais garda son boxer et son tee-shirt et s’allongea à ses côtés.
Après quelques minutes de silence, Booth fût surpris de la question de sa partenaire :
- Comment va Parker ?
Booth heureux de pouvoir parler de son fils lui répondit :
- Il va bien, il a hâte d’être en décembre. Il va passer les vacances de Noël avec moi. Rebecca part pour deux semaines.
Brennan lui prit la main et la serra.
- J’en suis heureuse pour vous. Je sais que vous ne le voyez pas souvent et qu’il vous manque.
Booth sourit et lui serra la main. Elle ne pouvait pas savoir à quel point ses paroles le réconfortait.
Tous les deux s’endormirent main dans la main.

Une semaine après :
Après cette soirée, Booth et Brennan passaient pratiquement toute leur soirée ensemble. Ni l’un ni l’autre n’avaient parlé de ce qui s’était passé ce soir là.
Depuis deux jours, ils enquêtaient sur une affaire délicate. Un tueur en série s’en prenait à des femmes de quarante ans, seul point commun, elles sortaient de chez leur médecin. Ils n’avaient aucune piste et cela Booth ne l’admettait pas.
Il se trouvait sur la plate forme à l’institut.
- Bones, allons manger, ça nous détendra.
- Mais Booth…
- Non Bones, on y va. Go, lui coupant la parole.
Les fouines s’écrièrent :
- On peut venir aussi ?
Booth refusa tout net.
- Non, c’est Bones et moi au Royal Dinner. Vous comprenez ? Allez Bones, il siffla.

Au Royal Dinner :
- Tout va bien Bones ? Je vous trouve bien silencieuse depuis quelques jours.
- Nous sommes à la mi-novembre et ils ont déjà mis les décorations de Noël. Ils peuvent pas attendre ? Et pour les cadeaux ? C’est tout une pression s’énerva notre anthropologue.
Booth fronça les sourcils, il savait que Bones n’aimait pas Noël mais de là à s’énerver, il y avait anguille sous roche. Même si ils passaient leur soirée ensemble, il la trouvait distante.
- Du calme Bones. Que se passe-t-il ?
Il fut surpris de voir Bones se levé de table et partir. Perplexe, il paya l’addition et couru à sa recherche. Il la trouva sur un banc et s’installa à ses côtés mais ne dit rien. Il ne voulait pas la brusquer.
- Je ne me comprend plus craqua Bones.
- Comment ça ?
- Je n’y vois plus clair entre nous. Je ressens des choses que je n’ai jamais ressenti lui avoua Brennan.
Serait-il possible que…non Seel, ne prends pas tes rêves pour des réalités, mais avec un peu d’espoir lui demanda :
- Que ressentez-vous ? Oubliez votre jargon scientifique. Utilisez des mots simples.
- Je n’en ai pas parlé à Angela, elle ne m’aurait pas vraiment aidé. Ce que je ressens ? Brennan ferma les yeux et se lança, elle avait lu que quelque fois il valait mieux écouter son cœur que sa raison. Elle se déclara :
- Quand vous n’êtes pas là, je me sens vide de l’intérieur, j’ai comme un trou dans la poitrine. Mais dès que j’entend votre voix ‘Bones’ je retrouve le sourire. Vous êtes mon oxygène, ma raison de vivre. Vous me faîtes rire.
Booth n’en croyait pas ses oreilles, elle venait de lui dire exactement ce que lui-même ressentait. Il lui prit les mains, la regarda dans les yeux et lui avoua du plus profond de son cœur :
- Je ressens les mêmes choses sauf que moi je sais de quoi il s’agit. C’est l’amour Bones. Vous me rendez fou, j’adore votre jargon même si je n’y comprends rien. J’aime quand vos yeux bleus gris s’illuminent. Sans vous je ne suis rien. Vous et Parker êtes les personnes les plus importantes. Vous êtes ma vie. J’ai cru devenir fou quand le fossoyeur vous a enlevé. Je vous aime.
Une larme coula sur la joue de Brennan. Elle prit le visage de Booth entre ses mains, se rapprocha de lui et l’embrassa. Booth lui rendit son baiser, d’abord avec tendresse, leurs langues se trouvaient, se touchaient. Leur baiser devint plus fougueux.
Booth s’écarta légèrement et lui sourit mais s’en fut trop et l’embrassa. Leur baiser fut trop court à leurs goûts, mais il était temps de retourner travailler.

A leur entrée, dans l’institut, Angela comprit qu’il s’était passé quelque chose entre eux.
Elle s’approcha et prit Brennan par le bras, la mena au bureau et s’écria :
- Sweetie, as-tu oublié de me dire quelque chose ?
Avant que Brennan réponde, la porte s’était ouverte sur un Booth assez méfiant. Angela lui sourit.
- Oh Booth, Tempie vient de me dire ce que je voulais savoir.
- Bien joué, Montenegro mais je ne vous crois pas. Je dois parler à Bones.
Quand Angela s’en fut, Booth prit sa Bones et l’embrassa.
- Mmh, je ne me lasse pas de tes lèvres, je dois y aller, Cullen m’a appelé, je viens te chercher ce soir si tu veux ?
- Je veux bien, à tout à l’heure mon mâle alpha et se pencha pour l’embrasser. Un baiser qui dura au moins 3 minutes. Aucun ne voulait s’écarter de l’autre. C’est avec regret qu’ils se séparèrent.
Au seuil de la porte, Booth lui fit son sourire charmeur et lui dit :
- Mon mâle alpha, j’adore.
- Toi et ton ego plaisanta Bones.
- Ouch, ça fait mal ça. A plus et il partit.
Pendant ce temps, Brennan continua ses recherches sur le tueur avec l’aide de son équipe. Hodgins trouva une fibre de tissus, tous comprirent que les victimes avaient été enfermé dans le coffre d’une voiture.
Brennan appela Booth pour lui faire part de ses trouvailles avec les fouines.
Quand Booth retrouva Bones, il faisait déjà nuit. Elle et Angela discutaient de l’affaire mais aussi de Booth, l’artiste voulait lui soutirer des infos. Mais il faut dire que Brennan avait trouvé son maître en la personne de l’agent du FBI.
- Bones cria Booth.
- J’arrive, je suis là, Brennan s’approcha de lui et allait l’embrasser mais s’arrêta à temps. Booth le vit, mais comme il en avait lui aussi envie, la prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement sous les regards ébahis des fouines.
- Oh mon dieu, ils sortent ensemble. Booth et Brennan. Hodgins chéri, pince moi cria Angela. Aïe. Hodgins l’avait pincé.
- Quoi ? ! C’était ce que tu voulais lui répondit innocemment Hodgins.
Booth s’écarta de Brennan, sourit à l’équipe, prit Bones par la main et partirent.
Pendant le trajet, ils avaient décidé qu’ils dormiraient chez Booth.
Seeley jeta un regard en coin à sa compagne et lança :
- Tu ne m’en veux pas de t’avoir embrassé devant ton équipe ?
- Oh non, j’en avais moi aussi envie. Je ne me lasse pas de t ‘embrasser. J’adore tes baisers.
Décidément, notre anthropologue judiciaire avait bien changé. Elle profitait enfin de la vie et surtout elle avait trouvé l’homme avec qui la partageait　: Seeley Booth. Elle le regarda et posa une main sur sa cuisse. Booth entrelaça ses doigts à ceux de sa partenaire. Le reste du trajet se fit en silence.

Brennan lui fit des macaronis au fromage, un de ses plats préférés. Pendant le repas, ils se taquinèrent, se donnèrent la becquée.
- Booth ? Brennan était devenue inquiète, Seeley comprit qu’elle avait peur. Il recouvrit sa main tout en caressant sa paume.
- Oui ? Il ne voulait pas la brusquer.
- Est ce que… Bones cherchait ses mots, entre toi et moi c’est juste sexuel ? Je sais qu’on s’est déclaré nos sentiments. Mais j’ai besoin de te l’entendre dire. J’ai peur lui confia Brennan.
Booth lui sourit, se leva de table, la prit dans ses bras et l’installa sur ses genoux. Qu’est ce qu’elle était bien dans ses bras. Il se lança :
- Bones, notre relation n’est pas que sexuelle. Elle est basée sur la confiance, la loyauté, les sentiments et sur l’amour. Je ne sais pas de quoi sera fait notre lendemain mais je sais que je ne t’abandonnerai jamais. Je sais du plus profond de mon cœur que notre histoire marchera. Nous étions destinés à nous rencontrer et à être ensemble. Pour rien au monde je ne te quitterai.
C’est d’un regard tendre que Booth lui dit :
- Tempérance Brennan, je vous aime du plus profond de mon cœur. Et pour te prouver qu’il n’y a pas que du sexe entre nous, je dormirai dans le canapé.
Brennan, les larmes aux yeux, s’appuya contre le torse de son homme, déclara d’une petite voix et avec une certaine rougeur :
- Seeley, je t’aime moi aussi. Oh oui, je t’aime avec plus d’assurance cette fois ;
Booth éclata de rire, il était fou de joie. Sa Bones venait de lui dire qu’elle l’aimait. Il l’embrassa avec ferveur.
Bones s’écarta légèrement, seuls leurs fronts se touchaient.
- Tu n’as pas à dormir dans le canapé. Je veux m’endormir dans tes bras lui confia Brennan.
Et nos deux amoureux partirent se coucher dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain matin, Booth réveilla Bones en l’embrassant tendrement. Elle s’étira :
- Mmh, je pourrai bien m’y habituer.
- Alors habitue toi car j’ai l’intention de te réveiller de cette façon chaque matin lui confia Booth en lui caressant le visage.
- C’est une promesse ? le questionna Bones.
- C’est une promesse, et Dieu sait que Seeley Booth tient toujours ses promesses.
Heureuse, Brennan le prit dans ses bras et l’embrassa à perdre haleine.
- Waouh… Booth essayait de reprendre sa respiration, ce sera comme ça tous les matins ?
Il adorait ce nouveau jeu.
Pour seule réponse, elle l’embrassa de nouveau encore et encore.

Dans le SUV de l’agent, Booth fit part de ses projets pour le week end.
- Parker vient à la maison, reste avec nous.
- Seeley, je ne veux pas m’imposer, tu vois Parker très rarement.
Seeley était heureux qu’elle s’inquiète autant pour lui et son fils.
- Bones, viens s’il te plaît. Et tu sais que Parks t’adore. Et je veux être avec toi.
Comment résister à ses yeux marrons chocolats, d’un signe de tête, elle accepta.
Au Jefferson, ils mirent de côté leur vie privée pour devenir à nouveau l’agent spécial Seeley Booth et l’anthropologue Tempérance Brennan.
- Bones, il y a un truc qui colle pas. Allons interroger le docteur Madrewsky.
- D’accord, Hodgins, Angela, je suis sûre qu’on a oublié quelque chose dans les visionnages. Vérifiez à nouveau. Camille, pouvez vous regarder les dossiers médicaux des victimes, je suis presque sûre que le lien est là.
Tous trois acquiescèrent et s’en furent vaquer à leurs tâches.

Dans la salle d’attente du médecin, Booth et Bones patientèrent. La sonnerie du carillon retentit, la porte s’ouvrit sur une femme tenant un bébé dans les bras. La jeune femme s’installa au côté de Brennan. Le bébé qui était éveillé, la dévisagea et lui fit un sourire baveux.
Inconsciemment, Brennan lui tendit un doigt qu’il serra. Et un étrange sentiment envahit Tempérance, elle adorait sentir la petite main du bébé autour de son doigt.
Booth à qui rien n’avait échappé, sourit et se dit que oui vraiment, sa Bones ferait une maman merveilleuse. Et qui sait peut-être changerait-elle bientôt d’avis.
Le charme fut brisé par l’arrivé du médecin. C’est avec regret que Brennan laissa ce petit bout de chou.
Pendant que Booth interrogeait le suspect, Brennan reçu un appel de son équipe, Camille lui confirma que le docteur Madrewsky exerçait son métier dans plusieurs cabinets sous différents noms. Cela avait été confirmé par les proches des victimes et les vidéos qu’Hodgins et Angela ont visionné. Bones les remercia. Ils avaient tous faits du bon travail.
D’un signe de tête, Brennan fit comprendre à son coéquipier qu ‘ils tenaient le suspect. D’un geste, il se tourna vers le médecin et énuméra les preuves qu’ils avaient contre lui.
Une dizaine de minutes plus tard, les renforts arrivèrent.
Et nos amis prirent la direction de l’institut.
- Pourquoi les avoir tués ? le questionna Bones.
Booth soupira et lui répondit ?
- Parce que ça l’amusait tout simplement. Il s’ennuyait.
Brennan mit sa main sur son bras. Booth dévia son regard de la route et lui sourit. Elle seule le comprenait véritablement.

Pour fêter la fin de l’enquête, l’équipe s’octroya une pause dans le salon de l’institut. Même Sweets, de retour de voyage, était de la partie. Quel ne fut pas sa surprise de voir Booth et Bones s’embrassaient. Il était temps, vraiment.
Brennan qui ne s’était pas remise de l’échange avec le bébé, fit un discret signe à sa meilleure amie. Angela comprenant que Brennan avait quelque chose à lui dire, se leva et prit les devants.
- Sweetie, je dois te montrer quelque chose.
- Excusez moi, je reviens et partit dans le bureau de l’artiste.
Après quelque minutes de silence, Brennan commença :
- Quand j’étais dans la salle d’attente, une femme est arrivée avec son bébé et je… inconsciemment, je lui ai tendu mon doigt qu’il a serré. Et comment dire, j’ai ressentie quelque chose. Je ne comprends pas.
- Oh sweetie, face à l’aveu de son amie, Angela n’avait pas pu s’empêcher de pleuré. C’est ton cœur qui parle, ça veut dire que tu es prête, tu veux un bébé.
Et Brennan comprit ce sentiment, elle voulait devenir mère, elle ne put ‘empêcher de regardé Booth en train de rire. Elle était amoureuse et voulait un enfant de lui ou plutôt des enfants de lui.
- Un bébé de Booth ne put s’empêcher d’énoncer Brennan.
Elle si rationnelle devenait complètement irrationnelle et cela lui plaisait.
Elle quitta Angela et couru rejoindre l’homme de sa vie.
A son approche, Booth se leva et la questionna d’un regard.
- Seeley, rentrons s’il te plaît.
Ils dirent au revoir, et dans le parking, Bones lui annonça tout de go :
-Je veux un bébé avec toi.

A ces mots, Booth s’arrêta, il avait mal compris. Il se tourna vers elle :
- Tu peux répéter s’il te plaît ?
- Je veux un bébé avec toi lui répéta Brennan.
Cette fois, il avait bien compris. Il s’empressa de lui répondre voyant la mine inquiète de Bones. C’est en bégayant qu’il lui dit :
- Tu, … oh dieu… tu… tu es sûre… je veux dire… pourquoi ?
Brennan soulagée, il n’avait pas dit non lui répondit :
- Parce que quand j’ai vu ce petit, j’ai ressenti quelque chose au plus profond, et Ange m’a expliqué. Je suis prête, je veux des petits Booth, je veux enfin goûter au bonheur qui m’a tant manqué, et ce bonheur je veux le vivre avec toi. Seulement avec toi.
Booth s’approcha de Tempérance et commença à lui caresser le visage, il était ému par ses paroles. Il la prit dans ses bras et lui chuchota à l’oreille :
- Maintenant !
Ce n’était pas une question mais plutôt une affirmation. Avec cri de joie, Brennan le serra dans ses bras. Il la fit tournoyé. Heureusement qu’ils étaient seuls.
- On va avoir un bébé. Brennan pleurait de joie.
Et ils partirent vers le SUV. Ils parlèrent du bébé qu’ils auraient, du nombres d’enfants qu’ils voulaient, deux c’était suffisant pour l’instant, de leurs tests sanguins qui étaient bons, ni l’un ni l’autre n’avaient eu de relations depuis des mois. Pour eux, c’était une autre preuve de leur amour.
- Nous n’allons pas trop vite ? Après tout, ça ne fait que quelque jour que nous sommes ensemble. Mais je veux tellement avoir un bébé de toi.
Booth la rassura :
- Ce n’est pas comme si on se connaissait depuis quelque jour. Nous nous connaissons depuis quatre ans. Et j’ai envie de tenir mini bones dans mes bras la taquina Seeley.
- Hey mais Brennan rigola. Elle était heureuse, elle aimait Booth inconditionnellement, il l’aimait d’un même amour.

NC – 17 ANS
A peine après avoir franchi la porte que Booth prit sa Bones et commença à l’embrassé fougueusement. Tempe desserra la cravate de son amant. Leurs gestes étaient devenus fébriles. Depuis le temps qu’ils attendaient de se connaître intimement.
Booth lui embrassa le lobe de l’oreille, déposa un baiser furtif sur sa bouche et descendit vers sa mâchoire pour continuer sa douce et lente torture.
Brennan n’était pas en reste, elle lui avait retiré sa chemise et caressait son torse musclé.
Ils se retrouvèrent dans le lit. Booth au dessus d’elle. Il passa une main sous son pull et commença à caresser le doux renflement d’un sein. Brennan poussa un gémissement de plaisir et déboutonna son pantalon.
Au contact de ses doigts sur sa peau, Booth se plaqua davantage contre elle, leurs bouches toujours soudées, leurs langues emmêlées langoureusement et elle sentit son érection. Tous deux gémirent. Booth s’écarta d’elle et commença à se dévêtir, il enleva entièrement son pantalon, ses chaussettes multicolores et enfin son boxer tout en regardant sa Bones se dévêtir.
En le voyant dans sa glorieuse nudité, Brennan ne put s’empêcher de pensé que habillé il est sexy mais là c’était le summum.
Booth lui se disait que sa Bones avait un corps de déesse.
Ils se rapprochèrent, Booth gémit quand il sentit les seins de Brennan se collé à son torse. Il la caressa langoureusement, lui embrassa les seins, les mordilla, Brennan le caressait très intimement, il lui attrapa la main et la leva au dessus de sa tête. Il descendit et du bout de la langue caressa son nombril et descendit encore plus bas, Brennan s’arc bouta en poussant un gémissement de plaisir. Et quand elle sentit sa langue ce fut l’apothéose.
- Viens Seeley, je t’en supplie.
Ses yeux étaient emplis de désir, doucement Booth s’allongea sur elle, Brennan enroula ses jambes autour de ses reins et il la pénétra. Tout en se regardant dans les yeux, ils entamèrent la danse de l’amour. Ils firent l’amour avec passion, avec amour, avec tendresse. Leurs corps s’ajustaient à la perfection. Ils enchaînèrent caresse après caresse sans jamais se rassasier l’un de l’autre.
Nos amants s’étaient enfin trouvés.

Après une longue nuit d’amour, Booth et Brennan déjeunèrent au Royal Dinner. Ils avaient décidé de finir le rapport dans le bureau de l’anthropologue.
Sur le chemin de l’institut , Booth prévint Bones que Parker venait au final ce soir.
- Est ce que tu vas lui dire ? Pour nous demanda Tempe.
- Bien sûr , si tu le souhaite.
Voyant l’inquiétude de Brennan, il serra sa main et la rassura :
- Hé Parks t’adore, il sera fou de joie quand il va savoir que nous sommes ensemble. Depuis le temps qu’il me demande si je sors avec Dr Bones.
Tempérance rigola et embrassa Booth sur la joue, il la prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement.
- Oh c’est trop mignon, soupira Angela en les regardant.
Elle était heureuse de voir sa meilleure amie filé le parfait amour avec l’agent du FBI ;
Pendant ce temps dans le bureau, Booth taquinait Brennan. Il était heureux de la voir rire. Ils ne se lassaient pas de s’embrasser, peu avant de commencer leur rapport, ils avaient fait l’amour sur le canapé. Ils rattrapaient le temps perdu.
- Vu que nous aurons fini ce rapport dans une heure, que voudrais tu faire cet après midi la questionna Booth.
Brennan se mordilla la lèvre et lui avoua ce qu’elle avait en tête :
- Seeley, elle respira un grand coup et se lança : j’aimerai que tu me réconcilie avec Noël. Je voudrais faire les magasins de décoration et préparer Noël chez toi si tu n’y vois pas d’inconvénient ?
Booth lui caressa les cheveux et lui dit :
- Bones, j’essayerai de te réconcilier avec Noël toute ma vie avec l’aide de Parker. Et pour ce qui est de la maison, je n’y vois pas d’inconvénient sauf si tu mets des rideaux roses à la cuisine plaisanta Booth.
Elle lui donna un coup sur l’épaule. Il continua :
- Plus sérieusement, je voudrais que tu viennes habiter avec moi.
- Oui, oui je le veux. Elle allait vivre avec l’homme de sa vie.
- Je pensais que j’allais devoir argumenter pour que tu viennes vivre avec moi. Mais j’en suis heureux. Et il l’embrassa.

2 heures après, ils se retrouvèrent dans un magasin vendant des décorations de Noël. Ils achetèrent des guirlandes lumineuses, trois souliers de Noël portant les noms de Seeley, Tempérance et Parker.

Tempérance fit ses bagages et cartons pour s’installer chez Seeley.
- Bones, j’y vais, je vais chercher Parker. Il l’embrassa et partit.

- Papa, papa cria le petit garçon excité à l’idée de passer le week end chez son père.
- Hey fiston, Booth le prit dans ses bras. Une surprise t’attend à la maison petit bonhomme.
Il l’installa Parker sur le siège auto. Que pouvait bien être la surprise ? se demandait-il.

- Coucou, nous revoilà, cria Booth du salon.
- Papa, à qui tu parles ? le questionna son fils.
Booth fit signe à Parks de regarder dans la cuisine. En effet, il sentait les lasagnes.
- Dr Bones cria le petit garçon en voyant Brennan. Il couru se réfugier dans ses jambes.
- Hey poussin, elle le prit dans ses bras et lui fit un très gros bisous sur la joue ce qui fit rire Parks.
Elle rejoignit Booth au salon avec Parks dans ses bras. Elle adorait ce petit garçon qui respirait la joie de vivre.
Ils s’installèrent dans le canapé, Booth était ému de voir son fils dans les bras de Bones. Elle portait peut-être son enfant.
- Hey bonhomme, Bones et moi on doit te dire quelque chose.
Parker fixait son père en attendant la suite.
- Bones et moi nous sommes ensemble. Elle va vivre avec nous lui avoua son père.
- Toi et Dr Bones êtes amoureux ? demanda Parker en les regardant tour à tour.
Tous deux hochèrent la tête. Parker perplexe dit :
- Mais alors le Père Noël est venu trop tôt !
- Comment ça ? lui demanda Bones devenue elle aussi perplexe tout comme Booth.
Parker répondit :
- J’ai écrit une lettre au Père Noël lui demandant que toi et papa soyez amoureux. Mais c’est cool, j’ai mon cadeau de Noël en avance.
Brennan et Booth soulagés, éclatèrent de rire et embrassèrent Parker.
Leur soirée se passa dans la joie et les rires.
Au vue des évènements, Brennan se dit que pour rien au monde elle échangerait sa vie.

Le lendemain matin, Booth décida de réconcilier Bones avec Noël.
Tous trois se retrouvèrent à marcher dans les rues de Washington. Brennan et Parker étaient émerveillés par les décorations de Noël.
Booth apprit à son fils à patiner. Il leur raconta des contes de Noël.
Brennan observait la relation père fils. Elle était heureuse de voir Seeley s’amusé avec son petit garçon.
Booth acheta 3 crêpes qui furent engloutis à une vitesse par 3 affamés ce qui les firent beaucoup rire.
Voyant son fils se fatigué, il le prit dans ses bras et entrelaça ses doigts à ceux de Brennan. Ils s’arrêtaient toutes les quatre minutes pour s’embrasser.
Tempérance, ce soir là, fit un léger souper, Parker s’endormait devant son assiette. Ils le mirent au lit et Brennan lui fit un gros bisous sur le front et chuchota :
- Fais de beaux rêves mon poussin.
Elle rejoignit Booth qui était allongé dans le lit. Elle l’embrassa avec ferveur. Il roula sur elle et commença à la déshabiller.
- Seeley… hmm attends.
Booth la regarda dans l’attente de sa réponse :
- Après t’avoir vu avec Parker aujourd’hui, je sais que je désire notre enfant plus que tout et seulement avec toi lui avoua Brennan. Je veux notre bébé.
Pour seule réponse, Booth l’embrassa.
Ils firent l’amour avec frénésie tout en observant le plaisir de l’autre.
- Je t’aime Seeley.
Il l’embrassa pour étouffer ses gémissements de plaisir. Il s ‘écarta de sa bouche à regret et répondit :
- Je… t’aime et dans un dernier et puissant coup de rein jouit.
Il s’effondra sur elle. Brennan le serra dans ses bras. Il ne s’était pas retiré. Elle l’aimait le sentir en elle et il le savait.
Elle se mit à lui caresser le dos, ses fesses. Seeley la regarda et Brennan d’un regard l’invita à poursuivre ses mouvements de va et vient.
Jamais il ne se lasserait d’elle et il savait qu’il en était de même pour elle.

Quand Brennan se réveilla le lendemain matin, elle décida de faire une surprise à ces 2 hommes préférés.
Elle prépara des pancakes où elle dessina des visages représentant le Père Noël.
Parker se réveilla à l’odeur et se leva. Il rejoignit Brennan à la cuisine. Elle leva la tête à son approche.
- Hey, bien dormi marmotte ? Elle le prit dans ses bras, il lui fit un câlin. A la vue des pancakes, il afficha un sourire.
- Oh le Père Noël s’écria-t-il.
Bones le reposa et pour le taquiner lui fit des chatouilles que Parker lui rendit.
Booth se réveilla aux éclats de rire et à l’odeur. Il se leva et mit son boxer. Il partit direction la cuisine. La scène qu’il vit le ravissait pleinement, sa Bones et son petit chenapan de fils s’amusaient à se faire des chatouilles.
- Hey attends bonhomme, je viens t’aider.
- Ouais, vas y papa.
Et tous 2 s’amusèrent à chatouillé Brennan.
Après quelques minutes :
- Seeley, s’il te plaît, j’ai plus de souffle haleta l’anthropologue.
- Comme c’est si gentiment demandé. Il la prit dans ses bras et l’embrassa sous les applaudissements de son fils.
Quel ne fut pas la tristesse de Bones à l’idée de laisser Parker, Booth pour la rassurer lui dit :
- On l’aura pour 2 semaines. Chérie ça va aller. Il la prit dans ses bras et Parker lui fit un gros câlin.
- A bientôt maman Bones lui dit Parker.
Booth et Bones furent ému par ses paroles.

Dès son retour de chez Rebecca, Booth lui avoua :
- Parker pensait ce qu’il a dit. Tu es sa deuxième maman. Tu es maman Bones pour lui.
Face à ses aveux, elle pleura dans les bras de Seeley.
Pour la consoler, il s’empressa de lui faire l’amour. Lui aussi le voulait ce bébé.
Tous les deux savaient que même si elle n’avait pas parlé de bébé, ils auraient fait l’amour jusqu’à plus soif. Le désir l’un de l’autre était très fort. Ils se montraient leur amour par des gestes, des regards, des paroles, des baisers. Le bébé était un bonus à leur histoire.

Décembre
Brennan avait entièrement emménagé chez Booth.
Rebecca laissait Parker chez son père de plus en plus souvent pour la plus grande joie de Bones et de Booth. Brennan considérait Parker comme son fils. Tout comme le père, il lui avait ravi son cœur. Comme Parker vivait pratiquement avec eux, Booth et Brennan devaient trouver des prétextes pour acheter les cadeaux.

Ce jour là, ils avaient décidé de décorer la maison. Père et fils partirent acheter un sapin. Brennan passa l’après midi avec Angela pour acheter les cadeaux.
- Allez Tempie, achète de la lingerie fine, tu exciteras Booth.
- Je n’ai pas besoin de ces artifices pour l’exciter rétorqua Bones.
- Waouh, sweetie, je veux tout savoir.
Brennan fit signe que non, elle ne lui dirait rien. Elle adorait ses nuits avec Seeley. Ils ne parlaient même plus du bébé, ils laissaient faire le temps.
- C’est pas juste, je te raconte bien ce que je fais avec Hodgins.
En effet, Angela était de nouveau fiancée à l’entomologiste.
Il fut temps pour Brennan de rentrer. Elle dit au revoir à sa meilleure amie. Et partie vite à la maison cacher les cadeaux.
Quelques minutes après, Booth et Parker arrivèrent avec un beau sapin. Ils s’empressèrent de le décorer. Brennan confia tout haut :
- C’est mon plus beau Noël.
Booth l’embrassa mais ils furent dérangé par la sonnerie de son portable. Il décrocha :
- Oui Booth… mmh bien monsieur. J’arrive déclara Booth et raccrocha. Je dois y aller. J’ai une réunion avec Cullen. Ne m’attendez pas pour dîner.
Brennan le retint :
- Fais attention à toi chéri.
Booth adorait la voir s’inquiéter pour lui. Il la rassura d’un sourire et l’embrassa, fit un câlin à son fils et parti.
Parker et Bones finirent de décorer le sapin. Ils mangèrent dans le salon pour pouvoir admirer les guirlandes lumineuses.
Voyant Parker exténué, elle le prit dans ses bras et l’emmena dans sa chambre. Quand il fut installé dans son lit, bien au chaud, elle lui raconta une histoire de Noël tout en lui caressant le visage.

Booth revint chez lui, il était soulagé, il allait pouvoir se consacrer à son fils et à sa Bones. Cullen lui avait donné des congés et l’avait félicité de sa relation avec Brennan. Tout allait bien.
Quand Booth rentra, il fit le moins de bruit possible, il passa devant la chambre de son fils et ce qu’il vit le ravit. Bones était pleine de tendresse avec son fils qui dormait comme un ange. Elle était pleine d’amour et avait un cœur d’or. N’écoutant que son cœur, il lui déclara :
- Veux-tu m ‘épouser ?
Brennan leva la tête, le vit, elle avait très bien entendu. Elle vérifia que Parker dormait, sortit de la chambre. Elle prit Booth par la cravate et l’emmena dans leur chambre.
- Tu peux répéter ?
- Veux-tu devenir ma femme ?
Et Brennan le prit dans ses bras et lui chuchota à l’oreille :
- Je serai fière de devenir ta femme. Et de devenir Madame Tempérance Booth.
Booth la fit tournoyer et fêtèrent leurs fiançailles sur l’oreiller.

24 décembre, institut Jefferson
Angela admirait la bague de fiançailles que Seeley avait offert à Brennan.
Booth, Bones, Parker, Sweets et le reste des fouines avaient décidé de passer le réveillon de Noël à l’institut.
Parker était sur les genoux de Tempérance. Elle le chatouillait.
Camille avait félicité le jeune couple. Elle n’était pas du tout jalouse, elle même était heureuse, elle avait rencontré un médecin légiste avec qui elle entretenait une relation depuis six mois.
Hodgins fit une expérience pour Parker. Booth s’inquiéta auprès de Bones.
- J’espère que mon fils ne va pas devenir une fouine. Hey ! Brennan lui avait donné un coup sur l’épaule.
- Je t’aime Bones. Tu le sais ?
Brennan fit signe que non.
- Comment ça non ? Tu vas voir. Il la leva de chaise et la mena sous un gui où il l’embrassa avec ferveur sous les applaudissements de l’équipe. Elle s’écarta :
- Je t’aime aussi Seeley et Brennan à son tour l’embrassa.
Tous passèrent une magnifique soirée, ils rirent, mangèrent, dansèrent.
- 3, 2, 1, Joyeux Noël s’écrièrent-ils tous.
Ils décidèrent de se voir le surlendemain pour les cadeaux.
Parker s’était endormi pendant le trajet.
De retour à la maison, Booth mit vite son fils au lit. Ne voyant pas Bones au salon, il partit dans la chambre.
Au milieu du lit trôné un cadeau, Booth s’approcha et vit sur un post-it rose : « Ouvre moi ».
Intrigué, il l’ouvrit, il y avait une carte représentant un petit ours et dessus était écrit « Joyeux Noël Seeley Booth ».
De plus en plus intrigué, il l’ouvrit l’emballage et vit des chaussons bleus. Il avait compris, il éclata en sanglot, il sentit Bones le prendre dans ses bras, il lui rendit son étreinte :
- Je vais être papa.
Brennan était émue.
- Je le sais depuis deux semaines, mais je voulais te faire la surprise. Je t’aime.
- Bones, tu fais de moi l’homme le plus heureux de la terre. Je t’aime Tempérance Brennan. Il lui toucha le ventre. Elle recouvrit sa main de la sienne.
Ils s’allongèrent et Seeley lui fit l’amour tendrement. Elle lui chuchota :
- Joyeux Noël Seeley Booth.
Pour toute réponse, il l’embrassa.

Epilogue
1 an après jour pour jour, à l’institut Jefferson
Booth tenait son fils Alec dans ses bras. Le bébé avait hérité du sourire de son père et des yeux de sa mère.
Parker adorait son petit frère et sa maman Bones. Depuis un an, il vivait chez eux, Rebecca avait déménagé mais Parker n’avait pas voulu la suivre.
- Booth, passe moi mon filleul lui demanda Angela.
- Non, je le garde, tu l’as eu pendant une heure. Où est Bones ?
- Dans son bureau, elle vous attend.
- Viens Parks, et il lui suivit son père.
Ils se dirigèrent vers le bureau de Bones. Sur la porte était affiché Tempérance Booth. Et oui, elle l’avait épousé il y a de cela six mois.
Ils entrèrent. Bones sourit à leur vue. Qu’est ce qu’elle les aimait ces 3 là.
- Venez, asseyez vous. Tenez c’est pour vous. Passe moi Alec.
Booth et Parks intrigués, ouvrirent leurs cadeaux et ce qu’ils y virent leur fit lever la tête et observèrent Bones tenant Alec.
Booth avait un petit ourson nommé Teddy et Parks une petite sucette. Seeley fut le premier à réagir :
- Bones, ne me dit pas… que tu… si ?
Et Bones hocha la tête. Booth heureux la prit dans ses bras.
- On va avoir un autre bébé. Hey Alec, Parks, vous allez avoir un petit frère ou une petite sœur.
Bones secoua la tête.
- Non, pourtant tu viens de nous faire comprendre que tu es enceinte. Il ne comprenait plus rien. Mais Parks lui avait comprit et parla :
- Il y en a 2, hein maman Bones, il était tout content.
Et Bones hocha la tête.
- Oh mon dieu, 2 bébés. Booth était fou de joie.
Il avait Parks, Alec et bientôt deux autres enfants avec la femme qu’il aimait plus que tout au monde.
Trop heureux pour parler, il prit sa femme dans ses bras, embrassa le crâne d’Alec, fit signe à Parks de les rejoindre, il le prit dans ses bras et Parks mit un bras autour du cou de sa maman de cœur.
Booth et Bones se regardèrent et elle lui dit :
- C’est ça la magie de Noël. Joyeux Noël Seeley, Parks, Alec. Je vous aime.
Et Booth l’embrassa avec passion sous les yeux de leurs enfants.


Fin