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Série : Dark Angel (USA)
Création : 11.09.2021 à 13h12
Auteur : Daeriss
Statut : Terminée
« Il s'agit d'un flashback qui se passe il y a vingt ans en 1980 peut avant la création des X2. » Daeriss
Cette fanfic compte déjà 25 paragraphes
« Femmes, c'est vous qui tenez entre vos mains le salut du monde. » de Léon Tolstoï.
A Manticore :
Tous les scientifiques se bougent pour que le laboratoire soit en bon état. Ils sont à la fois excités et ont peur de la réaction qu’ELLE peut bien avoir… On la craint comme on la vénère. On se demande bien qui elle est vraiment. On s’active du mieux que l’on peut. Elle est la toute jeune directrice de ce centre de recherche pour le gouvernement. On lui a demandé de créer des soldats surhumains. Elle a un don pour reconnaître la qualité des gens. Elle sait avant toute chose, qu’elle peut avoir une « belle carrière ». Elle se nomme Elizabeth Renfro.
Blonde platine, les cheveux courts à la garçonne, elle est une militaire avant tout. Avec un caractère bien trempé, elle ne compte pas se laisser faire. Habillée dans un costume pantalon, elle a toujours eu cette attitude. Elle marche accompagnée de son contingent. Elle a toute une armée à sa disposition, elle doit même en créer une ! Accompagnée des personnes de confiance, elle doit avant toute chose lancer le programme scientifique.
Elle rentre dans le laboratoire. Elle voit que les scientifiques se tiennent droits comme des piquets. Ils ont dans leurs mains les dossiers des recrues. En blouse blanche, ils espèrent bien attirer l’attention de la directrice afin qu’elle les fasse passer sur le programme spécial : la vieillesse. Vous allez me dire qu’elle ne veut pas de rides ? Pas du tout ! Elle désire tout simplement avoir des soldats qui ne vieillissent pas, qui restent jeunes et vigoureux le plus longtemps possible. Quitte à même régénérer leur corps s’ils sont blessés.
Les scientifiques attendent le feu vert pour parler. Ils savent pertinemment qu’ils doivent patienter s’ils veulent garder leur travail. Mme Renfro marche lentement, elle fait monter la tension pour trouver la personne qui va résister le plus sous la pression.
Elle se retourne, le toise du regard, elle essaye de le comprendre. Elle ne le connait pas du tout. Il est dans la quarantaine, il a une fille de vingt ans qui travaille avec lui. Elle fait partie d’une secte nommée Familiers. Elle a lancé un programme pour faire en sorte que les transgéniques de la première génération transmettent leurs dons à leurs enfants.
Elle ne dit rien de plus, elle s’en va. Puis, les deux docteurs sont convoqués plus tard dans son bureau. Ils arrivent en même temps. Ils sont stressés tous les deux. Ils ne savent pas vraiment à quoi s’attendre. Ils sont là debout devant le bureau de la grande patronne. Puis, elle prend la parole :
Ils le font toujours en silence. Puis, ils entendirent la phrase suivante :
Elle ne sait pas trop comment est-ce qu’ils vont le prendre. Seulement, elle voudrait « une élite » niveau soldat, et elle ne compte pas échouer. Croisant les mains et leur projetant son regard bleu acier, elle veut à tout prix qu’on la prenne au sérieux. Elle préfère donc qu’on exécute tous les ordres qu’elle ordonne.
Les deux scientifiques se levèrent alors en même temps pour retourner travailler. Ils ne se connaissaient pas du tout. Ils sortent du bureau puis, ils partent alors pour le laboratoire. Le silence les accompagne jusqu’à leur bureau. C’est pour cette raison que le docteur Adrianna Vertes commence la conversation :
Les deux scientifiques discutèrent un long moment avant de reprendre leur recherche. Le laboratoire se compose d’une grande salle avec une table et des chaises. Le long d’un mur, se trouve une table avec tout en ensemble de matériel pour travailler. Il y a aussi un réfrigérateur ainsi que le reste des composants pour étudier ce projet.
Les lumières sont aussi bien agencées de façon qu’ils puissent travailler tard. Le soir tombant, ils partirent pour la cafétéria pour diner. Ils vont devoir travailler toute la nuit pour réussir à trouver une solution pour Renfro. Ce n’est qu’au petit matin qu’ils avaient un début de pistes.
Il s’en va tout en ayant l’envie de réussir son projet. Il se dirige donc vers le bureau de l’administration. Il y a en général une personne jour et nuit présente dans le bureau puisque les scientifiques peuvent même y travailler la nuit. Ronald demanda le papier, puis, il repartait pour le laboratoire.
Le lendemain matin :
L’effervescence se fit sentir dans tout Manticore. La nuit dernière, pas mal de scientifiques avaient travaillé dans les différents laboratoires. Les transgéniques se créaient à tout bout de champ. Il y avait comme une sorte de compétition qui se lançait. Chacun voulait gagner des points auprès de la directrice. Il fallait faire en sorte que les financements pleuvent. Les projets avançaient bien. Si un projet était annulé, il était normal pour Manticore de faire tuer ou d’éliminer eux-mêmes les scientifiques qui étaient de trop.
Comme tous les matins, Mme Renfro passait dans les laboratoires pour voir si tout se passait pour le mieux. Elle allait voir Ronald et sa coéquipière.
Il lève la tête de son calepin. Il fut surpris de la voir devant elle. Il avait le nez sur son microscope. Les tests avaient été lancés le soir dernier. Adrianna avait eu la possibilité de faire venir dans ce laboratoire tous ses travaux. Elle avait pu ainsi ne pas perdre de temps et le montrer à son collègue.
La responsable du centre avance. Elle se dirige vers le tableau. Elle observe attentivement. Elle tente de comprendre toute ce qui est écrit dessus. Elle espère bien voir ce que le projet peut donner. En tous les cas, elle se tourne vers les deux scientifiques.
Ils lui donnèrent une explication pour qu’elle puisse comprendre. Ils vont prendre l’ADN de l’être humain et le combiner avec celui de la salamandre ou du ver. Ils ont la capacité d’avoir leur organe repoussé si on les coupe. Puis, trouvant d’autres capacités intéressantes, ils lui parlèrent de leurs idées. Mme Renfro accepta toutes leurs idées. Puis la collecte commença.
Dans la salle d’accueil :
Il s’agit d’une grande salle, elle se situe dans le bâtiment de Manticore. Il y a un comptoir où une charmante secrétaire s’y trouve pour accueillir les jeunes femmes. Elles ont toutes dans la vingtaine d’années. Elles sortent même parfois à peine du lycée. Jeunes, parfois un peu naïves, elles ont toutes ou presque des problèmes familiaux ou juridiques. Seulement, certaines sont là aussi pour faciliter la science, d’autres parce qu’elles ont besoin d’argent, et d’autres encore parce qu’elles n’ont pas eu le choix.
Les jeunes femmes commencent à parler ensemble. Cela ne plait guère à la secrétaire qui les regarde d’un œil noir.
Entre temps, elle avait appelé ses collègues pour que les demoiselles ne communiquent pas entre elles. Il ne fallait surtout pas qu’elles discutent entre elles afin d’en apprendre plus sur Manticore. Les jeunes femmes ne disent plus rien, elles regardent les fascicules qui leur ont été donnés. Il fallait les attirer le plus possible.
Venez arranger votre vie en faisant une bonne action !
Ne vous inquiétez pas, rien ne sera reproché. Vous ne risquez rien en venant nous voir.
Toute une sorte de publicité qui donnait l’impression que finalement, on pouvait tout pardonner même le pire. On leur faisait croire aussi qu’en donnant leur ovule des femmes stériles pouvaient aussi devenir mères. Comme si le don de la vie pouvait se donner avec une telle gentillesse que tout votre mauvais carma pouvait s’en aller comme ça.
Dieu vous le rendra. Aidez votre prochain.
Les jeunes femmes se turent. Le calme revint plus facilement. Les infirmières prenaient les jeunes femmes une par une pour les interroger. Puis les médecins femmes récoltaient les ovules et pour certaines, il y avait une discussion que la « mère porteuse » qui arrivait sur le tapis si la « candidate » était « parfaite ».
Dans une salle d’auscultation :
Une jeune femme est assise devant une doctoresse. Dans la vingtaine, elle a besoin d’argent pour faire ses études. Elle doit absolument obtenir des monnaies pour payer son loyer mais surtout pour payer les frais d’inscriptions de la faculté. Elle est un peu stressée, mais elle va y arriver. Elle souffle doucement pour ne pas paniquer.
Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’elle est sous vidéo surveillance. Un médecin l’observe dans une autre salle afin de l’analyser. Elle note tout sur sa feuille. Elle regarde comment faire en sorte pour la mettre le plus à l’aise possible.
Une simple phrase mais qui en dit long sur la suite des évènements. Elle tient dans sa main, la fausse plaquette pour les parents. Elle sait que la jeune femme a la même. C’est comme ça qu’ils font pour faire venir les jeunes femmes. Elle se dirige vers la salle de consultation. La caméra va tout enregistrer de façon à avoir des dossiers s’il le faut.
La jeune femme s’en va, puis, elle ne se doute pas qu’elle risque de gros ennuis…
Au laboratoire de Ronald et Adrianna :
Le Dr Martin s’en va avec les premières prises de sang pour le laboratoire. Elle se dirige donc vers Ronald qui l’attend avec impatience. Il est sur le pas de la porte. Il guette comme un enfant qui voudrait ouvrir son cadeau de Noël. Adrianna est plus patiente, elle se dit qu’elle a vraiment un enfant en collègue. Mais elle ne peut pas lui reprocher de ne pas bien travailler. Elle a aussi donné ses critères pour faire les tests. Ils ont vraiment hâte de commencer tous les deux. Leur collègue arrive.
Elle vient lui donner les premiers résultats qu’elle a pu obtenir.
Elle montre la feuille, elle sait que pour ses deux collègues, il s’agit d’une mine d’or. Puis voyant leurs visages, elle leur annonce d’un ton ferme :
Leur collègue s’en va. Elle sait que les jeunes femmes qui font cela après avoir accouché ne restent pas longtemps en vie. Alors parfois, elle demande pour des jeunes femmes qui ne font pas cela pour de mauvaises raisons. Elle sait qu’elle ne doit pas le faire, mais on lui autorise vu qu’elle n’abuse pas.
Le mois dernier, elle a pu sauver une jeune femme qui a donné naissance au premier X2. Seulement, elle ne peut pas le faire avec tout le monde. Elle va s’occuper de Jenna du mieux possible. Tenant toujours son planning, elle se rend à nouveau dans la salle de consultation pour s’occuper d’une autre jeune femme.
Dans la salle d’attente :
Une jeune femme n’est pas très à l’aise, on l’a forcée à venir ici. Elle a seize ans, elle s’appelle Beatriz. Elle est la fille d’un des gardes. Pour la punir il l’a envoyée là-bas. Son père voulait qu’elle prenne conscience des choses après avoir passé une nuit avec son petit copain. Malheureusement, elle est tombée enceinte. Il est trop tard pour avorter. Donc son père a décidé d’envoyer sa fille pour qu’ils modifient l’ovule et qu’elle devienne une mère porteuse. Le Dr Martin l’observe de l’autre côté. Elle a lu le dossier. Elle n’a pas le choix là : elle va devoir la prendre au péril de la santé de la jeune femme…Elle soupire, puis, elle rentre dans la pièce.
Pour cette occasion, on fait ressortir la jeune femme devant les autres tout en lui disant :
On ne précise pas pourquoi. On dit juste cette phrase pour rassurer les plus susceptibles de s’en aller avant le rendez-vous. Les deux femmes se dirigent donc vers le laboratoire le plus proche. L’adolescente arrive donc dans un espace où il n’y a que des femmes. Elles vont s’occuper d’elle. Le docteur Martin s’en va.
Un mensonge, un mensonge de plus, un qui ne lui plait pas. Il aura fallu cinq ans à la doctoresse pour accepter ces mensonges. Seulement parfois, elle n’en peut plus de ces telles facéties. Elle s’en va, puis, se cachant dans un coin, elle va essayer de se reprendre. C’est à ce moment-là que Mme Renfro la voit.
Elle lui pose une main sur son épaule. La doctoresse soupire, puis se reprenant, elle repart pour la salle d’accueil.
Au laboratoire de Ronald et Adrianna :
Le Dr Martin s’en va avec les premières prises de sang pour le laboratoire. Elle se dirige donc vers Ronald qui l’attend avec impatience. Il est sur le pas de la porte. Il guette comme un enfant qui voudrait ouvrir son cadeau de Noël. Adrianna est plus patiente, elle se dit qu’elle a vraiment un enfant en collègue. Mais elle ne peut pas lui reprocher de ne pas bien travailler. Elle a aussi donné ses critères pour faire les tests. Ils ont vraiment hâte de commencer tous les deux. Leur collègue arrive.
Elle vient lui donner les premiers résultats qu’elle a pu obtenir.
Elle montre la feuille, elle sait que pour ses deux collègues, il s’agit d’une mine d’or. Puis voyant leurs visages, elle leur annonce d’un ton ferme :
Leur collègue s’en va. Elle sait que les jeunes femmes qui font cela après avoir accouché ne restent pas longtemps en vie. Alors parfois, elle demande pour des jeunes femmes qui ne font pas cela pour de mauvaises raisons. Elle sait qu’elle ne doit pas le faire, mais on lui autorise vu qu’elle n’abuse pas.
Le mois dernier, elle a pu sauver une jeune femme qui a donné naissance au premier X2. Seulement, elle ne peut pas le faire avec tout le monde. Elle va s’occuper de Jenna du mieux possible. Tenant toujours son planning, elle se rend à nouveau dans la salle de consultation pour s’occuper d’une autre jeune femme.
Dans la salle d’attente :
Une jeune femme n’est pas très à l’aise, on l’a forcée à venir ici. Elle a seize ans, elle s’appelle Beatriz. Elle est la fille d’un des gardes. Pour la punir il l’a envoyée là-bas. Son père voulait qu’elle prenne conscience des choses après avoir passé une nuit avec son petit copain. Malheureusement, elle est tombée enceinte. Il est trop tard pour avorter. Donc son père a décidé d’envoyer sa fille pour qu’ils modifient l’ovule et qu’elle devienne une mère porteuse. Le Dr Martin l’observe de l’autre côté. Elle a lu le dossier. Elle n’a pas le choix là : elle va devoir la prendre au péril de la santé de la jeune femme…Elle soupire, puis, elle rentre dans la pièce.
Pour cette occasion, on fait ressortir la jeune femme devant les autres tout en lui disant :
On ne précise pas pourquoi. On dit juste cette phrase pour rassurer les plus susceptibles de s’en aller avant le rendez-vous. Les deux femmes se dirigent donc vers le laboratoire le plus proche. L’adolescente arrive donc dans un espace où il n’y a que des femmes. Elles vont s’occuper d’elle. Le docteur Martin s’en va.
Un mensonge, un mensonge de plus, un qui ne lui plait pas. Il aura fallu cinq ans à la doctoresse pour accepter ces mensonges. Seulement parfois, elle n’en peut plus de ces telles facéties. Elle s’en va, puis, se cachant dans un coin, elle va essayer de se reprendre. C’est à ce moment-là que Mme Renfro la voit.
Elle lui pose une main sur son épaule. La doctoresse soupire, puis se reprenant, elle repart pour la salle d’accueil.
Au bloc opératoire :
Beatriz s’allonge comme on lui demande. On l’endort. Elle s’est déshabillée comme demandé. Elle a peur. Elle ne sait pas trop ce qui va lui arriver. Elle se demande bien si elle va sortir d’ici. En tous les cas, elle attend patiemment. Les femmes ne sont là que pour les adolescentes qui ont peur. En évitant les hommes, on peut dire que tout ira pour le mieux.
On l’endort. On laisse faire l’anesthésie complète. On veut qu’elle dorme. Puis, ils vont utiliser un liquide pour qu’elle soit plongée dans le coma. Ainsi, ils vont avoir tout le temps pour modifier le fœtus. Ils diront au père : « Nous avons fait tout ce que nous avons pu faire. Malheureusement, elle n’a pas pu rester en vie. » Cette phrase est là pour faire en sorte que les proches parents ne réclament rien. Qu’ils ne demandent rien, juste : « Quand est-ce que l’on peut abréger ses souffrances ? » Une autre phrase qui parfois fait mouche comme on dit. Mme Renfro fera en sorte que les familles ne fassent pas trop de vagues.
Il commence par voir où en est le fœtus. Il va y apporter les modifications sur le champ. Il appelle un scientifique, puis, il change l’ADN du futur enfant pour en faire un X2. Il essaye de découvrir comment améliorer l’humain pour en faire un super soldat.
L’infirmière lui donne alors une petite coupelle contenant tout le matériel scientifique. Le médecin fait ses manipulations avec précision et minutie. Il ne sait pas vraiment ce que cela va donner, mais bon, il suit les instructions pour réaliser cette modification.
Mme Renfro rentre dans la pièce, elle a mis sur son visage un masque. Elle observe la scène d’un air satisfait. Elle va pouvoir rendre des comptes à ses supérieurs. En ce moment, ils lui en demandent beaucoup. Ils veulent qu’elle aille de plus en plus vite. Seulement, elle leur a annoncé qu’il ne fallait pas aller trop vite. Qu’il était nécessaire de prendre son temps. Elle salue l’équipe médicale, puis, elle repart pour son bureau. Elle sait pertinemment que l’on va la prévenir une fois l’opération réalisée.
L’équipe médicale fait tout son possible pour garder l’adolescente en vie. Ils savent très bien, qu’elle ne revivra plus une fois le bébé né. Ils la déplacent donc sur un brancard. Ils vont la mettre dans la salle commune avec toutes les malades comme elle.
Cette salle est gigantesque, tous les lits sont les uns à côté des autres. Les jeunes femmes se tiennent compagnie. Elles se voient enfin, elles ne peuvent pas se voir, vu qu’elles sont toutes dans un coma artificiel. Ainsi, les infirmiers peuvent travailler tranquillement sans répondre aux questions.
Beatriz est sur un lit dorénavant, elle dort profondément. A la fin de la grossesse, elle ne se réveillera plus. Elle mourra de cause naturelle et de fatigue. La jeune mexicaine n’aura pas eu une vie confortable. Elle a perdu sa mère étant jeune, son père qui l’a élevée tout seul, il a eu pas mal de difficultés pour éduquer sa fille. D’ailleurs celui-ci arrive dans la salle, on lui a annoncé que sa fille s’y trouvait.
Le père cherche sa fille, il finit par la trouver sur un lit au milieu de la salle le long du mur. Il n’est pas heureux du tout. Il est même triste. Il se rend compte que finalement il ne verra plus du tout sa fille. Alors qu’il allait s’en aller Mme Renfro s’approche de lui.
Le père est triste, il ne reverra plus sa fille. Il le sait, il va donc prendre la décision la plus difficile de sa vie.
Pour une fois, Mme Renfro s’est comportée en être humaine. Elle n’a pas voulu vexer d’avantage le soldat. Il n’est là que depuis une semaine, donc, pour elle, il n’a pas beaucoup d’informations à communiquer. Alors se passer de lui n’est pas bien grave. La directrice le laisse s’en aller, puis, elle sourit. Elle préfère le laisser partir. Le soir même, il a rendu son badge, puis, il a pris la lettre de recommandation qu’on lui a écrite puis il est parti.
La semaine d’après à Manticore :
Jenna est de retour à Manticore. Elle va être une mère porteuse pour un couple qui n’existe pas. Il s’agit tout simplement du personnel scientifique qui joue un rôle. En général, il s’agit de l’administratif. Personne ne peut les apercevoir à part la directrice. Du coup, ils vont remplir un rôle dans le but de mettre en confiance les jeunes femmes.
Notre future mère arrive à l’accueil, elle se présente, puis, on l’accompagne dans une chambre double. On lui propose d’y rester durant le temps de la grossesse. Elle s’assois sur le lit, puis, elle commence à remplir le dossier. Le docteur Martin rentre, elle frappe à la porte pour attirer l’attention de la jeune femme.
Les deux femmes remplissent les documents. Puis, on prépare la jeune étudiante à subir une opération médicale. Elle va porter Selena. Une transgénique qui ne vieillit pas. Son ADN se reconstruit plus rapidement que la normale. Les cellules sont alors en plus grande quantité dans son organisme. Ses organes sont comme si elle venait de naître. Ses cellules ne vont pas se détruite sous l’effet de la vieillesse.
On amène Jenna dans la salle. Cette fois-ci c’est le docteur Martin qui va s’occuper d’elle. Il faut absolument éviter que la patiente ne croise trop de monde. Ainsi, vu qu’elle va rester en vie, elle ne va pas pouvoir voir grand monde. A part l’autre patiente, on va faire en sorte de l’isoler un peu plus. On prend soin de la jeune femme. Puis, on la raccompagne dans sa chambre. On lui propose de manger ou de boire.
La jeune femme se demande bien pourquoi autant de précaution. Mais bon, elle vient de voir que le premier virement a été déposé sur son compte en banque. Elle va pouvoir mettre l’argent de côté. Elle a reçu un courriel comme quoi elle l’avait eu. Elle répond à son banquier, puis, elle commence à lire son livre.
Dans l’après-midi, une autre femme fait son apparition au centre. Elle n’a pris rendez-vous, elle a juste vu la plaquette chez un autre docteur. Elle n’ose pas rentrer, soupirant doucement, elle finit par pousser le pas de la porte. On peut voir qu’il y a un tas de personnes qui courent dans tous les sens. On évite de la bousculer alors qu’elle se trouve au milieu du hall d’entrée. Un militaire s’approche d’elle doucement.
La jeune femme ne répond pas, puis, elle s’aperçoit qu’il y a des soldats un peu partout. Elle observe le militaire attentivement.
Elle sourit. Elle sait qu’elle va pouvoir se venger. Sa HAINE vient tout juste de remonter à la surface. Elle a eu un enfant difforme à la naissance. On lui avait dit qu’elle pouvait le garder. Il s’agissait d’une expérience qui a mal tournée…