L'épisode commence dans le cabinet d'un psychiatre. Frasier et Niles sont ses patients et lui racontent une de leurs idées.
Tout a commencé à la station de radio où Frasier s'est retrouvé à court de temps pour rassurer une auditrice, ce qui l'a frustré. De plus, Bulldog en a profité pour le mettre à la porte afin de préparer son émission. En parallèle, Niles qui exerce dans un cabinet privé s'est retrouvé ennuyé quand le médecin d'à côté à qui il loue le bail a pratiqué une thérapie, par le cri, terrorisant sa patiente.
Les deux frères se retrouvent chez Frasier et décident d'ouvrir leur propre cabinet de psychiatrie ensemble. Frasier apprend que le médecin hurleur s'est fait renvoyer et récupère le bureau vacant. Mais si tout se passe bien au début, Martin prédit qu'il n y aura pas très longtemps avant des tensions. Et une plante apportée par Daphné n'arrange pas la situation.
Ensuite, Frasier participe bien malgré lui à la séance de thérapie familiale donnée par Niles. Il s'agit même d'une thérapie de groupe, mais il ne peut s'empêcher de commenter les problèmes de patients qui ne sont pas les siens au lieu de rester tranquillement en tant qu'observateur. Comme en plus, ils n'arrêtent pas de se quereller pour des motifs idiots, le groupe s'enfuit et c'est à ce moment-là que le psychiatre du fond de son bureau est arrivé pour leur demander de lui expliquer les causes d'une telle bagarre.
Pour les réconcilier, il leur propose un exercice. Il s'agit de se laisser tomber et rattraper par l'autre. Comme aucun des deux frères ne se dévoue, le docteur prend la place de celui qui se laisse retomber, mais personne ne le rattrape et il met alors fin à la séance, leur suggérant d'abandonner. C'est à cet instant que les deux frères se réconcilieront quand ils découvriront qu'il a passé sa thèse aux Caraïbes et n'est pas selon eux un vrai médecin. Mais ils se disputeront à nouveau pour le choix du restaurant où ils iront manger.
Á la fin, les personnages quittent le bureau de psychiatrie avec chacun une expression différente.
