La nouvelle année vient de commencer. En flashback, Frasier raconte à Roz comment il a passé les fêtes de fin d'année.
Tout a commencé avec le passage au nouveau millénaire. Frasier apprenait que son restaurant préféré avait brûlé, la faute à un cuisinier un peu trop ambitieux qui voulait préparer une crème brûlée géante.
Ils avaient donc voulu aller célébrer la nouvelle année au McGinties, le bar de policiers auquel Martin a l'habitude de prendre un verre. Mais finalement, ils décident de se rendre à un endroit sélectionné par leur club viticole. Ne pouvant pas trouver un vol complet, ils s y rendent à bord du camping car de Martin, dont les plaques minéralogiques indiquent en abrégé "guerrier de la route (warrior ).
Les trois Crane roulent pendant des heures, Niles servant de navigateur. Lorsqu'ils arrivent, Martin , qui est le seul à avoir apprécié réellement le voyage, parcourt le menu avec avidité.
Frasier, lui, tente de socialiser davantage et de discuter avec un humble fermier qui est présent lui aussi, mais il s'avère plutôt médiocre à ce genre d'exercice. Quant à Niles, il est tellement fatigué qu'il décide d'aller se reposer un peu dans le camping-car.
Mais il ne fait pas attention et il se couche accidentellement dans un véhicule, certes identique, mais appartenant à un vieux couple kleptomane dont le mari voleur de briquets se laisse un peu trop mener à la baguette par sa femme.
Quand il se réveille, Niles croit qu'il s'est fait enlever. Il appelle Frasier afin de le lui dire, mais ce dernier pense qu'il blague et raccroche. Quand Frasier et Martin s'aperçoivent de la supercherie, ils courent vite le retrouver.
Niles a alors une idée, ramener le camping-car là où il l'a trouvé. Ce qui ne semble pas difficile puisqu'il a lui même subtilisé la voiture au vieux couple qui s'arrêtait pour manger.
Ils réussissent finalement à se retrouver et à franchir le pacifique dans le bon camping-car mais maintenant, ils doivent échapper à des coyotes.
La fin de l'épisode nous montre Niles conduisant à sa manière, sachant que le camping-car n'arrêtait pas de stationner tout le temps.