HypnoFanfics

Commande de Cornelias : 3X09 ( « La vérité est ailleurs »), scène de réveil dans la voiture

Castle et Beckett sortent doucement de leur torpeur et se regardent, hébétés.

Castle : waouh …

Beckett : oui…..waouh….

Castle : …eh ben, je savais que j’avais des fans acharnés et imaginatifs, mais là…

Becket, fronçant les sourcils : hein ?

Castle : bah oui, je ne vois que l’A.F.C. pour faire un truc pareil !

Becket : l’AF quoi ?

Castle : l’Association des Fans de Castle, pardi ! Et ne faites pas celle qui ne connaît pas, Madame jesuisfanmaisnel’assumepas !

Beckett, roulant des yeux : tiens donc ! Et que sont devenus les p’tits hommes verts que vous chérissez tant ?

Castle : ah oui, mais là ma chère, il s’agit de pros ! De pros bien informés qui connaissent mes goûts pour l’espace et ses mystères, et les vôtres en matière de meurtres étranges

Beckett : heu, vous voulez dire les goûts de Nikki

Castle, l’air tout à fait naturel : oui, c’est ce que j’ai dit !

Becket, avec son regard sévère :  mouais, admettons….et pourquoi nous auraient-ils enlevé, ces fans ?

Castle, tout excité et tournant le rétroviseur intérieur vers Beckett  : regardez, ils nous ont même implanté des puces sous la peau pour mieux nous espionner, haha, génial !  ... Bon, j’aurais préféré l’idée que dans un accès de folie romantique débridée vous m’auriez fait un suçon, mais je dois avouer qu’ils sont très forts !

Beckett : des puces, mais bien sûr, où avais-je la tête ! Et pourquoi des puces, Môssieur le débiteur d’idées farfelues ?

Castle : mais c’est évident, voyons ! Pour étudier notre alchimie jusqu’à maintenant inégalée dans aucun autre roman!

Beckett, roulant des yeux : vous êtes de plus en plus malade, vous, hein ! Y a aucune limite à votre ego, c’est dingue….et quand vous parliez d’alchimie, vous parliez ben de celle entre Rook et Nikki, n’est-ce pas ?

Castle : euh…grand sourire… évidemment !

Beckett, prenant sa voix sexy : et en quoi sont-ils un sujet d’étude ?

Castle :  ils sont hyper connectés, avec des pouvoirs de ninja….

Beckett, se rapprochant : chacun finissant les phrases de l’autre ….

Castle, imitant sa partenaire : souvent synchros dans leurs gestes…

Beckett, posant la main sur son torse : adorant les choses qui les dépassent…

Castle, subjugué : devinant à quoi l’autre pense….

Beckett, touchant son nez avec le sien : ah oui ? et à quoi je pense à votre avis, là, maintenant ?

Castle : à vous et moi, seuls, complètement n…..

Beckett, le stoppant d’un doigt sur la bouche : chhhhh, vraiment Castle ? le regardant langoureusement et reprenant sa voix sexy :  Vous, un si grand auteur ? Vous réduire à une scène d’une banalité si affligeante ?

Castle, piqué au vif mais amusé : mais, ma chère détective, je suis ouvert à toute autre …. suggestion !

Beckett détache sa ceinture et lui sourit sensuellement : depuis le temps que vous me connaissez, vous savez pourtant qu’il y a un truc spécial…..sauvage.... se rapprochant encore plus près…. insolite et très excitant que j’adore faire…..se mordillant la lèvre inférieure….c’est....

Castle , les yeux écarquillés : gloups

Beckett : ….. METTRE LES MECHANTS DERRIERE LES BARREAUX!

Beckett se rassoit immédiatement et met la voiture en route….

Castle, tout chamboulé par ce qui vient de se passer, gobe les mouches…..

Beckett, très fière d’elle, reprend sérieusement  :  et c’est pas en écoutant vos folles théories qu’on va y arriver !

Castle, reprenant ses esprits, marmonne entre ses dents : pfff vous alors, vous êtes pas drôle, Miss Rationnelle ….

Un ange passe…

Castle, l’air coquin : dites ?

Beckett : oui, Castle?

Castle : pour la peine que vous venez de m’infliger… j’ai le droit de dire aux gars que c’est vous qui m’avez fait un suçon ?

Beckett, sévèrement : Castle, la ferme !

Commande de chloé  : Post 3X13, ou « Une histoire de glaçons »

Le soir de l’arrestation de Lockwood, au loft

Castle, dans son bureau, est très occupé avec une bassine pleine de glaçons : Gloupgloupgloupglougloup

Martha, passant sa tête entre les étagères : chéri, tu as vu mon fil dent…mais enfin, qu’est-ce que tu fabriques ?

Castle : ça ne se voit pas, Mère ? Gloupgloupgloupglougloup

Martha : bah, connaissant ta nature farfelue, il peut y avoir une quantité de raisons à ton attitude enfantine !

Castle : touché ! …..j’essaie de m’enlever certaines images de la tête

Martha, intriguée : mais…tu as besoin de ces images pour t’inspirer dans tes livres, non ? Alors, grands dieux,  pourquoi vouloir les effacer ?

Castle, s’affaissant dans son fauteuil : parce que sinon je n’arriverais jamais à travailler auprès de Beckett sans perdre totalement mes moyens

Martha, levant un sourcil : tu m’expliques, parce que là, je n’y comprends rien du tout !

Castle, à contrecœur : tout à l’heure, on était en mission sous couverture pour sauver Ryan et Espo et …pour divertir le garde, j’ai embrassé Beckett Gloupgloupgloupglougloup

Martha, ravie : Allelujah ! Et j’imagine que si tu plonges ta tête dans une bassine de glaçons à chaque fois que tu y penses, c’est que ce baiser était…

Castle la regarde l’air désespéré, puis replonge la tête dans la glace : Gloupgloupgloupglougloup

Martha, souriant : à ce point là ?

Castle : Gloupgloupgloupglougloup

Martha, amusée mais attendrie : mon grand, au lieu de te faire du mal, déballe, ça te soulagera !

Castle, revenant à la surface : c’était….magique Gloupgloupgloupglougloup… extraordinaire  Gloupgloupgloupglougloup…cosmique Gloupgloupgloupglougloup…intersidéral Gloupgloupgloupglougloup…sismique !

Martha, levant les bras en signe de victoire : hahaha, j’en étais sûre ! Vous connaissant, ça ne pouvait pas en être autrement !

Castle, ironique : ravi que ça te mette en joie, Mère !

Martha, balayant sa remarque d’ un mouvement de mains : Et Kate ?

Castle : elle a répondu au baiser d’une manière si…..gloupgloupgloupgloup…elle a même émis un petit gémissement… gloupgloupgloupgloup…. puis elle a désarmé le gars avec ses prises de ninja et sa souplesse légendaire, ohlala, c’était comme dans mes rêves, (abattu) ahhhh je suis foutu gloupgloupgloupgloup…

Martha : et ensuite ?

Castle : elle a fait sa « poker face » indéchiffrable puis a couru vers l’entrepôt

Martha : mon chéri, puis-je me permettre un conseil non sollicité ?

Castle : parce qu’il t’arrive d’en donner d’autres ?

Martha, ignorant la remarque de son fils : écoute pour une fois la femme qui a déjà tourné plus de la moitié de son film : ne gâche pas une seconde de ta précieuse existence, l’amour n’est pas un interrupteur …alors qu’est-ce que tu comptes faire ?

Castle regarde sa mère, réfléchit, puis….. replonge la tête dans sa bassine : gloupgloupgloupgloup

Martha levant les bras au ciel et sortant de son bureau : doux Jésus, c’est pas gagné !

Martha, et sortant de son bureau : Et si tu continues à faire l’idiot tu vas finir par attraper f…

Castle : aaaaatchoum

Martha : …froid !

Le même soir, chez Ryan :

Ryan, sortant la tête de l’eau glacée et reprenant de l’air : alors, bro ?

Espo, satisfait : 10 minutes, comme moi

Ryan : on est bon !

Espo, lui faisant le signe « angry birds » : plus que bon, bro ! On se réentraînera demain, pas question de se refaire avoir la prochaine fois !

Ryan: ouais, quelle humiliation ! Bon, maintenant, il faut revoir nos réparties, t’étais vraiment en petite forme hier, j’ai trouvé ton temps de réaction trop lent… et cette histoire avec ta mère, mec, franchement ?

Espo, vexé : hey ! j’ai été pris de court, vieux ! ….bon, au lieu de papoter, on pourrait répéter nos « insultes-secours », c’est le seul truc qui tienne en haleine ces balourds

Ryan : oh t’as raison, ça peut nous faire gagner un temps précieux. Les méchants ont un gros ego, ils écoutent toujours les insultes jusqu’au bout avant de cogner !

Espo : On doit les savoir par cœur pour qu’il n’y ait pas de temps mort

Ryan, déterminé : ouais, on doit pouvoir se renvoyer la balle non stop. Tout excité ….. oh c’est génial, mon frère, c’est comme si on répétait une pièce de théâtre !

Espo roule des yeux: hé, Honey Milk, c’est pour le boulot, là !

Ryan : attends, j’vais me mettre un costume, pour me mettre dans l’ambiance…

Espo, menaçant : RYAN, tu bouges d’1 millimètre tes p’tites fesses d’irlandais et je te le fais bouffer ton costume ! On est flic, t’es habillé en flic là, bon sang !

Ryan : pfff t’es pas drôle

Espo: toi non plus, « Castle Junior »

Après avoir fait leur liste de « petits surnoms » à l’adresse des méchants           

Espo: prêt ?

Ryan : prêt !

Espo, chrono en main : et….Top ! Pourriture, Junky,

Ryan : Pauv’ mec, Pochard,

Espo : Face de rat, Tronche de cake,

Ryan : Tordu, trou-duc,

Espo : Tête de nœud, Taré,

Ryan, reprenant sa respiration : Dingue, Schyzo, Cinglé,

Espo : blanc bec,

Ryan : vieux steack,

Espo, tout essoufflé : Salopard, Sac à merde,

Ryan, arrêtant le chrono : Top ! Oh… que 5 secondes, c’est beaucoup trop court…

Espo : 10 secondes si on en dit un seul à chaque fois !

Ryan : bien vu !

Espo : bon maintenant, le parcours du combattant

Ryan : oh non, vieux, j’en peux plus là !

Espo : Ah ouais ? Et si notre prochaine agression venait d’un élément naturel, t’irais pas loin avec tes p’tites insultes, vieux ! Si ça se trouve, on peut être pris dans une inondation, une explosion, ou même…un incendie

Ryan, moqueur : un incendie ? ben voyons ! Et c’est moi que t’appelles « Castle Junior », pfff !

Tard cette nuit là, après 5h d’entraînement intensif, nos bros dorment du sommeil du juste, en sueur, avec le sentiment du devoir accompli, prêts à affronter leur prochaine mission à risque.

Toujours le même soir, dans un petit bar, Kate Beckett est assise au comptoir.

Beckett, bafouillant : sers m’en un autre, Johnny !

Le serveur : euh moi c’est Scott, ma belle

Beckett : oui, c’est c’que j’viens de dire, Joe !

Le serveur, amusé : okay, mais c’est le dernier alors

Beckett : oui, oui

Beckett, pensive, fait tournoyer le liquide ambré dans son verre ; puis un visage lui apparaît dans un des petits cubes de glace flottants

**: hé ! salut !

Beckett n’en croit pas ses yeux : ….euh…waouh ! toi, ma vieille, t’as vraiment trop bu

** : non non, tu ne rêves pas !

Beckett : … Chuck… Norris ????

CN : lui-même pour vous servir ! Tu as prononcé mon nom tout à l’heure dans l’ambulance, alors me voilà, je t’écoute !

Beckett : euh, c’est trop aimable de vous être déplacé pour moi, vraiment ! et en plus tu lui parles, de mieux en mieux …

CN : dis donc, ton partenaire, quels coups il lui a mis, à ce Lockwood, waouh, impressionnant ! Il a un joli crochet du gauche !

Beckett : oh, croyez-moi, il n’y a pas que ça qui est joli, chez lui !

Soudain, le deuxième glaçon prend vie sous ses yeux ahuris

* : ohhh, je confirme, girlfriend !

Beckett : …LANIE ? mon cas est désespéré !

Lanie : la meilleure copine à la rescousse pour les peines de cœur !

Beckett :  peine de coeur ? pfff, mais pas du tout, Lanie !

CN + Lanie: pas à nous, jeune fille ! On a vu votre « opération » pour distraire le garde, pas très professionnel tout ça…

Beckett, narquoise : d’abord, c’était encore une idée saugrenue de Castle…

CN + Lanie, levant un sourcil désapprobateur : j’aurais voulu vous y voir, moi ! Faites-vous embrasser par Mister Hot en personne et on en reparlera !

CN : hum sans façon, je préfère causer « baston » et « flingues », moi !

Lanie , toute excitée : moi par contre, ça m’intéresse ! Alors, girl, toutes les ampoules de NY se sont allumées en même temps pendant votre cession  torride de bouche à bouche ?

Beckett : oh, plus que ça, Lanie, c’était absolument divin, sensuel et violent à la fois….magnitude 6 sur l’échelle de Richter !

Lanie, euphorique : j’le savais, j’le savais, j’le savais !

Beckett, gênée et désemparée : LANIE, arrête ! elle s’affale sur le comptoir, la tête dans les mains….ohhhh mais comment je vais faire, maintenant ?

Lanie : eh ben, c’est simple chérie, tu vires ton Docteur Mamour du paysage et demain, dès que Wrighter Boy arrive au poste, tu le plaques contre la porte de l’ascenseur et tu lui fais sa fête !

Beckett : ben voyons ! Tu sais que c’est impossible, Lanie ; désemparée… j’aurais préféré qu’il ne m’ait pas suivie ce soir

Le 3^ème glaçon, esseulé, se mêle à la discussion

** : et moi donc, si je puis me permettre !

Beckett, ouvrant de grands yeux devant le glaçon qui a pris vie : ….Perlmutter ? Mais qu’est-ce que vous faites là ?

Perlmutter : vous avez un besoin urgent d’entendre la voix de la raison, alors me voilà !

Beckett : c’est vrai, vous au moins, vous y voyez clair…. Castle est un vrai gamin, il est immature….

Lanie : charmant…

Chuck Norris : protecteur…

Perlmutter : affabulateur…

Lanie : fun…

Chuck Norris : déterminé…

Perlmutter : irrespectueux de l’ordre…

Lanie : craquant…

Chuck Norris : pas très virile…

Perlmutter : totalement stupide…

Beckett, n’en pouvant plus : STOP !

Soudain, le silence. Le liquide ambré a retrouvé son calme et les petits cubes de glace fondus ont disparu de la surface…..

Le serveur, accoudé au comptoir, complètement fasciné par le monologue de sa cliente et curieux de connaître la fin de l’histoire : alors, vous allez faire quoi maintenant ?

Beckett, énervée : la ferme, vous !

Journaliste : Bonjour bonjour ! Ohlala, quelle vague de tristesse chez les fans depuis ce début de saison, ça me fait de la peine..... J’aimerais que vous me donniez votre avis, car vous m'avez l'air confiante

Néo : eh bien, comment vous dire… au début, c’était pas la joie, Beckett était très stressée....

J: oui, y avait de quoi ! Mais pourquoi n’a-t-elle rien dit à Rick, bon sang ?

N : vous rigolez ? parce qu’il aurait été encore bien plus sur les dents que Kate !

J : ….euh…. ah bon ?

N : vous savez bien que Kate garde beaucoup plus la tête froide en situation de crise, enfin !

J : ah oui, c’est pas faux

N, levant les yeux au ciel : bon, dans le premier volet on a Rick qui se ronge les sangs car il n’a aucun signe de sa femme.

J : oui, et c’est dans le 8X02 qu’on entrevoit l’ampleur du danger qui pèse sur les épaules de Kate....

N : ...le suspense est à son comble, on ne sait encore rien de cette organisation armée jusqu’aux dents

J, intrigué : oui, le fameux « Locksat »

N : oui, enfin…ça c’est leur nom de code pour nous embrouiller...

J : ah ?

N, ne prenant pas le temps de lui expliquer : Kate est à fond en mode "chasseuse". Après avoir été sauvée par sa belle-mère espionne, aidée du technicien informatique elle remonte leur trace et ils sont près de toucher au but.

J, tout excité : oh oui, et grâce à leur « connexion » qui les caractérise, Rick suit le même axe de réflexion et la retrouve dans un aéroport, c’est ça ?

N : malheureusement, la livraison est déjà partie mais plus tard, grâce aux multiples joujoux planqués dans le bureau de Rick, ils arrivent à arrêter des membres et stopper la menace pour un temps. Mais ce n’est pas fini…

J : ah non ?

N : Non ! Kate n’a pas renoncé. Rick, en manque, recommence à faire l'idiot : il s'acoquine avec Lucy le robot, joue au beer pong, fait des hugs à Espo... bref, ça urge, elle continue donc sa quête seule

J : oui, mais c’est ça que les fans ne comprennent pas....

N, impatiente : elle veut lui redonner le sourire, voyons, faut suivre, un peu !

J : euh….j’essaie, Néo, mais là c’est dur, mettez-vous un peu à ma place !

N, prenant son mal en patience : bon, dans le 8X03, un jeune est tué brutalement. Grâce à l’infiltration des ados attardés Ryan et Espo, d’Alexis bébé-détective et de Papa Castle qui joue au prof, ils mettent la main sur tout un réseau de membres qui se planque derrière cette fausse expérience geôliers/détenus

J, n’en croyant pas ses oreilles : quoi ????? ça avait un lien avec l’organisation secrète ? mince alors, quel scoop, les étudiants aussi, ils étaient dans le coup ?

N : non, seulement les étudiants geôliers qui enfermaient les étudiants les plus accros

J : accros ? mais accros à quoi ?… euh, je ne vous suis pas, là !

N : attendez, c’est pas fini ! Dans le 8X04, Kate et les bros enquêtent sur la mort d’un vieil auteur à succès. Avec son copain le prêtre ils avaient découvert le détournement d’une caisse noire par un adjoint au maire.

J : oui, mais le gars était un menteur pathologique

N, à fond dans son récit : ça, c’est ce qu’ils ont voulu nous faire croire,héhé ! Mais Kate qui enquêtait en secret a découvert que cet adjoint faisait partie de la même organisation….

J : hein ? ( là ,c’est Néo le menteur pathologique….)

N : Kate, de plus en plus en manque de Rick et de leur arme secrète, est impuissante

J : oui, sa tristesse déchire le cœur des fans

N : oui, mais elle n’a pas perdu de vue son objectif, prête à tout pour retrouver Rick. Elle continue d'enquêter et passe des coups de fil. Le dernier est déterminant, on l'entend dire un truc incompréhensible : « J’ai besoin que l’on nettoie mes rideaux. Je répète, j’ai besoin que l’on nettoie mes rideaux »

J, complètement perdu : ( ça y est, on a perdu Néo, elle délire complètement, la vache…seule solution, la laisser parler....)

N, toute excitée : et là, Rita accourt et fait subir des interrogatoires musclés à tous les suspects indiqués par Kate

J: (on ne l'arrête plus…) ah bon ?

N : au bout de plusieurs heures, les services secrets ont découvert qu’ils avaient tous un L gravé sur la fesse droite

J, noyé dans un abîme d'incompréhension : ( j'avais pas cette info, moi...) ?????.... comme Locksat ?

N : c’était un pseudonyme

J : euh…. ah je sais ! comme « Lone vengance » alors, le super héro du 4X02 ?

N, énervée : mais non, enfin, comme « Lutte contre la caféine », voyons !

J : hein ????

N : Faut tout vous expliquer à vous, hein ! Locksat était un nom d’emprunt pour brouiller les pistes. Mais grâce à Rita, ils ont pu remettre la main sur les machines à café volées dont celle du precinct, et sur toute la cargaison de café qu’ils avaient savamment planquée.

J : ????

N, perdant patience : c'est ainsi qu'en fin d'épisode, Rick a enfin pu refaire du café à sa belle qui s’est empressée d’y goûter….ahhhhhh, quel bonheur de revoir ce sourire sur son visage !

J : .... tout ça pour du café ?

N commence à s'emballer: comment ça, "tout ça pour du café? " Mais en faisant ça, leurs ennemis savaient qu'ils s'attaquaient à l'essence même du caskett, à leur lien le plus intime, à leur alchimie si magique....

J : euh, Néo…..désolée de troubler votre charmant récit, mais…. ( essaie d’être diplomate, elle est en plein délire, faut pas la brusquer...)vous avez pensé à consulter ?

N : ??? bah, maintenant que vous me le dites, c’est vrai que la séparation de mes héros m’a quelque peu perturbée….

J : « quelque peu » ? vous planez complètement, oui !

N : le Docteur Burke m’a expliqué que j’étais en train de me forger un "optimisme de protection". Mais avouez que je suis moins zinzin que les auteurs qui ont pondu cette histoire de Locksat…

Dialogue Post  8X05  « the nose », juste après la scène finale


Rick respire à pleins poumons le t-shirt NYPD, puis toujours les yeux fermés, il prend son téléphone et compose le numéro. Le correspondant répond immédiatement.

Rick : salut !

Kate : salut !

Rick : merci pour le t-shirt

Kate : je t’en prie ! et …..je suis désolée

Rick, intrigué : comment ça ? de quoi ?

Kate : vas voir dans ta penderie

Rick s’y rend, et s’arrête net, estomaqué : mais Kate, qu’est-ce qui t’a pr….

Petit blanc…les neurones de Rick turbinent à 1000 à l’heure…..soudain, l’illumination !

Rick : oh !

un grand sourire fend son visage…

Rick :  Toi, t’as joué à mon p’tit jeu !

Kate, qui sourit amoureusement : j’avoue, oui, et j'ai perdu lamentablement….

Rick : c’est un jeu terrible quand on est débutant….

Kate : terrible, oui !

Rick, tout fier : qui demande beaucoup de volonté …

Kate : et de self contrôle ….

Rick : ah, tu vois !

Kate : c’est un jeu redoutable, j’aurais pas cru !

Rick, ému : oui, redoutable

Kate : Rick ?

Rick : mmmm ?

Kate : la prochaine fois que je jouerais à «  je la veux / il me la faut / j’en ai besoin »

Rick : oui ?

Kate : ce sera dans un lit ….

Rick,debout devant la partie de son dressing complètement vidée:.. "gloups"

Kate : avec toi en deuxième joueur…

Rick : Re "gloups" …. Best "appeldegensséparésquis’aimentàlafolie" Ever !

Le lendemain matin (après une nuit la tête enfouie dans un certain t-shirt), en ouvrant sa porte, Rick découvrait une grosse boîte…de chemises neuves !

Dialogue post 8X10 : une histoire de "codes secrets" pour dire "je t'aime"

Dans une cellule de prison, Beckett et Castle attendent.

Beckett, énervée :  t’es fier de toi ?

Castle la regarde, la tête basse

Beckett : tentative d’attendrissement  du jury,  suspicion de pactisation avec la partie adverse,  utilisation de codes pour communiquer  avec des complices dans l’assemblée, dont moi  par –dessus le marché !

Castle bougonne :  j’y peux rien, moi, si  les employés de ce tribunal n’ont aucun sens  du romantisme

Beckett, roulant des yeux :  mais y a vraiment qu’à toi que ça paraît romantique, mon amour !


Castle : oh menteuse,  j’ai bien vu ton oeil pétiller quand je t’ai fait mon petit gratouillis de nez super mignon ! T’as même mordillé ta lèvre !

Beckett , attendrie en se remémorant la scène : oh oui, c'est vrai !

Beckett , reprenant son sérieux  : ….  mais le seul souci c’est qu’un membre du jury  l’a pris pour elle  et a commencé à te fixer

Castle : pourtant, j’ai tout de suite changé de code !

Beckett : ah, parlons-en , faire descendre sensuellement tes mains de ton torse à tes cuisses ?  Sérieux ? Ca veut dire « je t’aime, ça » ?

Catsle : bah oui, c’était pour te dire que j’adorais quand tu te déguises pour moi

Beckett , souriant  niaisement : ah oui ?

Beckett, reprenant contenance : …mais l’avocat de la défense a cru que tu le draguais et  a commencé à te répondre en mime

Castle, se gaussant comme un gamin : avoue que c’était hilarant, non ?

Beckett, lasse :  Rick, t’aurais au moins pu me mettre au courant de tes codes, j’en ai compris aucun

Catsle, étonné et un peu déçu  : ah bon ? pas un seul ?

Beckett : la main à ta bouche avec le petit doigt levé ?

Castle : pour te dire combien j’aime te voir déguster mon café

Beckett : et ton bras droit en l’air à l'opposé du bras gauche dans un mouvement de contorsion, c’était sensé vouloir dire quoi ?

Castle, comme une évidence : te dire combien j’admire ta flexibilité !

Beckett :  déchirer ta chemise et dénuder ta poitrine ?

Castle : génial celui-là, hein ?

Beckett : quoi ? imiter le gorille ?

Castle : pfff, vous me décevez, ma chère … c’est un geste folklorique russe pour te dire combien j’aime quand tu me grondes en russe !

Beckett : oh !  et ton attitude de cow boy faisant semblant de tirer ?

Castle, charmeur :  j’adore la Beckett badass !  

Beckett, ne cédant pas à l'envie de l'embrasser :  tes sourcils froncés avec ton air à gober les mouches ?

Castle : j’aime essayer de résoudre  ton mystère !

Beckett sourit, se rapproche de lui, tout prêt et…. tout d’un coup déchire sa chemise, dénude son torse, saute  et va  s’accrocher aux barreaux de la cellule

Castle : euh, chérie, tu te sens bien ? Tu imites Cheetah?

Beckett, dépitée : enfin,  Castle, c’est mon code, là !

Castle : euh…. vraiment ? désolé, à part Cheetah, je ne vois pas….

Beckett  s’approche de Rick, féline : vous me décevez, monsieur l’écrivain !

Castle déglutit

Beckett lui chuchote à l’oreille : ça veux dire «  si tu trouves une idée pour vite nous sortir d’ici, je prendrais mon accent russe et te  ferais grimper aux rideaux » !